L’islam tolérant existe-t-il ?
Par François Billot de Lochner
Président de Liberté politique
La question est fondamentale : si l’islam est tolérant, il peut tenir sa place sur l’échiquier mondial ; s’il ne l’est pas, il doit être contenu, voire combattu, car risquant de mettre en péril le fragile équilibre du monde.
Depuis 14 siècles environ, une telle question fait encore débat, ce qui est tout de même surprenant : comment peut-elle être encore posée au terme d’une période de réflexion aussi longue ?
Pour savoir si l’islam offre une possibilité de tolérance ou non, il suffit de se poser les quatre questions suivantes, qui permettent de se faire une idée précise sur ce système politico-religieux, de ses origines à nos jours : le concept de tolérance fut-il développé par son concepteur, se trouve-t-il valorisé dans le livre qui résume sa pensée, est-il appliqué dans les pays islamiques, est-il mis en exergue dans les communautés musulmanes des pays non islamiques ?
– Première question : le créateur de l’islam fut-il un adepte de la tolérance ?
L’histoire nous l’enseigne : Mahomet fut un homme animé par une violence extrême ; un homme de guerre, de sang, de conquête et de sexe à outrance ; un homme qui fut à la tolérance ce qu’Attila fut à l’amour du prochain ; un homme dont l’intolérance fut la marque de fabrique.
– Seconde question : le Coran, sur lequel repose l’islam, laisse-t-il une place à la tolérance ?
Le Coran est un livre politico-religieux de combat qui fait l’apologie de la violence et de la haine ; un livre qui justifie l’esclavage, le meurtre, le viol, la torture, le mensonge, la dissimulation ; un livre qui doit être au chevet de tout musulman, pour application obligatoire sous peine de damnation éternelle ; un livre d’une rare intolérance.
– Troisième question : les régimes fondés sur l’islam sont-ils tolérants ?
Dans le monde entier, les régimes se réclamant de l’islam sont des pays de dictature. Ils font preuve, vis-à-vis des populations non musulmanes, au mieux d’un traitement inégalitaire, scandaleux et honteux, au pire de persécutions dont l’ampleur peut être terrifiante. L’épouvantable génocide de la population arménienne par les Turcs, au siècle dernier, en est une des illustrations éclatantes. Les paradisiaques îles Maldives en sont une autre preuve : la passion des touristes pour cet endroit mythifié cache une impitoyable et sanglante dictature islamique, les ignorants touristes enrichissant et perpétuant sans le savoir un système dictatorial dramatique. Ne parlons pas de l’Arabie Saoudite, du Soudan, du Pakistan, de l’Algérie, de l’Indonésie et de tant d’autres pays islamisés et donc objectivement invivables pour un non musulman.
– Quatrième question : l’islam installé en Occident est-il marqué par la tolérance ?
Il suffit de se renseigner sur ce que professent la quasi-totalité des dirigeants politiques ou des intellectuels musulmans, les milliers d’imams sévissant dans les mosquées occidentales, les milliers de formateurs musulmans exerçant dans les centres de formation musulmans, les habitants des fameuses zones islamisées de non-droit qui prolifèrent en Occident, pour savoir que l’intolérance constitue l’une des armes principales du développement de l’islamisation du monde.
Le dangereux Erdogan le rappelait avec force en 2007 : « Il n’y a pas d’islam modéré : l’islam est l’islam ». Il n’y a donc qu’un seul islam, fondé sur un seul Coran, qui s’oppose frontalement à la liberté et à la dignité des personnes. Il faut s’appeler Alain Juppé pour professer le contraire, tout en expliquant benoîtement qu’il ne connaît rien au sujet. Enarchie oblige…La quasi-totalité du système politico-médiatique est sur cette ligne : affirmation définitivement positive sur le monde musulman, basée sur une ignorance complète du sujet, ou sur le mensonge assumé.
Dans ce contexte hautement dramatique pour l’avenir du monde, les très répétitives objurgations de l’Eglise catholique en général, et du pape François en particulier, relatives à l’obligation qu’aurait l’Occident d’accueillir à bras ouverts tout migrant et donc de se soumettre de fait à l’islam, ne peuvent que soulever l’indignation de tous ceux qui subissent quotidiennement l’insupportable loi islamique et son cortège de violences, comme l’incompréhension de tous ceux qui scrutent le futur en se fondant sur les principes de la connaissance et de la réalité, et non de l’émotion et de l’ignorance.
Source :
http://www.libertepolitique.com/Actualite/Editorial/L-islam-tolerant-existe-t-il2
happywheels
4 siècles pour en arriver à ce résultat !! et aucune mesure n’a encore été prise !!!!
Il me semble que les 4 réponses sont claires pourtant !
Alors pourquoi les tolérer encore !!!
Des tergiversations qui durent 14 siècles ! et voilà où l’on est arrivé aujourd’hui !! voilà ce que cela nous coûte ,
Le mal en personne, lâché dans nos rues, nos villes , nos campagnes et des morts par milliers !
Se poser encore la question est LE problème qui annihile toute forme de tentative de réflexion.
Le mot allemand Toleranz n’a été emprunté au latin et au français qu’au XVIe siècle – autrement dit, à l’époque des guerres de Religion. Dans ce contexte, le terme avait d’abord une signification étroite, celle d’une tolérance à l’égard des autres confessions religieuses.
Au cours du XVIe et du XVIIe siècle, la tolérance religieuse acquiert une signification juridique. Les gouvernements promulguent alors des édits de tolérance et obligent ainsi les fonctionnaires – et une population convaincue d’adhérer à la vraie religion – à être tolérants à l’égard de ces minorités religieuses que sont les Luthériens, les Huguenots et les Papistes.
C’est en 1598 qu’Henri IV signe l’édit de Nantes. L’acte juridique appelant à tolérer aussi bien les personnes qui adhèrent à une confession différente que leur pratique religieuse, requiert la tolérance à l’égard des membres d’une communauté religieuse jusque-là opprimée ou persécutée.
Plus clairement que les Allemands, les Anglais distinguent entre tolerance, la disposition comportementale ou la vertu, et « toleratio »n, qui désigne l’acte juridique. Par Toleranz, la langue allemande désigne aussi bien l’ordre juridique garantissant la tolérance que la vertu politique consistant à entretenir des relations tolérantes avec autrui. Montesquieu, quant à lui, insiste sur la relation de consécution existant entre le fait de tolérer et la tolérance : « Lorsque les lois d’un État ont cru devoir souffrir plusieurs religions, il faut qu’elles les obligent aussi à se tolérer entre elles. […]
Il est donc utile que les lois exigent de ces diverses religions, non seulement qu’elles ne troublent pas l’État, mais aussi qu’elles ne se troublent pas entre elles. Un citoyen ne satisfait point aux lois, en se contentant de ne pas agiter le corps de l’État ; il faut encore qu’il ne trouble pas quelque citoyen que ce soit. »
Pour apporter de l’eau à votre moulin, vous pourriez vous intéresser et faire connaitre le sort de la Papouasie Occidentale (West Papua), territoire annexée par l’Indonésie en 1969. Le massacre des Papous y est de masse (+ de 500 000 morts) dans un silence qui laisse songeur.
Cordialement
La réponse à la question posée est:Non.Combien d’attentats avant que nos politiciens sortent la tête du sable?Leur naïveté et leur angélisme frisent la connerie. Nous gagnerons ce combat,mais â quel prix, tous ces irresponsables complices et collabos auront des comptes â rendre â la population et devront être traduit en justice.
Etes vous certain que nous gagnerons ce combat ? A l’opposé des sondages surprenants de la chaîne franco-allemande arte, qui prétend que la quasi-totalité des musulmans de France privilégie, dans une proportion de 92% la fidélité à leur pays d’accueil, il faut se souvenir qu’il y a peu, 27% des Français de 18 à 34 ans, (qui sont ces drôles de « Français ») affirmaient avoir un préjugé favorable à l’égard de la charia! Bigre. Les arrivées massives de clandestins se multiplient et s’amplifient. Trop de responsables politiques ont adopté le comportement de cet homme politique, éminemment stupide, qui entrait quasiment en transes jubilatoires dès qu’il apercevait le quart du dixième d’une babouche d’un dignitaire qatari, ses épaules semblant montées sur des amortisseurs hydrauliques, et sa tête sur un roulement à bille électronique. Il disait être partisan de la discrimination » positive « , ne se rendant manifestement pas compte, ou faisant semblant, que la discrimination qui se voulait positive pour quelques uns, ne pouvait être, par contrecoup, que négative pour le plus grand nombre.
« 92% des musulmans de France privilégie la fidélité à leur pays d’accueil »
tu m’étonnes, quoi de + logique que d’être fidèle à un pays qui trahit son peuple pour favoriser l’envahisseur au point de se masturber les méninges pour lui trouver systématiquement des excuses quand il commet les pires crimes
« cet homme politique, éminemment stupide »
on peut lui coller tous les noms d’oiseaux sauf stupide le sarkollabo : pour séduire il n’hésitait pas à causer karcher ou mettre la kippa mais dans le dos c’était métissage obligatoire sous menace de méthodes contraignantes, soumission de la France aux usa, liquidation de ses réserves d’or, sans parler du foutoir qu’il a semé en Libye permettant l’essor des islamistes
http://www.lespectacledumonde.fr/index.php?option=com_content&view=article&catid=31:chronique&id=470:zemmour581
« nos politiciens, leur naïveté »
sans vouloir vous offenser ni vous faire de peine, je pense que c’est vous qui êtes naïf de croire que eux le sont …
(hors sujet dans le sujet)
« animé par une violence extrême »
le parquet – qui d’habitude n’en a rien à cirer – a qualifié l’attaque de terroriste
http://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/des-militaires-et-des-policiers-attaqu%C3%A9s-%C3%A0-bruxelles-et-%C3%A0-londres/ar-AAqHYQo?li=BBoJIji