LE « DURAFOUR CREMATOIRE » du journal LIBERATION

By  |  1 Comment

ou quand Le journal des bobos se moque d’un juif qui a perdu sa famille dans la shoah

Dans son article dans le Figaro du 15 Avril 2014 Gilles-William Goldnadel dénonce le surnom antijuif donné au nouveau directeur de Libération par certain salariés.

Dans un registre pas si éloigné du précédent , je recommanderais l’article écoeuré de Renaud Revel dans lequel celui-ci qualifie de «nauséabond», le sobriquet de «troisième Reich» donné par certains journalistes de Libération à leur nouveau directeur Pierre Fraidenraich.
Pour toute excuse certains de ses confrères ont expliqué que son nom de famille était difficile à prononcer… «C’est une tradition à Libé» a déclaré Mme Fatima Brahmi, déléguée syndicale CGT…
Je ne voudrais pas heurter l’esprit de tradition d’un journal soudainement devenu conservateur, mais je n’ose envisager ce qu’aurait été la réaction de la rédaction au cas où, par exemple, un obscur conseiller municipal Front National s’était essayé à ce calembour qui rejoindra le fameux «Durafour crématoire» dans les annales du mot d’esprit mauvais.
Sauf qu’au rebours du regretté Michel Durafour, l’ensemble de la famille Fraidenraich a terminé son parcours dans les fours du troisième Reich.
Les plus coupables ne sont sans doute pas les journalistes insolents, mais une partie de cette caste prise d’un torticolis handicapant qui a autorisé cette insolence jamais tancée tout en traquant frénétiquement, souvent à tort et à travers, les dérapages sur son seul côté droit.
lire l’article de Gilles-William Goldnadel en cliquant sur le lien ci-après
http://www.lefigaro.fr/vox/culture/2014/04/15/31006-20140415ARTFIG00109-alain-finkielkraut-vu-par-gilles-william-goldnadel.php

Nauséabond! A Libération, Pierre Fraidenraich a un nom, « Troisième Reich »

Pierre Fraidenraich, le nouveau directeur opérationnel de Libé, a déjà gagné deux surnoms parmi la rédaction : au choix, “Troisième Reich” ou “Frankenstein”. “En même temps, son nom de famille est difficile à prononcer et à mémoriser”, ironise un journaliste du quotidien (…) “C’est une tradition à Libé”, explique Fatima Brahmi, déléguée syndicale CGT. “Les nouveaux directeurs se présentent et exposent leur projet, Nicolas Demorand lui aussi est passé par là.”
Ces quelques lignes sont l’entame d’un long article sur Libération; publié dans les colonnes des InRocks. Sous le titre, « Sauver Libération : conciliation impossible ? », l’hebdomadaire fait le récit des derniers jours qui ont secoué ce titre. C’est ainsi que l’on découvre que le nouveau patron du journal, fraichement nommé, Pierre Fraidenraich, « au nom imprononçable », selon les quelques journalistes interrogés par le magazine, s’est vu affubler de quelques délicieux surnoms, dont celui de « Troisième Reich ».
On pourrait mettre cela sur le caractère vulgairement potache de quelques olibrius aux QI défoliés, si ce sobriquet, épouvantablement irrespirable et revendiqué par leurs auteurs, était tout simplement ignominieux. Les intéressés savent-ils que toute la famille Fraidenraich, à l’exception d’une seule jeune femme, a été exterminée dans les camps nazis? Que la Shoa a décimé les parents et aïeux de celui que l’on cloue désormais, en ces termes, au pilori dans les couloirs d’un journal où personne ne semble s’en offusquer!
A moins que les mots n’aient plus de sens dans les coursives de Libération, où la chasse à l’homme est devenu un sport quotidien. Les mots manquent. Et reste une profonde nausée.
lire l’article de Renaud REVEL du 7 Avril 2014 en cliquant sur le lien ci-après

http://blogs.lexpress.fr/media/2014/04/07/nauseabond-a-liberation-pierre-fraidenreich-a-un-nom-troisieme-reich/

Michel Durafour ayant lancé un appel public à « exterminer le Front national », Jean-Marie Le Pen réplique le 2 septembre 1988 en déclarant « M. Durafour et Dumoulin, obscur ministre de l’ouverture, dans laquelle il a d’ailleurs immédiatement disparu, a déclaré : “Nous devons nous allier, aux élections municipales, y compris avec le Parti communiste, car le PC, lui, perd des forces tandis que l’extrême droite ne cesse d’en gagner.”M. Durafour-crématoire, merci de cet aveu ! ». Le président du FN, condamné en 1re instance à 10 000 F d’amende pour ce calembour, a été relaxé par la Cour d’appel de Versailles le 3 juillet 1991. Le jugement est réformé le 20 octobre de la même année ; Jean-Marie Le Pen est de nouveau condamné à 10 000 F d’amende par la cour d’appel de Paris, le 3 juin 1993. Cette affaire conduit également à l’exclusion du Front national de François Bachelot, Pascal Arrighi et Yann Piat après qu’ils eurent « exprimé leur désaccord avec ce « calembour ».

happywheels

1 Comment

  1. Richard C. dit :

    Je ne lis pas libé, feuille de désinformation verte & rose, tout comme la télé que j’ai jeté il y a longtemps.
    En revanche, comme tout contribuable, je finance ces journaux inutiles /nuisibles, et je regrette que l’état ait encore subventionné ces parasites au lieu des écoles,hôpitaux prisons et reconduites à la frontières qui font mal sous prétexte de crise.

Publier un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *