Meurthe-et-Moselle : cinq islamistes interpellés pour des soupçons de terrorisme
Le parquet national antiterroriste (Pnat) a indiqué vendredi 22 décembre que cinq personnes ont été interpellées en Meurthe-et-Moselle et placées en garde à vue par les services de renseignement dans le cadre d’une enquête ouverte pour association de malfaiteurs terroriste criminelle.
Cinq personnes ont été interpellées vendredi 22 décembre en Meurthe-et-Moselle et placées en garde à vue par les services de renseignement dans le cadre d’une enquête ouverte pour association de malfaiteurs terroriste criminelle, a indiqué le parquet national antiterroriste (Pnat), confirmant une information de L’Est Républicain.
Une source proche du dossier a confirmé leur placement en garde à vue, sans plus de détails à ce stade sur les soupçons qui pèsent sur elles. Selon cette source, les interpellations ont eu lieu vendredi matin à Nancy, Vandœuvre-lès-Nancy et Toul.
Les interpellations sont intervenues « à la suite d’éléments potentiellement inquiétants », a précisé vendredi soir une autre source proche du dossier. « Les gardes à vue démarrent à peine ». D’après une troisième source proche du dossier, les personnes interpellées appartiennent à la mouvance islamiste. Est notamment saisie de l’enquête la sous-direction antiterroriste (Sdat) de la police judiciaire.
Ces interpellations interviennent alors que le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a appelé vendredi les préfets au « maintien d’une extrême vigilance » à l’occasion des fêtes de Noël et de l’Épiphanie, en raison du « niveau très élevé de la menace terroriste qui continue de peser ».
Le ministre a fait ce rappel alors que la France a activé depuis le 13 octobre le niveau urgence attentat du dispositif Vigipirate, le plus élevé, à la suite du meurtre de Dominique Bernard, professeur de français dans un lycée d’Arras, poignardé par un ancien élève radicalisé.
L’activation du niveau urgence attentat est intervenue également dans un contexte international marqué par la guerre entre Israël et le Hamas, déclenchée par une attaque sanglante et inédite perpétrée par le mouvement islamiste palestinien le 7 octobre sur le sol israélien à partir de Gaza.
Ils sont des milliers d’islamistes fichés S, plus tous ceux qui passent en dessous des radars. Bravo aux policiers pour leur travail, mais ils ne peuvent pas de toute façon surveiller tous ces fous furieux. Il n’y a que deux solutions, soit les mettre en taule préventivement avant de les expulser, ou les expulser directement de France en leur enlevant leur nationalité française. Sinon on restera ad vitam æternam sous leurs menaces.
Tant que les victimes seront de simples citoyens ,e gouvernement de Macron ne fera rien.
Par contre si de nombreux députés ou sénateurs sont tués peut être verront ils vraiment la situation telle qu’elle est vraiment.
Nous disont cela sans le souhaiter évidemment…