Syrie : un haut dirigeant terroriste iranien éliminé à Damas

By  |  1 Comment

Saeed Alidadi, conseiller du Corps des gardiens de la révolution islamique a été tué dans une frappe aérienne nocturne israélienne, au sud de Damas
Bravo à Tsahal


L’Iran a retiré de Syrie les officiers de haut rang du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) à la lumière d’une série de frappes aériennes israéliennes qui ont tué au moins six «conseillers» militaires depuis le mois de décembre.
Le 20 janvier, une attaque a tué cinq gardiens, dont un général qui dirigeait les renseignements de la force Al-Qods, responsable des opérations à l’étranger. La frappe a rasé un immeuble à Damas.
Le 25 décembre, une autre offensive, menée à l’extérieur de Damas, a tué un haut conseiller des Gardiens de la révolution chargé de la coordination entre la Syrie et l’Iran. Le Guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, a animé les prières lors de ses funérailles.
Un haut responsable de la sécurité régionale, qui a reçu des instructions de Téhéran, a déclaré que les commandants iraniens de haut rang avaient quitté la Syrie avec des dizaines d’officiers de rang intermédiaire dans le but de réduire leur présence dans ce pays.
Selon une autre source, un responsable régional proche de l’Iran, ceux qui se trouvent toujours en Syrie auraient quitté leurs bureaux et demeureraient hors de vue. «Les Iraniens n’abandonneront pas la Syrie, mais ils ont réduit autant que possible leur présence et leurs déplacements.»
Le 20 janvier, une attaque a tué cinq gardiens, dont un général qui dirigeait les renseignements de la force Al-Qods.
Les dirigeants du CGRI auraient fait part de leurs inquiétudes aux autorités syriennes quant au rôle joué par les fuites d’informations des services de sécurité syriens dans les attaques meurtrières israéliennes. La précision des frappes avait incité les gardiens à déplacer les sites opérationnels et les résidences des officiers.
Les ressources iraniennes en Syrie et en Irak font également l’objet de représailles de la part des États-Unis après que, la semaine dernière, trois soldats américains ont été tués dans une frappe de drone sur une base militaire dans le nord de la Jordanie. Les États-Unis ont imputé l’attaque aux Kataeb Hezbollah, une milice pro-iranienne en Irak.
Les médias américains ont rapporté jeudi que la Maison-Blanche avait approuvé des plans de frappes sur plusieurs jours contre des cibles irakiennes et syriennes, notamment «des installations et du personnel iraniens».

source :Arabnews

happywheels

1 Comment

  1. Paul06 dit :

    Un de moins, mais la production iranienne de terroristes est illimitée.

Publier un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *