TARIQ RAMADAN N’A PAS HARCELE L’EPOUSE D’EDGAR MORIN, ALORS DE QUOI SE PLAINT-ON ?
De Jany Leroy
Pas très à l’aise dans ses baskets de sociologue-philosophe, le gars Edgar Morin. Ses deux ouvrages cosignés avec Tariq Ramadan pourraient faire un peu désordre sur les étagères des bibliothèques. Mais il a « horreur du lynchage médiatique ». Nous aussi… Quoique « tant de fumée sans feu serait bien surprenant », nous dit un pompier de la région parisienne régulièrement caillassé par des représentants de cette religion dont Edgar nous explique qu’elle n’est pas si pire que le christianisme… Le philosophe est parfois farceur.
Sans aucune réserve sur la réalité des accusations, Edgar Morin droit dans ses babouches « était et reste très content de contribuer à établir un pont entre des cultures ou modes de pensée qui ne se comprennent pas… et où, même, l’incompréhension progresse de part et d’autre ». Prêt à témoigner au procès. Le pont ne tient plus que par des bouts de ficelle et ce ne sont pas les quelques supposées harcelées ou violées qui passent en dessous qui le feront s’écrouler. Tant d’efforts réduits en cendres par on ne sait quelles bonnes femmes, peut-être mythomanes, sans doute provocatrices et islamophobes… Ça, jamais !
« Lors de nos entretiens enregistrés, mon épouse avait tenu à y participer en l’interrogeant sur sa position (!) par rapport à l’égalité des femmes, ce sur quoi il avait développé une réponse en accord avec nos principes… » Ouf ! Devant une tasse de thé, l’islamologue suisse développait des idées de toute beauté. Un vrai délice. Langage châtié, petit doigt en l’air, après vous, je n’en ferai rien… Information capitale à verser au dossier : Tariq Ramadan n’a en rien harcelé et encore moins violé la femme d’Edgar Morin. Et ce ne sont pourtant pas les occasions qui lui ont manqué ! Lorsque le philosophe-sociologue allait rechercher des « P’tits LU » dans le placard de la cuisine, Tariq restait seul avec l’épouse… Alors, Monsieur le Juge ? N’est-ce pas la preuve que nous sommes face à une campagne de calomnie honteuse ?
« Huissier, faites entrer madame Morin… »
La naïveté du philosophe amateur de « P’tits LU » est confondante. Les exactions et brimades en vigueur dans de nombreux pays islamisés s’effacent tout à coup parce qu’un théoricien plutôt ambigu ne contredit pas l’intellectuel occidental avide de bons sentiments et de ponts chancelants. Que croyait-il ? Que Ramadan allait tranquillement défendre la domination masculine sans partage, le droit de cuissage et la pédophilie ?
Edgar Morin a deux bouquins sur les bras. Deux annuaires bourrés de théories superbes, chacun fourni avec un plan de montage du pont entre « des cultures qui ne se comprennent pas »… Pour bricoleurs, exclusivement.
Source :
http://www.bvoltaire.fr/tariq-ramadan-na-harcele-lepouse-dedgar-morin-de-quoi-se-plaint-on/
Merci pour ce bon moment d’humour mais que cela ne nous fasse pas oublier le rôle de collabos de ces deux crapules.
Que Ramadan aille au diable ..c’est un obsédé sexuel et la justice lui imposait la castration chimique ????
Edgar Morin? mais il fait déjà sous lui…. faut lui changer sa couche d’urgence au vioque, c’est une infection de la tronche. Il empeste le pépère ou alors, très gourmand, il raconte n’importe quoi, accro qu’il est aux makhrouds que »tarik la trique », son dealer lui fournit. C’est que, question « gâteries », même forcées, il en connait en rayon le futur giton des zonzons de frOnce et d’ailleurs.
Non, faut le laisser reposer en paix l’ sénile, c’est un mort-vivant… Il n’en a plus pour très longtemps… on ne peut pas l’empêcher de s’agiter et de rouler pour les muzz. Peut-être qu’avec sa meuf, ça marche plus depuis longtemps et qu’il a envie de se taper les 72 vierges… C’est sûrement ce que lui a fait convoiter « le niqueur coranique » ( ta mère) et à son âge, on peut toujours espérer.
IL EST LOIN LE TEMPS ou il dénonçait l’antisémitisme dans son ouvrage la » rumeur d’Orléans » en 1969, un peu après « le peuple sûr et dominateur » du grand charlot en 67… Il est vrai qu’il s’agissait d’un antisémitisme de droite entretenu par les églises, sentiment malsain que les gentils muzz sont bien incapables d’avoir. Voyons !