«Tel-Aviv sur Seine» :Le propalestinien communiste Ian Brossat ne veut pas que l’on s’attaque à son grand père espion
Le groupe communiste – Parti de gauche appelle dans un communiqué l’annulation de cet événement, prévu pour jeudi à Paris Plages.
lire leur communiqué en cliquant sur le lien ci-après
http://www.communiste-frontdegauche-paris.org/Reaction-des-elu-es-et-militant-es
Dans un échange de tweets ce communiste s’énerve quand on évoque son grand père.on peut le comprendre aisément
Patron du groupe communiste au Conseil de Paris, l’ambitieux Ian Brossat a « épousé » durant l’été, à la mairie du XVIIème arrondissement de Paris, son compagnon, Brice, un professeur de mathématiques dans un lycée de la capitale.
Brossat est le petit-fils du physicien israélien Marcus Klingberg, condamné à 20 ans de prison par la justice israélienne pour espionnage au profit de l’Union soviétique.
Il est dans la « logique familiale » que le petit fils poursuive l’œuvre de destruction du peuple juif d’Israel initiée par son grand père
lire ci après les échanges de tweets
ViveIsraël @francais4israel 21 hil y a 21 heures
@davidperrotin Content @IanBrossat ? Votre grand-père sera fier de vous, vous luttez contre l’ennemi sioniste #lachetéenfamile
Ian Brossat @IanBrossat 20 hil y a 20 heures
.@sarah_mergui Je ne sais pas si votre famille à subi la Shoah. La mienne oui. Je vous demande juste de les laisser tranquilles.
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.@sarah_mergui Je ne sais pas si votre famille à subi la Shoah. La mienne oui. Je vous demande juste de les laisser tranquilles.
2. Ian Brossat @IanBrossat 20 hil y a 20 heures
.@sarah_mergui Qui est resté fidèle au pays qui lui a sauvé la vie, surtout. Bref, mêlez vous de ce qui vous regarde.
3. Ian Brossat @IanBrossat 20 hil y a 20 heures
.@sarah_mergui Si vous voulez vous attaquer à moi, faites le directement, sans vous attaquer à ma famille, c’est mieux.
lire ci-après un extrait de l’article du JDD du 15 octobre 2014
http://www.lejdd.fr/Politique/Ian-Brossat-adjoint-au-maire-de-Paris-raconte-l-histoire-de-son-grand-pere-espion-sovietique-en-Israel-694410
A la fin de la guerre, Marcus Klingberg retourne en Pologne. Il se marie. Puis s’installe brièvement en Suède avant de faire son alyah (sa « montée » vers Israël) en pleine guerre israélo-arabe de 1948-1949. Le jeune médecin finit alors la guerre d’Indépendance avec le grade de colonel. « Il a toujours ce grade d’ailleurs, ainsi que sa retraite d’officier », sourit Ian Brossat, qui s’amuse du paradoxe.
Le nouvel immigrant continue à travailler pour l’armée israélienne. En 1950, il devient chef de médecine préventive au commandement des services de santé de l’armée. En 1953, il prend la direction de l’Institut de médecine militaire. Puis il est nommé directeur scientifique adjoint de l’Institut de recherche biologique Nes Ziona. Le poste est clé. Cet institut ultra-secret, situé près de Tel Aviv, est soupçonné d’avoir été utilisé par Israël pour fabriquer des armes chimiques et bactériologiques. L’Etat hébreu a signé en janvier 1993 le traité qui interdit les armes chimiques mais ne l’a jamais ratifié. Selon Le Nouvel Obs, daté du 6 janvier 1994, « au moins 43 types d’armements non conventionnels, des virus aux toxines de champignons en passant par les bactéries et les poisons de synthèse » y seraient confectionnés. Interrogé sur son travail à l’institut, Marcus Klingberg, 96 ans, refuse toujours de répondre : « Je n’ai pas le droit de parler de la nature de mon travail à l’institut Ness Ziona. C’était la condition pour qu’on m’autorise à quitter le sol israélien en 2003 après la fin de ma détention. »
Jusqu’à son arrestation, l’espion soviétique vit la vie du bon samaritain à Tel Aviv. Membre du parti travailliste, « pour faire carrière », selon Brossat, il vote pourtant pour les communistes lors des élections. Scientifique reconnu, il est invité à s’exprimer dans plusieurs grandes universités. Pendant 30 ans, Marcus Klingberg transmet de nombreux documents classés secret-défense à l’Union soviétique. L’espion utilise les congrès scientifiques auxquels il participe à l’étranger pour communiquer ses dossiers à son agent traitant.
Photos de Marcus Klingberg et de sa femme sur le bureau de Ian Brossat à la mairie de Paris (Crédit : Michaël Bloch/JDD.fr)
Marcus Klingberg parvient à deux reprises, en 1965 et dans les années 1970, à échapper aux suspicions et au détecteur de mensonges du Shin Beth, le service de sécurité intérieur. En 1983, un nouvel interrogatoire fait pourtant tout basculer. Questionné pendant plusieurs semaines, il finit par avouer.
Un procès a lieu à huis-clos dès 1983. Pour éviter toute publicité quant à l’existence de Ness Ziona, le nom de Marcus Klingberg n’est même pas mentionné dans l’ordre d’accusation. L’affaire est nommée « Etat d’Israël contre X » par le tribunal de district de Tel-Aviv qui a jugé l’affaire. Sa condamnation à près de vingt ans de prison ne lui fait pas davantage retrouver son identité. Pour tous les gardiens et tous les autres prisonniers, il est « Greenberg ».
Quand Ian, sa mère et sa grand-mère viennent le voir, ils doivent donner ce nom au surveillant. « Il était à l’isolement. Un gardien était là en permanence quand on lui parlait ». Au fil des années, les restrictions commencent un peu à se desserrer. « Greenberg » peut rencontrer d’autres prisonniers. « C’était assez curieux de le voir lui, le notable, devenir pote avec des prisonniers de droit commun. Il a une certaine capacité d’adaptation à tous les milieux », témoigne l’élu parisien. En prison, il a aussi fréquenté l’Israélien Mordechai Vanunu, converti au protestantisme, qui révéla en 1986 au Sunday Times de nombreux détails sur le programme nucléaire israélien. Ce qui le condamna à 18 ans de prison.
En 1998, Marcus Klingberg sort finalement de prison pour raisons de santé et est assigné à résidence. Cinq ans plus tard, il est autorisé à quitter le territoire israélien et se rend en France, où vivent sa fille et son petit-fils. Toujours en pleine santé mentale, il passe ses journées dans son appartement du cinquième arrondissement parisien à lire des livres d’histoire en anglais, polonais, ou russe, trois des six langues qu’il a appris au cours de sa vie, avec l’hébreu, le yiddish, et l’allemand.
« Tous les jours, je lis les trois principaux journaux israéliens sur Internet, le Guardian, le New York Times, et des journaux polonais » raconte d’une voix enjouée Marcus Klingberg. Mais dès que sont évoquées plus précisément ses activités d’espionnage, il se montre moins loquace. Sans doute dépositaire d’encore bien des secrets, l’un des espions soviétiques les plus importants de l’histoire d’Israël n’est pas encore prêt à les livrer.
Ian BROSSAT s’est marié durant l’été 2013 à la mairie du 18e arrondissement de Paris, avec son compagnon, Brice, professeur de mathématiques dans un lycée de la capitale
En Avril 2015, L’adjoint à la maire de Paris a annoncé son intention de porter plainte contre les auteurs des insultes homophobes dont il est la cible.
happywheels
Jolie famille, en verite ! Greenberg n’aurait jamais du quitter le territoire national. De plus, il continue a toucher sa retraite de Colonel ? Et la decheance de nationalite, c’est pour les chiens ? Je suis abasourdie ! A moins qu’on ne nous dise pas tout, bien sur ?
Bien que l’anti-sionisme soit une étape vers l’antisémitisme, j’ai l’impression que le clivage droite – gauche se répercute entre pro et anti- Israël pour des raisons plus profondes que l’antisémitisme.
Israël fonctionne avec des valeurs honnies par la gauche.
La réussite d’Israël est due au travail de tout un peuple, un peuple décidé à garder la terre de ses ancêtres.
ajoutez y : la solidarité ethnique, une Armée exemplaire, une armée de citoyens soldats, une démocratie forte.
Au contraire, pour la droite, l’extrême droite, le travail, le patriotisme, la solidarité ethnique, la carrière militaire, la fermeté, sont des valeurs respectées.
A ma connaissance, Alain Madelin, retiré de la politique, homme de droite (issu de l’extrême-droite au mouvement Occident), est le premier a avoir fait ce choix logique.
Bravo!
Le gouvernement israélien a sa part de responsabilité – il n’aurait jamais dû libérer ce homme qui détient des secrets-défense qu’il pourrait à nouveau divulguer à d’autres puissances étrangères… C’est très grave et dramatique…
son grand pere a attaque israel a sa facon son petit fils continu cest normal quand on s en prends a nous, il y a des reponses plus ou moins violentes qu il ne pleure pas apres.
pauvre petite biche
Tel-Aviv sur Seine» :Le propalestinien communiste Ian Brossat ne veut pas que l’on s’attaque à son grand père espion
Laissez les morts enterrer leur mort !
Collabo, islamiste, traite , antisémite et antisioniste
Une lignée familiale qui enfin ne se reproduira plus
Grâce à la déviation ultime du petit fils pour ne pas dire du petit c…..
En 2 mots simplement
Famille d enc……