Ni ce soir, ni jamais

de Meir Ben-Hayoun
J’ai vu en différé cettre émission « ce soir ou jamais » du 16/10/2015.
Ces gens de ce débat qui vous exaspèrent et je le comprends ne sont pas des cons ni des crétins, ce sont des ennemis d’Israel: le Saledingue aux boucles d’oreilles, le Elias Sanbar et la minette arabe de science po.
De surcroit sur le plateau de ce débat, il y a des collabos comme cette Valérie Zenatti et cette horreur à faire faire des cauchemars aux enfants, la Esther Benbassa hideusement peinturlurée qui a une cheveulure comme une brosse à chiotte.
Ces deux dames font partie de ces personnes qui ont lamentablement raté leur Alyah et font carrière d’avoir été Israéliens comme les Ofer Bronstein et d’autres et pour se valoriser font la lèche à l’ennemi, soit disant des militants de la « paix ». C’est de ce pain infecte dont ils se nourrissent.
En revanche le Robert Misrahi et la Martine Gozlan de Marianne et le français au demeurant sympathiques sont des niais ou des idiots utiles qui s’imaginent que pour accéder à la paix chez nous, il faudrait donner raison à la revendication arabe de créer un Etat terroriste dit « palestinien ». Ainsi, dans ce genre de débat grotesque, en flattant l’ambassadeur des terroristes Sanbar, ils estiment pouvoir bénéficier d’un quelconque crédit pour défendre la cause d’Israel. Il est à remarquer que dans ce débat, il n’y aucun Israélien normal. Aucun de ces gens ne vit ce qui se passe concrètement ici. Ils le voient à la télé.
C’est justement parce que les intellos juifs israéliens, français dont BHL et toute la clique dans le monde ont fléchi le genou et ont accepté le principe d’un Etat arabe au coeur d’Eretz Israel que cela a octroyé aux Arabes la motivation et la dynamique de nous assassiner aujourd’hui et de fomenter de pouvoir nous anéantir.
Si d’une seule voix et d’un seul coeur, le peuple juif avec ses intellectuels et personnalités avait proclamé sans brèche après 67 et jusqu’à aujourd’hui que nous avons libéré nos terres, le coeur d’Eretz Israel, lors de la Guerre des Six Jours, la victoire de cette guerre aurait été transformée dans les faits et la cause arabe aurait été perdue à tout jamais.
On ne peut pas défendre Israel si on accepte le principe que les Arabes auraient un droit sur une quelconque partie d’Eretz Israel. Dieu le dit dans la Torah (Nombres chapitre 33, à partir du verset 50). En dépit des tentatives de « processus de paix » et justement à cause d’elles, l’expérience nous le confirme par le sang juif qui coule depuis toutes ces intifadas et comme hier soir à Beer Sheva.
Le bon sens juif le plus élémentaire nous l’impose: aucun peuple et encore moins des Arabes n’ont un droit minimal sur Eretz Israel. Dorénavant, on doit chasser d’Eretz Israël manu militari nos ennemis, tous, exception faite des très rares Arabes qui se sont révélés fidèles et loyaux avec nous . C’est la seule et unique réponse juive possible: les Juifs en Eretz Israel et les Arabes dans les pays arabes et le Shalom sur Israel, amen.
Meir Ben-Hayoun