Paris: plusieurs tags nazis retrouvés à l’Université Panthéon-Assas
Plusieurs tags nazis ont été retrouvés mercredi dans les toilettes du centre Vaugirard de l’Université Panthéon-Assas à Paris.
L’aryen de service a eu le courage d’apposer ses emblèmes dans une toilette derrière une porte fermée à clé.
Nous promettons à cet individu un rendez vous qu’il n’oubliera pas quand il aura rencontrer les membres de la LDJ.
Elle provoque un sentiment d’inquiétude fort chez les étudiants juifs, qui bien que n’y étant pas toujours confrontés dans leur quotidien constatent que de tels actes se banalisent, » a souligné M. Ghozlan à i24NEWS.
M. Ghozlan appelle l’ensemble de la communauté universitaire, les professeurs, les organisations étudiantes représentatives, en passant par les doyens et les présidents d’Université à se mobiliser, sensibiliser et combattre sans relâche « de tels actes abjects ».
« Nous ne pouvons pas attendre le prochain acte pour agir. Et les réactions en chaîne ne bouleversent pas un problème plus large qui infuse dans la société, » a-t-il conclu.
les mêmes courageux que les tapettes du GUD rue d’ assas, qui se sont retranchés dans le grand hall de la rue d’ assas, il y a bien 30 ans
les garçons de la LDJ, dont mon petit parent Itamar, les attendaient rue d’ assas pour s’ expliquer
ces grands courageux, comme celui qui s’ enferme dans les chiottes, avaient demandé aux appariteurs de faire venir les flics, pour se faire exfiltrer
l’ avantage des chiottes c’est qu il a du se mettre le doigt dans le fion en guise d’ encre
C’est inadmissible !!!
Certes, à Assas il y a le GUD de sinistre réputation mais est on vraiment sûr que le coupable est un « Aryen » ?? A Assas, (en 2018) il n’y a pas que des étudiants d’origine européenne..
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a l’image de la France, Assas a aussi changé depuis les années 80 et la diversité est maintenant bien présente, avec les idées politiques qui vont avec.
Mais il y a aussi toujours des cons d’extrême droite tradi. Ca n’a plus grand chose à voir avec avant sur la quantité et la visibilité, mais ca n’a pas disparu