VIDEO :« L’islamophobie, c’est fait pour créer et coaliser la communauté musulmane
La manifestation contre l’islamophobie du 10 novembre a suscité de nombreuses controverses, tant dans la teneur de son appel que sur le déroulé de l’événement.
Fatiha Boudjahlat, militante féministe et laïque, récuse au micro de Sputnik le discours véhiculé par les organisateurs de la manif.
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Source :
https://fr.novopress.info/215997/lislamophobie-cest-fait-pour-creer-et-coaliser-la-communaute-musulmane/
Fatiha Agag-Boudjahlat, également connue comme Fatiha Boudjahlat, née le 29 décembre 1979 à Montbéliard, est une enseignante et essayiste française, cofondatrice avec Céline Pina du mouvement Viv(r)e la République.
Fatiha Agag-Boudjahlat a grandi dans une famille de 8 enfants avec une mère agent d’entretien.
Elle est professeur d’histoire-géographie au collège Maurice Bécanne à Toulouse et fut secrétaire nationale du Mouvement républicain et citoyen chargée des questions d’éducation.
Cofondatrice avec Céline Pina du mouvement Viv(r)e la République, elle en démissionne en février 2018. Elle est membre du cercle Condorcet.
Son essai Le Grand Détournement, paru aux éditions du Cerf en 2017, se vend à 10 000 exemplaires et arrive finaliste pour l’obtention du prix du livre politique 2018. Le livre fait l’objet de nombreuses recensions et/ou critiques dans les médias. Sur le plateau de François Busnel, au cours de l’émission La Grande Librairie, la philosophe Élisabeth Badinter salue la rigueur intellectuelle de l’ouvrage, son courage, et déclare « avoir reçu le livre dans l’estomac ».
En 2017, elle se présente aux élections législatives dans la quatrième circonscription de la Haute-Garonne mais ne remporte que 0,35 % des suffrages exprimés et est éliminée au premier tour
atiha Boudjahlat se présente comme une militante féministe, anti-intégriste et antiraciste et se positionne :
• en faveur d’une « école de l’exigence », plus à même de jouer le rôle d’ascenseur social ;
• en faveur d’une application stricte des principes de la laïcité française, en milieu scolaire et ailleurs ;
• contre les mouvements indigénistes, islamistes et identitaires.
Elle dénonce notamment l’incapacité des « néo-féministes » à s’opposer au patriarcat de la culture musulmane et donc à défendre les droits des femmes issues de l’immigration musulmane9. Caroline Fourest affirme que Fatiha Boudjahlat et Christine Le Doaré ont été déprogrammées d’une intervention à Nanterre sur le féminisme universaliste à cause de pressions émanant du conseil scientifique du congrès international des recherches féministes dans la francophonie.
Elle a, sur les réseaux sociaux, une vive altercation avec Rokhaya Diallo à la suite de laquelle celle-ci porte plainte pour incitation à la commission d’un crime, estimant qu’il y a « appel au viol ». L’avocat de Rokhaya Diallo a affirmé que cette plainte avait abouti à un rappel à la loi, mais Fatiha Boudjahlat dément, affirmant qu’elle avait été classée sans suite, et a porté plainte à son tour pour dénonciation calomnieuse.
Personnalité controversée, elle est soutenue par Élisabeth Badinter et vivement critiquée par Pascal Boniface pour qui elle « n’a d’existence et de reconnaissance médiatiques que parce qu’elle évoque, de manière négative, les musulmans. »
« le discours véhiculé par les organisateurs de la manif »
un classique de la taqiya : derrière la locution »marche contre l’islamophobie » il faut comprendre »en marche pour l’islamisme » ce qui naturellement empêcherait l’adhésion des populations