Mort de l’antisémite Roland Dumas, ancien ministre de François Mitterrand

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L’ancien ministre de François Mitterrand, président du Conseil constitutionnel et avocat, Roland Dumas, est mort à l’âge de 101 ans.
Il s’est fait remarqué en prenant la défense de teeroriste arabe comme Hilarion Capucci.
L’ancien ministre du porteur de la francisque François Mitterrand fut président du Conseil constitutionnel et avocat

A tous les postes où il a travaillé Roland Dumas a œuvré pour les ennemis d’Israel au poste de ministre des Affaires étrangères de 1988 à 1993 sous la présidence de François Mitterrand.

Président de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale. Puis au Quai d’Orsay pour quatre ans. Roland Dumas a toujours travaillé contre Israël
Souhaitons que ces amis Soral et Dieudonné seront présents à son enterrement

happywheels

10 Commentaires

  1. Ben dit :

    Ce type est une veritable ordure de la pire espèce.
    C’est triste qu’il ait vécu si longtemps.

  2. Paul06 dit :

    Une ordure, tout comme Mitterand.

  3. David dit :

    Lui n’aimait pas les Juifs ….il a toujours su nager en eaux troubles et fait partie de la Cour de son maître Mitterrand .
    Il aimait jouer les Casanova , porter de belles chaussures et se demander chaque matin  » miroir qui est le plus beau en ce palais  » et le miroir de lui répondre  » tu es beau mais tellement con « ….. sans oublier qu’il aimait beaucoup les arabes surtout ceux qui sentaient le pétrole et aussi celui d’ELF .

  4. David dit :

    Le noyeau dur de la miterrandie….Charasse , Dumas ,la Lang de p…et le traître Attali .
    Un véritable conte des mille et une nuits qu’entretient toujours la Lang de p… à l’Institut du Monde Arabe ..

  5. David dit :

    Monsieur Dumas n’est pas Talleyrand qui veut .
    Lui était beaucoup plus habile que vous car comme vous il aimait l’argent .
    Comme vous il aimait les femmes et surtout les parties de Whist au palais Royal .
    Mais à l’époque des guerres et des alliances il se permettait de prélever une commission après chaque signature apposée en bas d’un traité .
    Pauvre Dumas on retiendra de vous une paire de chaussures que vous a offert votre maîtresse avec l’argent des des vedettes de Taiwan .
    Les juifs vous ont déjà oublié….pour cela il a fallu nous boucher le nez .

  6. Poissonchat dit :

    Adieu pauvre m….

  7. David dit :

    Les propos polémiques de Roland Dumas en six actes
    Après avoir déclaré que le Premier ministre était « probablement sous influence » juive, l’ancien ministre de François Mitterrand est sous le feu des critiques de la classe politique.

    Il était l’ami d’Arafat
    Il a soutenu la cause des palestiniens et celle des algériens pendant la guerre .
    Il a déjeuné avec Bousquet qu’il admirait etc..
    A part ça à l’écouter il n’était pas antisémite .
    ..

  8. David dit :

    Pour être juste son père…….
    Georges Dumas obtint le titre de Juste parmi les Nations, pour avoir aidé à mettre à l’abri Simone Nathan, une amie de lycée de sa fille et soutenu Henri Sangler, président de la communauté juive de Limoges.

    A Jérusalem, c’est une plaque qui l’honore et un arbre a été planté dans le jardin des Justes à l’époque où Roland Dumas était ministre.

    Le fils n’a pas suivi la voie du père ….bien au contraire .
    S’était il tout permis au nom du père ?

  9. Franccomtois dit :

    Le roland dumas vit encore á travers le NFP,je me répete,mais le 07.07 le RN doit avoir la majorité absolu 🙏.
    Le texte pour l´oraison funêbre du dumas porrait-être « No pasaran »🤬
    -Le Point
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    🤮 « No Pasaran » : les rappeurs du déshonneur et leurs suiveurs
    Article de Par Philippe Guedj • 9 h • 6 min de lecture
    Il faut les supporter, ces presque dix minutes assez insupportables. Un tunnel d’appel à la violence, de délire obsidional, d’antisionisme répétitif, d’obsession pour la Palestine, d’identitarisme hypertrophié, de vulgarité misogyne, de complotisme moyenâgeux? Voilà « No Pasaran » : un titre fleuve qui se noie dans ses saumâtres flows de rappeurs éructant leur seau d’injures pyromanes, sous le couvert d’une chanson partisane.

    Sur le papier, l’objectif du morceau, disponible sur les plateformes de streaming depuis la nuit du 1er au 2 juillet, n’avait rien de déshonorant (que l’on soit d’accord ou non avec la démarche) : appeler la jeunesse à voter contre le Rassemblement national (RN) au second tour des élections législatives anticipées, le 7 juillet. Mais la tempête déclenchée depuis quarante-huit heures par l’indignité crasse de certaines rimes fait l’effet d’un véritable repoussoir.

    Rappel des faits : à l’initiative du designer Ramdane Touhami et du producteur Djamel Fezari, alias DJ Kore, une vingtaine de rappeurs ont conjugué, la semaine dernière en studio, leur rage pour enregistrer ce « No Pasaran » au titre lourdement emprunté au cri de ralliement des partisans espagnols anti-franquistes.

    Dans son édition du lundi 1er juillet, le quotidien Libération relate une rencontre de sa journaliste avec le tandem, organisée le jeudi 27 juin dans un hôtel parisien, alors que les deux hommes mettent la touche finale au brûlot, décrit dans l’article comme « un projet aussi colossal qu’urgent ». « Il fallait qu’on revienne à l’essence du rap : faire passer un message. [?] On ne pouvait pas rester les bras croisés », dit l’un. « On n’est pas que des débilos. [?] On va vous amener sur un terrain où vous ne nous avez jamais vus pour la plupart », promet l’autre.
    Apologie du trafic de drogue, ambiance islamiste
    L’autrice de l’article, qui a donc écouté le résultat en avant-première, décrit ainsi la prose des artistes : « Une variété d’angles assez enthousiasmante [?], de la naïveté, voire la crétinerie totale, jusqu’à la précision documentaire, en passant par la violence pure et quelques injonctions classiques à aller niquer telle ou telle mère (sic). Il y a fort à parier que deux ou trois punchlines, qu’on ne citera pas ici pour ne pas prémâcher le travail aux détracteurs, ne manqueront pas d’être sorties de leur contexte pour discréditer le projet. »

    Florilège de ce que l’article désigne comme de la « violence artistique », paraphrasant l’une des voix de « No Pasaran », le rappeur Alkpote ? qui, rappelons-le, avant d’enregistrer une chanson avec l’artiste Bilal Hassani, se revendiquait clairement homophobe.

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    Qu’avons-nous là ? Apologie du trafic de drogue par Zola : « Ferme les frontières mais la dope remontera d’Marbella quand même/Donc ouais c’est pour ça qu’je les ken, donc ouais c’est pour ça qu’j’ai la paye (ouais, ouais). » Ambiance islamiste et misogynie brutale par Alkpote : « J’recharge la kalachnikov comme Ramzan Kadyrov/Nique l’imam Chalgoumi et ceux qui suivent le Sheitan à tout prix [l’imam de Drancy menacé de mort depuis des années pour ses prises de position républicaines, NDLR]/Marine et Marion les putes, un coup de bâton sur ces chiennes en rut. »

    Toujours chez monsieur Capote, une petite louche de complotisme enfiévré : « Nique tous ces députés, on sait qu’ils manipulent les statistiques/Font du mal à nos enfants/Ils veulent nous injecter une puce dans le sang (Antéchris) », suivie par une charge antimaçonnique assénée par Cokein : « Espèce de franc-maçon, tu te nourris du sang qu’tu consommes/Dans leurs ambassades, c’est le Sheitan qui les passionne. » Ailleurs, c’est Mac Tyer qui se risque au jeu de mots borderline : « Le monde est contrôlé par les illu? minés » (petit clin d’?il au terme Illuminati, chouchou des sphères conspirationnistes colorées d’antisémitisme).

    Complainte collective communautariste
    Criblé d’une doxa du « eux contre nous », cultivant les graines d’un esprit de séparatisme plutôt qu’un appel à la concorde pour affronter les périls ensemble, ce cantique de petites fripouilles ? pour paraphraser à notre tour l’une des expressions favorites de l’ex-garde des Sceaux Christiane Taubira ? va encore un peu plus loin quand Akhenaton prend le micro.

    En roue libre depuis les années Covid via ses réseaux sociaux, antivax complotiste et antisioniste déclaré, l’ex-leader du groupe I Am s’en donne à c?ur joie dans ses passions tristes : culture du « tous pourris »malaxé de relativisme flou (« Vingt piges de 11 Septembre, de Syrie, d’attentats et de faits divers miteux en boucle, tous les jours dans les médias/L’État nous fait les poches, prend le fric, avec, on s’fait taper par les flics ») et inversement des valeurs avec cible obsessionnelle (« Les années 30 font leur come-back, normal que Sheytanyahou soit le Blanc qui assure leur contact »). Comme ses confrères, Akhenaton est obnubilé par le Sheitan (version arabe de Satan, citée trois fois dans la chanson), tandis que l’auditeur cherche encore le rapport de nos élections législatives avec le Premier ministre israélien. Le Mia nous manque?

    Enfin, autre récurrence : la Palestine, encore et toujours hors sujet mais encore et toujours au c?ur de la logorrhée des rappeurs monomaniaques, de Costa (« Vive la Palestine, d’la Seine au Jourdain, fuck Jordan, c’est une marionnette ») à Demi Portion (« Les racistes votent, nous aussi, et mon c?ur est en Palestine/On reste fiers, c’est nos principes et mon c?ur est en Palestine »).

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    Ici et là, heureusement, dans certains recoins de cette complainte collective communautariste et tout sauf politiquement responsable (le rappeur RK se vante même de n’avoir « jamais voté »), quelques paroles plutôt bien troussées derrière la brutalité sauvent l’honneur. Et l’appel à se rendre aux urnes reste, même dans cette forme brutale, toujours salutaire. Mais comment fermer les yeux sur le reste ?

    Curieuse indulgence, Akhenaton érigé en sage
    Les auteurs de « No Pasaran » en rêvaient, une certaine presse le fait. Et s’obstine à ne pas voir ? ou dénoncer ? les facettes les plus intolérables de ce délire. Dans un article publié ce 3 juillet, Libération reconnaît les « saillies antisémites » de « No Pasaran », mais le quotidien défend quand même le titre controversé pour la seule raison qu’« il donne aussi, par le conflit médiatique qui s’est ouvert depuis sa sortie, un avant-goût du genre d’intimidation et de censure qui attend tous les artistes si le Rassemblement national arrive au pouvoir ».

    Oui, « No Pasaran » est « problématique », concèdent nos confrères, mais « qui aurait pu imaginer une seconde qu’une réplique in extremis du monde du rap français à la menace du RN au pouvoir prendrait la forme pondérée d’une protest song lardée de belles rimes adoubée par l’Académie française ? ». Et le journal de conclure : « Qu’on ne se trompe pas d’indignation. » S’indigner contre l’antisémitisme, c’est donc se tromper de cause, selon Libé.

    Ailleurs, une curieuse indulgence domine aussi : Le Parisien évoque sobrement « des paroles particulièrement virulentes contre le Rassemblement national ou ses dirigeants ». Sur le site de France Info, on lit que « les rappeurs utilisent des paroles incisives pour dénoncer la montée de l’extrême droite », tandis que Le Monde résume l’affaire par ces mots sur les artistes impliqués dans ce sinistre tube : « Certains tiennent des propos sexistes et outranciers sur Marine Le Pen et Marion Maréchal ou font planer la menace d’une riposte violente. Mais le sage Akhenaton, qui se plaint d’écrire la même histoire depuis quarante ans, conclut : ?Rien n’a changé/Je préfère la main tendue au bras tendu.? »

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    Certes, la main tendue est preuve de sagesse. Hélas, on ne peut pas en dire autant, en parcourant son fil X, du reste des prises de parole d’Akhenaton. À vrai dire, on aurait préféré le voir s’ériger plus courageusement, tout comme ses amis, pour prendre la défense du rappeur iranien condamné à mort Toomaj Salehi, mais leurs ennemis sont ailleurs.

    Inspiré aussi d’un autre morceau rap contestataire de 11 minutes 30 composé contre les lois Debré en 1997, « No Pasaran » trempe malheureusement quant à lui dans la même « sous-culture conspirationniste la plus crasse, non dénuée de remugles antisémites » (pour reprendre un argument du site Conspiracy Watch et de la Licra au sujet de la chanson « Empire » du groupe sulfureux Sniper) trop souvent scandée dans un certain rap français, sur laquelle une partie de la gauche a choisi de fermer les yeux.

    Et, une fois encore, les bonnes âmes laissent le champ libre à l’extrême droite, depuis lundi, pour monopoliser le concert de récriminations légitimes. Cercle infernal. Le clip de « No Pasaran » s’ouvre sur un carton nous informant que « tous les revenus générés par ce morceau seront reversés à la Fondation Abbé-Pierre ». On imagine que le soutien, jadis, du défunt homme d’Église aux propos négationnistes de son ami le philosophe Roger Garaudy est un pur hasard.

    😡Tout cela est á vomir,salopards de bobos,salopards de gauchos,salopes de S.A!!!!NFP-PPF presse collaborationiste,á vomir!!!Et le phillipot,bien discret le type glissera surement un bulletin NFP,cela ne m´étonnerais pas 🤬.

    🙏✝✡💪👍
    -Rev. Joe Freeman – I Have Hope [1960s Rockabilly Gospel]
    https://youtu.be/4cWAykl4l24?feature=shared

  10. joseparis dit :

    On aura au moins eu deux bonnes nouvelles cette semaine, avec la réunion des présidents de communautés juives et du rn, cela fait 2 raisons de se réjouir. 😀

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