QUAND LE SECRETAIRE NATIONAL DU FRONT NATIONAL REPREND LA DEVISE DU WAFFEN SS DORIOT
Article en page 4 du Canard Enchaine du 29 Septembre 2016.
Une manière de rappeler la devise chère au Front National et comble de l’ironie, qui était celle affichée sur la porte du bureau de son nouveau président de parti, Carl LANG lorsque celui-ci était membre du FN : « Le Parti ne te doit rien, tu dois tout au parti ».
Source :
http://www.dtom.fr/archives/fin-du-feuilleton-le-rachinel-du-moins-jusquau-prochain-episode/
Jacques Doriot, né à Bresles dans l’Oise le 26 septembre 1898 et mort à Mengen, dans le Wurtemberg, en Allemagne, le 23 février 1945, est un homme politique et journaliste français, communiste puis fasciste. Il fut pendant la Seconde Guerre mondiale l’une des figures de proue du collaborationnisme. Après son départ du Parti communiste français, il fonda le Parti populaire français, qui fut durant l’Occupation allemande, l’un des deux principaux partis français de la Collaboration.
En 1936, Doriot fonde le Parti populaire français (PPF) et reprend le journal La Liberté, lequel prend position contre le Front populaire. Durant la guerre, Doriot est un partisan radical de la collaboration. Il contribue, ainsi, à la création de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF) et combat personnellement sous l’uniforme allemand sur le front russe, avec le grade de lieutenant.
Il se réfugie en Allemagne en 1944, et tente de mettre en place un Comité de libération française ; il meurt lors du mitraillage de sa voiture par deux avions en maraude. Selon certaines thèses, il aurait été victime de divergences entre les nazis.
C’est aussi sur le plan de la xénophobie, du racisme et de l’antisémitisme que des changements surviennent, après la mort de son ami juif Alexandre Abremski en février 1938 et le départ en janvier 1939 de Bertrand de Jouvenel dont la mère était juive11. Alors que trois banques juives, Rothschild, Lazard et Worms comptaient parmi les bailleurs de fonds initiaux du PPF14, on commence lors du congrès du parti en Afrique du Nord en novembre 1938 à discuter de la « question juive », Victor Arrighi parlant de chasser les Juifs d’Afrique du Nord15.
La presse doriotiste exprime enfin de manière ouverte son admiration pour les régimes fascistes, les voyages en Allemagne et en Italie des doriotistes se multiplient, et la propagande devient plus dure.
L’enfer pour cet homme là et notre réconfort.
Je comprends pas, il était antisémite et il avait un ami juif…?
pardon: est notre réconfort.
bravo la ldj de nous rapeller l’imposture du fhaine se posant en defenseur de la france mais en realité fils legitime des vichystes
bravo frėre..tout a fait ok avec toi..la ldj ne passe pas mes commentaires qu’il doive juger trop hard anti fhaine…domage..tel hai
lol !
c’est par leur genre à la LDJ de sucer les boules au parti des enfants de tondus…., tu dois faire trop de faute d’orthograffe .
Moi aussi ils me sucrent qq posts cathophobes , je me dis que j’ai fait trop de fautes d’ortaugraffe également
Pour la petite Histoire, Jacque Doriot, passé du Communisme (rival de Thorez ) à l’Ultra Collaboration, réfugié à Sigmaringen, est mort, mitraillé par un avion, sur une route allemande.
Il est fort probable que l’avion soit un avion allemand.
Cela fait mentir le proverbe qui dit : « les loups ne se mangent pas entre eux. »
Ila eu de belles obsèques avec le gratin des Kollabos de Sigmaringen.
Cela lui a évité d’être fusillé en France.
De nombreuses rumeurs ont entretenu le mythe d’un assassinat de Doriot, relayé par André Brissaud dans son ouvrage Pétain à Sigmaringen (1966) qui accorde du crédit à la thèse d’un mitraillage non par des avions alliés mais par des avions allemands. Il reprenait les théories de l’écrivain et collaborateur de Doriot Maurice Yvan-Sicard et de Marie Chaix, la fille d’Albert Beugras, un responsable du PPF27. Les principaux éléments appuyant la thèse d’un assassinat sont :
les propos du chauffeur : « ce sont des avions allemands », Doriot qui connaissait les silhouettes des différents avions, ne se serait d’ailleurs pas inquiété ;
l’absence d’informations des autorités américaines ou britanniques sur un mitraillage dans cette zone à ce moment ;
l’attitude des services allemands avec des incohérences dans l’enquête du SD de Sigmaringen parlant d’une attaque de Mosquito à 12 h 30 alors que la fin de l’alerte aérienne avait été donnée à Mainau et à Mengen à 11 h 3227.
De plus, Simon Sabiani, un des premiers à s’être rendu sur les lieux, dit y avoir trouvé le docteur Kreuz, un des chefs de l’Amt IV E3, dépendant d’Heinrich Muller, ayant dans ses mains la serviette de Doriot27.
Marie Chaix, qui laisse entendre, mais sans l’affirmer, l’assassinat de Doriot, avance pour cela le « retournement » de son père Albert Beugras par les services de renseignements français de la France libérée27.
On parle également d’un accord : les PPF de France se seraient ralliés à la Résistance anticommuniste.
Autre terrain favorable aux rumeurs sur un assassinat : les multiples conflits et intrigues qui se déroulaient à Sigmaringen, lieu de refuge des collaborateurs français et siège de la Commission gouvernementale, le successeur « légal » et en exil du gouvernement de Vichy mais sans pouvoir réel, pas même sur les Français d’Allemagne. S’y ajoutaient les rivalités entre différents services allemands et les menées du PPF — le Comité de libération française dirigé par Doriot supplantait en partie la commission gouvernementale auprès des Allemands.
On a supposé, mais sans preuves, que Fernand de Brinon qui dirigeait la Commission, aurait pris contact avec le général Giraud pour le pousser à mener un mouvement contre de Gaulle et le Parti communiste.
Mais s’il s’agissait d’un assassinat par les Allemands, se pose alors la question de qui en a donné l’ordre. Maurice Yves-Sicar et Marie Chaix désignent Heinrich Himmler tandis qu’André Brissaud penche lui pour Martin Bormann27.
Himmler à toujours soutenu Doriot et au moment de l’attaque il dirige les troupes SS sur le front de la Vistule face aux Soviétiques, Doriot est donc alors sans doute loin de ses préoccupations27. Quant à Bormann, il aurait ainsi voulu se venger de Burckël, Gauleiter du Palatinat, protecteur et ami de Doriot, de Ribbentrop et de Goebbels. Mais cela semble accorder beaucoup d’importance à Doriot, surtout à ce moment de la guerre27.
Déat dira dans ses mémoires : « Des bruits ridicules commencent à circuler sur la manière dont Doriot a été tué. Des imaginations délirantes veulent y voir un attentat. On ne sait pas bien par qui il aurait été monté. Il en est pour accuser certains clans allemands, d’autres pour prétendre qu’il n’y aurait jamais eu d’avion et qu’il s’agit d’un assassinat accompli en connaissance de cause […] Mais non c’est beaucoup plus simple. Il suffit de regarder la voiture qu’on a ramenée à Sigmaringen et qui est à droite traversée d’énormes balles. Doriot était justement assis à droite du chauffeur, il est mort instantanément. »28
En 1947, durant son procès devant un tribunal militaire, le colonel SS Helmut Knochen chef du Sipo-SD pour la France, indiquera que la voiture de Doriot a été mitraillée par des avions britanniques27.
Il est aussi à noter la forte présence de chasseurs britanniques et américains dans le ciel allemand le jour du mitraillage, le 23 février. Depuis la veille, se déroulait l’opération Clarion, un bombardement massif des installations de transport allemandes par 3 500 bombardiers et 1 500 chasseurs, et cette opération s’étendait très au sud, jusqu’à la région du lac de Constance.
La seule témoin du mitraillage, la femme qui accompagnait Doriot, ne fut interrogée que par des membres du PPF et l’historien allemand Eberhard Jäckel constata que cette thèse d’un mitraillage par des avions allemands ne devint publique que lors des différents procès en France de membres du PPF après guerre, ce qui facilitait leur défense, d’avoir servi un chef mort sous les balles allemandes27.
c’est mitterand qui l’a planqué à Lacché ??
a sa droite Barthélémy et a sa gauche Marshall, sans doute
les deux crapules qui lui rendront un culte tous les 22 fevrier depuis 1961
Doriot, gros étron, au figuré comme au réel, passé du Parti communiste au Nazisme
parcours digne de bien des cocos frankaoui…
Il méritait de mourir sous les balles, mais sous les balles d’un peloton d’exécution français.
De toutes façons l’histoire est enregistrée dans le livre de D. Et rien ne peut être falsifié sinon par des hommes,et ils perdent leur temps,le temps étant déjà le déchet de l’éternité,le temps esthésique est bien un leurre supplémentaire avec son cortège de chimères,pour preuve verace l’état du monde et son histoire,pour ne pas dire le jeu de massacre (s)!La roue tourne encore et comme une roue tourne autour d’elle même,on aura relevé un caractère cyclique dans les affres antisémites,anti sionistes…Je dois me répéter moi même,c’est dire…!