Un projet d’attentat islamiste déjoué contre la mairie de Poitiers, trois étudiants musulmans écroués
INFO LE PARISIEN. Trois jeunes majeurs radicalisés ont été mis en examen samedi pour terrorisme au terme de quatre jours de garde à vue à la DGSI. Ils avaient notamment confectionné des explosifs.
Par Jérémie Pham-Lê
Ils avaient choisi leur cible – très symbolique – pour se venger de l’histoire. Trois jeunes majeurs soupçonnés de préparer un attentat djihadiste contre diverses cibles, en particulier la mairie de Poitiers, ont été interpellés mercredi par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans plusieurs départements dont la Loire-Atlantique et le Gard.
Selon nos informations, confirmées par le parquet national antiterroriste (PNAT), ces trois radicalisés de 19 et 20 ans ont été mis en examen samedi soir à l’issue de quatre jours de garde à vue notamment pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle », « détention et transport de substance ou produit incendiaire ou explosif en relation avec une entreprise terroriste » et « fabrication non autorisée d’engin explosif ou explosif en relation avec une entreprise terroriste ». Tous ont été placés en détention provisoire.
Ces trois fanatiques d’organisations djihadistes sont tous étudiants, dont l’un en chimie, ce qui a pu leur être utile. Ils ont été repérés par les agents de la DGSI en raison de conversations inquiétantes sur les réseaux chiffrés. Ils évoquaient notamment leur volonté de commettre une action violente contre plusieurs cibles qualifiées de mécréantes et notamment la mairie de Poitiers. D’après leurs écrits, cette cible aurait été envisagée en raison de la symbolique de la bataille de Poitiers qui marqua la victoire des troupes de Charles Martel contre les troupes arabo-berbères en 732. Les trois jeunes hommes avaient aussi évoqué de s’en prendre au siège de la DGSI, ou de partir en Syrie.
Entraînés à la manipulation d’explosifs
Les investigations, désormais sous commission rogatoire de juges antiterroristes, doivent désormais préciser l’état de degré d’avancement de leur projet djihadiste. Mais fait inquiétant, les enquêteurs ont découvert lors des perquisitions que les suspects avaient préparé la confection d’explosifs artisanaux type TATP, une substance explosive instable prisée par les groupes terroristes tels que Daech. Ils s’étaient même entraînés à la manipulation d’explosifs et devaient recevoir au moment de leur interpellation de nouveaux ingrédients sensibles afin semble-t-il de confectionner une bombe pour le jour J. Leur appartenance à un groupe djihadiste n’est pas claire, les suspects évoquant aussi bien l’état islamique que HTS, le groupe rebelle extrémiste syrien qui fut autrefois allié à Al Qaida.
Cette opération antiterroriste confirme que la menace djihadiste reste à un niveau diffus en France et le net rajeunissement des acteurs de la mouvance endogène, c’est-à-dire de personnes présentes sur le territoire français. Les mineurs et les jeunes majeurs représentent désormais l essentiel des arrestations dans les affaires de djihadisme sunnite.
Source
Le ärisien
Vont ils réveiller Charles Martel ?
Nous l’espérons enfin .
Profiteurs d occident et assassins sadiques sans limite d occident = islamistes partout dans le monde
En l occurrence 3 paumes ratés chevaux de Troie ou de Poitiers les vrais chances pour la France 🤣🤣🤣
On a vraiment de la chance d’avoir des gens pareils sur notre territoire ! Merci micron de continuer cette immigration massive d’islamistes.