Se faisant passer pour le GUD, l’Iran a lancé une campagne d’intimidation des athlètes israéliens aux JO
L’unité de cyber surveillance du gouvernement israélien a publié ce soir (jeudi) les conclusions d’une enquête relative à une campagne d’intimidation des athlètes israéliens aux JO de Paris sur le net.
Elle a révélé que, se faisant passer pour des comptes du GUD, groupuscule de l’extrême-droite française, l’Iran a orchestré une campagne qui se basait sur la publication d’informations personnelles au sujet des membres de la délégation israélienne et l’envoi de messages d’intimidation.
L’unité de cyber surveillance israélienne oeuvre pour faire disparaitre ces faux comptes à l’aide de la cyber unité du Parquet.
L’unité travaille avec le Comité olympique israélien et le Département de sécurité et d’urgence du ministère de la Culture et des Sports afin de protéger les membres de la délégation.
Selon Gabi Portnoy, responsable de l’unité gouvernementale de cyber surveillance : “L’Iran profite d’une compétition sportive internationale apolitique pour promouvoir l’activité terroriste numérique contre Israël et contre son droit de participer à ces compétitions”.
Le ministre de la Culture et des Sports Miki Zohar a déclaré : “Une fois de plus, nous sommes exposés aux tentatives de la tête du serpent iranien de menacer les sportifs israéliens et d’utiliser la terreur psychologique sur notre formidable délégation. Ici à Paris, nous continuons de toutes nos forces et rien ne nous arrêtera : les athlètes sont plus que jamais prêts et déterminés à réussir et notre système de sécurité est prêt à affronter tous les scénarios. Nous ne lâcherons rien tant que nous n’aurons pas fait tomber la tête du serpent iranien”.
Source
LPH Info
Le Groupe union défense (plus connu sous l’acronyme GUD) était une organisation étudiante française d’extrême droite réputée pour ses actions violentes, et très active dans les années 1970. Dès 1994, Frédéric Chatillon, directeur du GUD, se rapproche de Moustapha Tlass, ministre de la défense syrien. Le régime de Hafez el-Assad finance les activités du GUD, car il « voit en Chatillon une porte ouverte vers les mouvements extrémistes occidentaux ». Frédéric Chatillon assurera la propagande du régime syrien, y compris sous Bachar el-Assad, pendant la guerre civile syrienne, et les liens entre le GUD et le régime syrien serviront à organiser de nombreux voyages de propagande en Syrie, y compris d’élus français d’extrême droite
Syrie, été 2006. De gauche à droite: Ahmed Moualek, du site Labanlieuesexprime, Dieudonné, Thierry Meyssan du Réseau Voltaire, Alain Soral et Frédéric Chatillon (GUD)
lire ci-dessous l’article de FRANC TIREUR n°104 de Novembre 2023
Les attaques meurtrières du Hamas ont trouvé des mains pour les applaudir à l’extrême gauche, mais aussi des bras tendus à l’extrême droite. Le lendemain du 7 octobre, un groupe s’en félicite d’un tweet sinistre : « Ni kippa ni kippa. » Entendez : « Ni Juifs ni Juifs. » Ils ne verseront pas une larme. Ce groupe, c’est le GUD (Groupe union défense), l’un des groupuscules les plus brutaux et les plus antisémites qui soient. Chez eux, les artefacts nazis ont la cote. Ses membres sont régulièrement condamnés pour des rixes ou des ¬violences, notamment en marge de La Manif pour tous. Tout récemment, Loïk Le Priol, ancien « gudard », a été arrêté avec plusieurs complices pour l’assassinat du joueur de rugby Federico Martín Aramburú. Dans les facs, le GUD fait le coup de poing depuis 1968, dans la lignée d’Occident. On les reconnaît à leurs cheveux courts et gominés, à leurs blousons noirs, à leurs drapeaux frappés d’une croix celtique blanche et à leur totem : un petit rat noir qui porte un keffieh. Car, depuis toujours, le GUD est pro-palestinien.
Leur slogan préféré ? « À Paris comme à Gaza, intifada ! » Lorsqu’on interroge l’un de ses dirigeants d’alors, Benoît Fleury, à propos de ce mantra dans L’Écho des savanes en 1999, il ne fait pas dans le détail : « C’est pour désigner l’ennemi, et l’ennemi aujourd’hui en France, c’est le même qu’en Palestine. On est contre l’occupation sioniste, avec un côté antisémite qu’il faut appliquer ¬partout où les juifs peuvent être ¬présents. » Ce sont les années où le GUD dénonce « la politisation du judaïsme » et le « lobby sioniste ».
Cachez ces hommes de l’ombre
Plus récemment, le Groupe a évolué vers un racisme, disons, plus multiculturel : « Ni synagogue ni mosquée. » Un nouveau credo accompagné, en 2012, des portraits de Dominique Strauss-Kahn, Jacques Attali et Khomeiny. Pas sûr que tous les vieux briscards du mouvement approuveraient. Les mollahs, certains n’ont aucun problème à les ¬fréquenter. Ils veulent bien bouter les Arabes hors de France, mais adorent les régimes nationalistes arabes ou même islamistes chez eux. Notamment la Syrie de Bachar el-Assad, qui les a -toujours ¬soutenus et même financés.
En 1996, par exemple. Cette année-là, les services spéciaux israéliens éliminent Yehia Ayache, grand artificier du Hamas. Ému, le GUD décide de lui rendre hommage en collant, selon le collectif antifasciste La Horde, des affiches imprimées à Damas, avec l’autorisation du ministre syrien de la Défense, le général Tlass.
L’Iran n’est jamais loin non plus. D’ailleurs, le Groupe admire autant le Hamas que le Hezbollah, son autre bras armé, qu’il présente comme « le principal mouvement anti-impérialiste de la région ». En 2006, ¬Frédéric Chatillon, l’un des chefs du Groupe, va même lui rendre visite et lui proposer ses services de conseiller en communication. C’est la grande spécialité des vieux « gudards », souvent passés par Assas et plutôt bien formés en droit : facturer leur extrémisme grâce à des ¬cabinets de conseil. Le plus gros, fondé et tenu par des anciens leaders du GUD, s’appelle Riwal… Il sert de boîte de communication au FN puis au RN, et ça ne date pas de l’époque du père mais de la fille.
Depuis qu’ils remplacent le vieil imprimeur du Rassemblement national, Fernand Le Rachinel, qui a fait condamner le FN pour ¬¬¬¬« tentative d’extorsion de fonds », les « gudards » sont partout en coulisse, au cœur de tous les scandales financiers du parti, notamment celui des « kits de campagne ». La presse les a surnommés la « GUD Connection ». Le grand public est loin de connaître la radicalité de ces hommes de l’ombre, que l’on cache pour ne pas gêner la vitrine.
Marine Le Pen veille à ne jamais être prise en photo avec Axel ¬Loustau, qu’elle préfère présenter comme simple « comptable », mais qui est en ¬réalité l’un des hommes du Groupe les plus radicaux et celui qui a dirigé son micro-parti (sa cagnotte électorale) pendant dix ans, jusqu’à l’an dernier, parce que la presse fouinait trop. Avant lui, un autre « gudard » tenait sa caisse. Marine Le Pen n’aime pas non plus être vue avec Frédéric Chatillon, qu’elle fréquente depuis la fac et qui la conseille parfois. Comme lorsqu’il l’emmène en Italie, en 2018, pour lui présenter la petite-fille de Mussolini… Afficher ses conseillers occultes nuirait dramatiquement à ses ¬discours contre l’antisémitisme ¬islamiste.
Car ces hommes-clés, au cœur de la communication politique du RN, sont aussi les parrains et même les mécènes d’Égalité et Réconciliation, ¬l’organisation d’Alain Soral : le mouvement le plus antisémite de France, celui qui a pensé ¬l’alliance des arabes et des chrétiens contre les juifs. Axel Loustau et Frédéric Chatillon ont également été aperçus, en 2009, dans une manifestation contre le « génocide palestinien » organisée par le collectif Cheikh Yassine (fondateur du Hamas), aux côtés de son leader, Abdelhakim Sefrioui. Lequel mènera, quelques années plus tard, la fatwa contre Samuel Paty. Interrogée par Mediapart, Marine Le Pen refusera de condamner la présence de ses proches dans ce cortège. Nouvelle photo de famille embarrassante au lendemain des massacres du Hamas du 7 octobre. Cette fois, la génération montante a décidé de se retrouver à la fac de Tolbiac, certains posant en keffieh et en T-shirt aux couleurs de la Palestine autour de Paul-Alexis Husak. Cet ancien des Zouaves Paris, condamné pour des faits de violence, est monteur vidéo chez e-Politic. Détenue en partie par Loustau et Chatillon, c’est la nouvelle agence de communication du Rassemblement ¬national. De quoi gâcher la vitrine.
L’Iran est responsable de tout ce désordre mondial .
Dès que Trump sera en fonction il devrait s’occuper du dossier iranien en priorité .
Ne plus lui laisser l’initiative quitte à bombarder le cœur de lIran et les sites nucléaires .
Ne subissons plus sa guerre larvée . Déclarons la guerre une fois pour toutes à l’Iran et coupons lui la tête…..beaucoup de bouffons vont se calmer .
il n’y a pas d’autres solutions .
Israël subit 7 fronts et derrière chaque front on trouve l’Iran .
Tout ce qui se passe en France et ailleurs on trouve encore lIran .
Le but de lIran est de nous affaiblir jusqu’au moment où il est prêt Cad obtenir l’arme nucléaire il cherchera à nous détruire et à installer un empire chiite .
Alors quattendons nous ?
Comme on a laissé Hitler agir..nous laissons l’Iran agir sans aucune opposition par lâcheté .
Il faut écouter Bibi lors de son discours au congrès americain….écoutons chaque mot de cet homme d’expérience….il sait de quoi il parle…c’est notre Churchill .
Remercions D. d’avoir un tel dirigeant à la tête de ce pays minuscule mais immense dans le cœur de chaque Juif .