VIDEO : Quand Amar Lasfar, président de l’UOIF, accusait les Juifs d’avoir soumis l’Occident
Amar Lasfar, né en 1960 à Nador au Maroc, est le président de l’association Musulmans de France(anciennement UOIF).
Il est venu en France pour y terminer ses études.
Amar Lasfar est marié et père de six enfants.
Homme d’affaire, il dirige une agence de voyages, située à Lille, Atlas Tours, « un des principaux affréteurs pour le grand pèlerinage à La Mecque et un poids lourd des vols vers l’Algérie »
Amar Lasfar fait partie de de l’association Musulmans de France (anciennement UOIF), institution que l’on dit proche des Frères musulmans. Cela l’a rendu difficilement fréquentable pour les politiques, lesquels préfèrent discuter avec des organisations jugées plus modérées[interprétation personnelle], comme la Grande Mosquée de Paris.
La visibilité médiatique de l’UOIF s’étend quand, en 1990, Pierre Joxe, alors ministre de l’intérieur, fait entrer l’organisation dans le Conseil de réflexion sur l’islam de France (CORIF) qu’il vient de créer. Deux représentants de l’UOIF sont choisis, Abdallah Ben Mansour et Amar Lasfar3. Ce dernier était dans les instances dirigeantes de l’UOIF depuis sa création, au début des années 1980, mais il « attendait son heure ».
Le 9 juin 2013, il en prend la direction2.
En avril 2017, à propos de son organisation, il déclare que « Nous ne faisons pas partie des Frères musulmans. En revanche, nous nous inscrivons dans leur courant de pensée », ajoutant que son mouvement représente « surtout l’islam de France ».
Amar Lasfar défend, au milieu des années 1990, des filles voilées exclues de leur établissement public. Considérant que le voile est une obligation pour les femmes, il s’oppose à un autre membre de l’UOIF, Tareq Oubrou. À cette époque, il indique son souhait de voir se créer en France des écoles privées musulmanes5, projet auquel il contribuera en fondant en 2003 le lycée privé musulman Averroès.
Mohamed Louizi, ancien Frère musulman, dénonce dans son livre Pourquoi j’ai quitté les Frères musulmans, le double discours d’Amar Lasfar. Ce dernier l’accuse alors de « diffamation publique contre un particulier ». Le jour du procès, son avocat annonce la volonté de son client de « renoncer à saisir le juge ».
Autre témoignage qui serait de nature à soutenir la thèse de Mohamed Louizi est celle d’un éducateur anonyme interrogé dans le cadre des travaux de recherches menées par l’Adric (Agence de Développement des Relations Interculturelles pour la Citoyenneté) dirigées par Chahla Beski-Chafiq (Docteur en sociologie) qui a permis la production d’un Rapport8 réalisé pour le Centre for Studies in Islamism and Radicalisation (CIR)du Department of Political Science de Aarhus University du Danemark en avril 2010 (Page 52 du Rapport).
À la suite d’un selfie de Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, en compagnie d’Amar Lasfar, président de l’UOIF, et d’Otmane Aissaoui, imam UOIF de Nice et délégué départemental de l’organisation dans les Alpes-Maritimes, le secrétaire général du FN, Nicolas Bay, dénonce « la complaisance dont bénéficient les islamistes de l’UOIF de la part des pouvoirs successifs ». Et d’ajouter dans son communiqué : « Tant le principe que les participants de cette photo interrogent. Est-il normal que le ministre de l’Intérieur, celui qui a pour mission de protéger notre pays et nos compatriotes de la menace islamiste, pose ainsi avec une organisation s’appuyant sur la doctrine des Frères musulmans et dont des imams ont été dénoncés pour leurs déclarations antisémites ou des propos ambigus sur le djihad ? »
Lors d’une conférence organisée à Roubaix, Amar Lasfar devait partager la tribune avec le « sulfureux » imam salafiste Rachid Abou Houdeyfa avant d’y renoncer. Abou Houdeyfa avait, par exemple, affirmé en 2012 que ne pas porter le voile, c’était s’exposer au viol. Selon Mohamed Louizi, « c’est la démonstration d’un rapprochement entre l’UOIF, c’est-à-dire les Frères musulmans, et les salafistes ».
Les Occidentaux européens sont tellement « soumis » qu’ils ont voté
– contre la reconnaissance de Jérusalem capitale d’Israël,
– pour la reconnaissance de la palestine par l’assemblée nationale en 2014
– et qu’ils votent les résolutions anti-Israël.
Quand on voit la réussite du monde islamique sous chariah, la dictature, la terre plate et un sous-développement intellectuel, matériel, si ça bascule (D.ieu préserve de cette monstruosité) ces djihadistes en cravate rabaisseront ce formidable pays qu’est la France à l’âge de pierre. (des champs prospéres, on aura des biques et des moutons et des poubelles partout)
C’est incroyable cette faculté de voir le mal partout sauf dans leurs actes.
De la mauvaise foi intégrale.
ils ont la trouille , et esperent que tout s’arrangera par l’intervention du saint esprit…….une merde .. quoi !!!
d’autres que Poutine va venir les sauver