Meurtre de Sarah Halimi à Paris : ses proches dénoncent un acte antisémite
Les avocats des proches de Sarah Halimi, retraitée tuée à Paris début avril, montent au créneau. Selon eux, elle «a été ciblée, torturée puis tuée par son agresseur parce qu’elle était juive».
«Il faut nommer les choses. Ce drame est un assassinat antisémite !» Les avocats des proches de Sarah Halimi, une retraitée de 65 ans battue à mort puis défenestrée depuis son appartement du 3e étage dans la rue Vaucouleurs à Paris (XIe) par un de ses voisins, ont tenu une conférence de presse ce lundi pour s’étonner publiquement de la «chape de plomb» qui pèse sur cette affaire survenue il y a sept semaines.
Pour Me Jean-Alexandre Buchinger et David Kaminsky, qui ont eu accès aux nombreux témoignages directs et indirects du drame contenus dans le dossier d’enquête, le doute n’est plus de mise : Sarah Halimi a été ciblée, torturée puis tuée par son agresseur parce qu’elle était juive. Les avocats réclament à la justice la prise en compte de circonstances aggravantes quand le meurtrier présumé (qui s’était rendu sans difficulté après les faits) sera mis en examen.
Le forcené aurait récité des sourates du Coran
Dans la nuit du 3 au 4 avril dernier, ce jeune homme de 27 ans d’origine malienne, au passé de délinquant violent déjà bien fourni, s’était «invité» à 4h35 du matin chez des voisins et amis au 3e étage de son immeuble dont le balcon jouxtait celui de la victime dans le bâtiment mitoyen. Une intrusion tellement violente que les amis du jeune homme s’étaient enfermés dans une pièce avant de prévenir la police.
Trois policiers de la Bac (brigade anticriminalité) arrivés sur place trois minutes plus tard avaient entendu le forcené réciter des sourates du Coran de l’autre côté de la porte. Dans le contexte terroriste, ils avaient attendu l’arrivée de renforts avant d’intervenir. L’interpellation du jeune homme a finalement eu lieu à 5h35… une heure après l’alerte.
Une expertise psychiatrique attendue
Entre temps, le meurtrier présumé, qui pourrait s’être radicalisé lors d’un séjour en prison, était rentré par le balcon chez sa victime, surprise dans son sommeil, et s’était acharné sur elle. Il s’était ensuite changé (!) et avait regagné – toujours par le balcon – l’appartement de ses amis où il s’était remis à prier.
«Il n’est pas rentré dans l’appartement de ses amis (à qui il n’a fait aucun mal) par hasard. Mais simplement pour accéder chez sa victime qu’il savait juive. Des témoins l’ont entendu crier Allah akbar à plusieurs reprises et traiter Mme Halimi de satan en arabe», insiste Me Buchinger en s’étonnant que l’information judiciaire ouverte le 19 avril ne l’ait été que pour «homicide volontaire».
Le meurtrier présumé, qui s’était rebellé au commissariat plusieurs heures après son arrestation, a fait l’objet d’une hospitalisation d’office. La qualification de sa mise en examen dépendra de son expertise psychiatrique dont les conclusions sont attendues au plus tard en juin. «Le plus tôt sera le mieux», estime Joël Mergui, président du Consistoire central. «Plus le temps passe, plus la communauté a l’impression qu’il y a quelque chose qu’on n’a pas envie de nous dire.»
Source :
happywheels
enfoirés de merde si ce n’est pas un crime antisémite c’est quoi connards ???
je souhaite de tout mon coeur que tous ces journaleux crèves torturés , martyrisés et défenestrés !!!!!!!!!!!!!
ORDURES !!!!!!!!!!!
« que tous ces journaleux crèves torturés , martyrisés et défenestrés »
si ce châtiment pouvait être appliqué au tueur de Mme Halimi je ne le considérerais comme juste !
je le considérerais
c’est un acte antisémite- qu’est-ce qu’il leur faut de plus? les témoins seraient tous des menteurs? allons- c’est plutôt que la police était sur les lieux et n’a rien fait- c’est pour cela qu’on essaye d’étouffer l’affaire-
Trop facile de mettre ça sur le compte de la démence sans mettre en cause le mal absolu que propage l’islamisme.
http://www.europe-israel.org/2017/05/sarah-halimi-zl-tuee-une-seconde-fois-par-les-juifs-de-cour-du-crif-et-du-consistoire/