Une enquête de Mediapart rendant hommage à des journalistes du Hamas récompensée aux Assises du journalisme
L’enquête « Journaliste à Gaza : les visages du Carnage » publiée par Mediapart a reçu le prix Enquêtes et reportages, aux Assises du journalisme de Tours. Un choix qui interroge, cet article rendant notamment hommage à plusieurs journalistes qui travaillaient pour des médias affiliés au Hamas.
Du 25 au 30 mars derniers se tenait la 17e édition des Assises du journalisme de Tours. À cette occasion, plusieurs prix ont été décernés par un jury d’étudiants présidé par le journaliste Michel Denisot. Prix du livre Recherche, prix du Livre du Journalisme, prix du Public de la Photo de Presse… Les lauréats se sont succédé au Palais des Congrès de la ville.
Toutefois, le prix Enquêtes et reportages, attribué à un article de Mediapart n’a pas manqué d’interroger. Et pour cause, cette enquête intitulée « Journaliste à Gaza : les visages du Carnage », rend hommage à certains journalistes qui travaillaient pour des médias affiliés au Hamas, au Hezbollah, voire au Jihad islamique, relate Le Point.
Cette enquête prend ainsi la forme d’un hommage à 84 journalistes décédés à Gaza « en bravant le blocus médiatique imposé par Israël depuis le 7 octobre 2023 », selon le média d’investigation. Sur cette série de portraits, apparaît notamment Adel Zorob, journaliste à la radio du Hamas, Al-Aqsa Voice. L’article de Mediapart rend également hommage à Ahmed Bdeir, un journaliste affilié au Front populaire de libération de la Palestine. Cette organisation est considérée comme terroriste par l’Union européenne.
Interrogé par Le Point, le président du Jury, Michel Denisot, a affirmé qu’il n’avait pas voté, ni joué un rôle dans le choix des étudiants. « Je leur ai juste conseillé de ne nommer qu’un seul lauréat », a-t-il indiqué à nos confrères, précisant que le jury hésitait « entre deux choix » pour la catégorie Enquête et reportage.
Source
happywheels
Ils confondent » journalisme » et propagande .
Les nazis avaient eux aussi leurs » journalistes » .
Les nazislamistes sont bien implantés de Plewnel à Melenchon. La France serait elle foutue?
Edwy Plenel né le 31 août 1952 à Nantes, est un journaliste politique français.
Militant trotskiste dans les années 1970, il est tout d’abord journaliste à Rouge, l’hebdomadaire de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR).
En 1976, il est journaliste à Rouge, hebdomadaire de la LCR, qui devient quotidien durant une brève période. Il assure également la direction de Barricades en 1979, la publication de la JCR (Jeunesses communistes révolutionnaires)
En 1972, alors que le groupe terroriste palestinien Septembre noir avait assassiné onze athlètes israéliens pendant les Jeux olympiques de Munich, il écrit sous pseudonyme :
L’action de Septembre noir a fait éclater la mascarade olympique, a bouleversé les arrangement à l’amiable que les réactionnaires arabes s’apprêtaient à conclure avec Israël. […] Aucun révolutionnaire ne peut se désolidariser de Septembre noir. Nous devons défendre inconditionnellement face à la répression les militants de cette organisation. […] A Munich, la fin si tragique, selon les philistins de tous poils qui ne disent mot de l’assassinat des militants palestiniens, a été voulue et provoquée par les puissances impérialistes et particulièrement Israël. Il fut froidement décidé d’aller au carnage79.
Cette information est révélée dans le livre de Laurent Huberson et Nicolas Valode, Enquête sur Edwy Plenel, paru en 2008.
Munich 1972 : Edwy Plenel solidaire des terroristes
L’histoire ne leur a rien appris .
Ils n’ont pas de figure ces connards .
C’est comme si ils clamaient à la face du monde » nous sommes des nazis et fiers de l’être « .
Mediaput une fosse septique
Apologie du terrorisme. Des sanctions pénales sont elles envisagées? La justice macronienne sera certainement intraitable!
média part le KGB du parti socialiste, les journalistes dans leur ensemble sont les pourvoyeurs de l’antisémitisme et les principaux responsables des agressions antisémites en France
Presse en Allemagne:
-Tagesspiegel
Promotion de l’application de boycott d’Israël: la SWR démet la présentatrice de ses fonctions
Helen Fares présente le format « Mixtalk » pour la SWR. Dans une vidéo Instagram, elle parle du boycott des produits israéliens à l’aide d’une application – la chaîne a désormais réagi.
Helen Fares, psychologue, journaliste, présentatrice du format SWR « Mixtalk » et native de Leipzig avec des racines syriennes, aimait jusqu’à présent surtout le lait au chocolat d’une marque bien précise. C’est ce qu’elle raconte dans une story Instagram sur son compte personnel, qui suscite actuellement un grand émoi.
Dans la vidéo tournée dans un supermarché, elle raconte comment elle cherche des alternatives à ce produit – car son lait au chocolat préféré provient d’une entreprise qui figure sur une liste de boycott des produits israéliens.
Dans la soirée, la SWR a annoncé qu’elle retirait Helen Fares de ses fonctions d’animatrice. Elle n’animera plus le format de dialogue numérique « MixTalk » de la SWR, a fait savoir la chaîne. « La SWR l’a relevée de ses fonctions d’animatrice après qu’elle a exprimé à plusieurs reprises des positions politiques extrêmes sur son compte privé de médias sociaux », peut-on lire dans le communiqué.
La SWR estime qu’il est important que le courrier en question n’ait pas été rédigé dans le contexte d’un emploi pour la SWR. La chaîne lui a fait remarquer que les présentateurs et présentatrices d’un format de débat étaient soumis à un devoir de neutralité afin de protéger l’indépendance et la crédibilité de l’émission. « Cette neutralité a fait défaut à Mme Fares dans ses activités sur les médias sociaux ».
Dans la vidéo, Fares utilise une application programmée par un développeur de logiciels palestinien. Elle permet de déterminer, grâce au nom du produit, au fabricant ou au numéro d’article, si l’entreprise est originaire d’Israël ou si elle soutient des entreprises israéliennes. Rien que pour les téléphones portables Android, l’application a été téléchargée plus d’un million de fois. Le fait que la présentatrice de la SWR fasse la promotion de cette application de boycott lui vaut aujourd’hui d’être accusée d’antisémitisme.
Fares avait déjà eu des problèmes avec Aktion Mensch pour des déclarations sur la guerre en Ukraine. L’organisation a retiré de son offre Internet un épisode de podcast avec elle en raison de ses déclarations.
Sur son compte Instagram, Helen Fares attire depuis longtemps l’attention sur la catastrophe humanitaire dans la bande de Gaza. Ses posts deviennent alors de plus en plus agressifs : « Une autre catastrophe est imminente : le Premier ministre israélien fasciste Netanyahu annonce une offensive terrestre à Rafah », peut-on lire dans son dernier message. Au moins 30.000 personnes auraient déjà été assassinées dans la bande de Gaza – « dont environ 10.000 enfants ».
Sa vidéo actuelle, qui n’est plus disponible sur Instagram mais que l’on peut encore trouver sur X, met en outre la SWR dans la ligne de mire. Selon le journal « Bild », le politicien des Verts Volker Beck a écrit au directeur général de la SWR et chef de l’ARD Kai Gniffke pour lui faire savoir qu’il estimait qu’une telle « attitude de boycott antisémite » n’était pas compatible avec la mission du service public.
La critique de Matthias Hauer, député CDU au Bundestag, est similaire. « La #SWR devrait plutôt miser sur la compétence des modérateurs et moins sur des ‘activistes’ autoproclamés », écrit-il sur X, ajoutant : « Combien d’incidents #antisémites faudra-t-il encore avant que l’ÖRR ne réagisse de manière conséquente ? « N’achetez pas aux juifs » 2.0 n’est JAMAIS de l’activisme et ne doit plus jamais exister ».
Vu que le commentaire,presse en Allemagne est un peu long,je complete ici:
🤮 Helen Fares,surement une « chrétienne » syrienne,le retour au bled serait une bonne chose pour cette taré.L´Allemagne interdit BDS sur son sol et condamne vivement tout appel au boycott,á la haine d´Israel et des personnes de confession juive!!!
Vous pourrez remarquer que les Verts allemand sont trés impliqués dans la lutte contre l´antisémitisme(voir l´article),la CDU de même.En tout cas les Grünen n´ont rien á voir avec les « Pasteques 🍉 » de France.
En espérant que la Fares perdra son job 🤬!
Mais toujours dans Tagesspiegel,il y a des personnes du M.O ou P.O qui tiennent la route,preuve 😁:
👍 Le journaliste et auteur Hasnain Kazim écrit : « Il y a six mois aujourd’hui, les terroristes du Hamas ont envahi Israël, tué, violé, brûlé vifs des personnes. Et une présentatrice de la SWR ne trouve rien d’autre à faire que de promouvoir une application qui reconnaît dans les supermarchés les marques liées à Israël, afin que l’on puisse boycotter ces produits. C’est ‘N’achetez pas chez les Juifs’ en 2024, c’est de la folie ».
N oublions pas cette galaxie anti juive constituée par les militants juifs d extreme gauche,militants de la lcr , de l ajs et de revolution
Ils sont toujours là ,eux et leurs descendants…
@ Josue
Je viens d’ entendre sur radio j un membre du ps s’ exprimer sur la guerre déclenchée par le hamas. Un parti toujours inscrit dans la nupes.
Souhaitons lui son progrom personnel elle comprendra mieux où est la justice et la vérité bzH!!!!
J’ai entendu dire que edwy Plenel le nervi de Merdiapart s’était fait maularder dessus par une actrice de seconde zone au nom bizare : Agréable nouvelle
Maïwenn jugée pour avoir agressé Edwy Plenel : « C’est un crachat politique ! »
Jugée pour avoir agressé le directeur de Mediapart Edwy Plenel, la réalisatrice Maïwenn, qui n’a exprimé aucun regret, a été condamnée mardi à 400 euros d’amende.
La cinéaste comparaissait ce mardi 16 janvier devant le tribunal de police à Paris pour avoir commis des violences en 2023 à l’encontre du cofondateur de «Mediapart». Maïwenn, qui a refusé de s’excuser, a été condamnée à 400 euros d’amende.
Le 22 février 2023, vers 21 heures, dans un restaurant du XIIe arrondissement de Paris, une femme très élégante dîne seule. Elle termine son repas, puis marche d’un pas décidé vers la table voisine. Sans prononcer un seul mot, elle attrape les cheveux du client qui mange tranquillement, tire violemment sa tête en arrière avant de mimer un crachat. Puis, elle quitte les lieux précipitamment. Au tribunal de police de Paris, ce mardi, l’homme et la femme sont assis de chaque côté de la travée. Aux yeux du procureur, rien de spécial : c’est «une affaire comme une autre» avec «des faits de violences volontaires établis et reconnus», qui valent, selon lui, une peine «sévère» de 700 euros d’amendes.
Ce sont plutôt les assises du journalisme antisémite ! J’avais de la sympathie pour M. Denisot, comment a t’il pu laisser sélectionner un truc pareil ? Et encore pire le laisser avoir un prix ? Il aurait pu démissionner.