«Le prix à payer sera terrible au Moyen-Orient» : Trump menace de passer à l’action si les otages à Gaza ne sont pas libérés avant son investiture
Sur la plateforme Truth Social, le futur président des États-Unis a mis en garde le groupe terroriste du Hamas, ordonnant la libération des otages avant son investiture le 20 janvier prochain.
Par Lila Bruandet
Si Donald Trump n’a pas encore officiellement pris ses fonctions, cela ne l’empêche pas d’intervenir déjà dans les conflits mondiaux. Lundi 2 décembre, le futur président des États-Unis a publié un message sur Truth Social, exigeant du Hamas la libération des otages. « Tout le monde parle des otages qui sont détenus de manière si violente, inhumaine et contre la volonté du monde entier, au Moyen-Orient. Mais ce ne sont que des paroles et aucune action ! », a déploré le futur locataire de la Maison-Blanche.
Ainsi, il laisse au groupe terroriste jusqu’à son investiture, le 20 janvier prochain, pour libérer « les otages encore retenus dans la bande de Gaza », sans quoi « le prix à payer sera terrible au Moyen-Orient et pour les responsables qui ont perpétré ces atrocités contre l’humanité ». Il promet également que « les responsables seront frappés plus durement que quiconque dans la longue et riche histoire des États-Unis d’Amérique ».
Encore 72 otages détenus à Gaza
Ce message intervient deux jours après la publication d’une vidéo, samedi 30 novembre, par le Hamas où l’on peut voir un des Israéliens pris en otage le 7 octobre 2023. Cet enregistrement, dont la date d’enregistrement ne peut être vérifiée, montre un jeune homme s’exprimant en anglais et en hébreu. Il s’adresse à la fois à Donald Trump, mais également au Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Il les implore de faire le maximum pour obtenir sa libération.
Depuis les attaques du Hamas contre Israël, le 7 octobre 2023, une seule et unique trêve est entrée en vigueur. Un mois après les attentats du groupe terroriste sur le sol israélien, 105 otages avaient été libérés contre la libération de 240 prisonniers palestiniens. Depuis, sept otages ont été libérés par l’armée israélienne. Tsahal estime que 72 personnes vivantes sont encore détenues par le Hamas.
Source
Le JDD
Le président Trump a compris que l’on ne négocie pas avec des terroristes. Le hamas joue avec les nerfs des familles israéliennes depuis trop longtemps. C’est en leur mettant la pression que les otages seront délivrés. Pas autrement.
Pour le hamas les otages sont plutôt un fardeau qu’un avantage comme au debut de la guerre du 07 octobre 2023,ils n’ont plus la main et ils le savent.Ils ont peur de vraiment negocier leur liberation car beaucoup d’entre eux sont morts en ayant subi de mauvais traitements par leurs kapos et ceux qui sont vivants sont detenus dans de très mauvaises et inhumaines conditions.Ils ne peuvent pas justifier leur barbarie et ils savent que la vengeance d’Israel sera terrible.Personne ne viendra au secours de nos otages à part nous.Nous devons helas,ceder sur une partie de leurs exigences.Mais,nous nous vengerons en tuant ces chiens un par un Les gazaouis sont malheureux?Qu’ils crevent!je pense que le moment est propice pour une guerre civile meurtriere au liban pour finir d’une autre façon l’aneantissement du hezbollah avant de profiter de la faiblesse de l’iran pour l’attaquer. joseph
Les terroristes ne comprennent que la force comme tous les lâches .
L’homme qui a tout appris à TRUMP….un second père :
Roy COHN ..
Roy Cohn, né le 20 février 1927 à New York et mort le 2 août 1986 à Bethesda, est un avocat américain. Il acquiert sa notoriété lors des enquêtes lancées par le sénateur Joseph McCarthy. De 1974 à 1986, il est le conseiller juridique de Donald Trump et de son père.
Malgré ses défauts et ses crimes, Roy Cohn était un avocat immense. Une figure du genre. C’est ce que l’on retient en refermant la biographie fine et très bien informée que lui consacre le journaliste Philippe Corbé (Roy Cohn, L’avocat du diable, Grasset, 384 p.), qui paraît ces jours-ci. Roy Cohn débrouille toutes les situations, gagne presque tous les procès, obtient des sommes folles pour ses clients, décourage des reporters malveillants, fait censurer des livres, désigne lui-même les juges et les procureurs des affaires qu’il traite. C’est probablement l’avocat le plus romanesque des États-Unis, comme Jacques Vergès en France, même si les deux ne sont en rien comparables, sauf peut-être pour leur niveau atmosphérique de mauvaise foi et leur absence totale de scrupules. La biographie de Cohn aurait pu être titrée » Sans foi ni loi .