L’AVC du 13 Septembre 1993
De Meir Ben-Hayoun
Je ne suis pas médecin et sans rentrer dans le détail, un AVC, c’est quand la circulation sanguine est perturbée dans le cerveau et qu’un caillaud se forme ou quelque chose comme ça?
L’AVC ne date pas d’aujourd’hui le 13 septembre 2016, mais du 13 septembre 1993, lorsque le sang ne circula plus convenablement dans la tête de nos dirigeants. Alors qu’Israel n’était pas vaincu sur le champ de bataille, ils abdiquèrent à l’ennemi, fait sans précédent dans l’histoire humaine. Par exemple, le Maréchal Pétain abdiqua devant l’Allemagne consécutivement à la débacle des troupes françaises face à la Wehrmacht. Là, nos dirigeants abdiquèrent alors que l’ennemi était à genou et privé d’horizon militaire ou politique. Comme prêtexte à ce crime, la « paix » fut invoquée. Et le leadership israéliens dévoyé de cette époque octroya une aubaine et un statut politique sans précédent à l’envahisseur terroriste arabe dit « palestinien », sans mentionner les bases territoriales en Judée Samarie et à Gaza de lancement d’attaques bestiales contre nous.
L’AVC, le vrai date donc de 23 ans, en ce jour terrible du 13 septembre 1993 où Pérès a incrusté Arafat au coeur d’Eretz Israel et abdiqua face à l’ennemi, ce qui a entrainé de façon quasi immédiate la mort dans des conditions atroces de milliers d’entre nous. Depuis, jamais il n’a exprimé le moindre regret ni la moindre excuse envers les proches des victimes. Jamais ces tragédies ne l’ont fait cligner de l’oeil ni douter. Tous ces gens atrocement assassinés par les « partenaires de la paix » de ce faux prophète, ces victimes qui ne pourront jamais atteindre l’âge de 93 ans, ni de 83 ans, ni de 73 ans, ni même de 43 ans comme ce bébé à la tête arrachée dans l’autobus de la ligne numéro 2 à Jérusalem, ou les victimes du Park Hotel de Netanya, ou de la ligne 5 à la rue Dizengoff, toutes ces victimes sacrifiées sur l’autel paien érigé par Pérès et consorts sur la pelouse de la Maison Blanche le 13 septembre 1993, ce qu’on appelle les maudits accords d’Oslo.
Encore récemment, alors que Netanyahou se démenait face au Président américain sur le sujet ô combien épineux du nucléaire iranien, Pérès exploitait encore sa notoriété (indument acquise) et faisait un sale coup dans le dos du Premier ministre en tentant de saboter son action auprès du Congré américain et en faisant des mamours à Obama. Des actes qui depuis le 13 septembre 1993 lui auraient valu d’être écroué pour haute trahison si la Loi israélienne avait été dûment appliquée, à moins que l’AVC du 13/09/93 ne lui soit considéré comme circonstance lui retirant toute responsabilité pénale pour ses actes.
Meir Ben-Hayoun
Bravo Meir Ben-Hayoun! Toujours aussi brillant et chapeau bas pour cette excellente analyse. La date est percutante…
Merci à la LDJ pour ce rappel et cet article.
Maintenant, si depuis 20 ans la gauche n’accède pratiquement plus au pouvoir en Israel, c’est par ce que nos frères d’Israel ouvrent les yeux et réfléchissent..
Souhaitons que celui qui le remplacera dans quelques temps soit a la hauteur de ses responsbilites
A 92 ans que dire ?
Que les salauds ne meurent jamais
Sans parler du fond, beaucoup de fautes dans l’article « caillaud » au lieu de « caillot », « prêtexte » pour « prétexte », « leadership israéliens » => sans s, je passe sur quelques trémas. Merci de relire avant mise en ligne, ce ne sont certainement que des coquilles d’inattention, mais dommage de salir le fond avec la forme.
Pépère tu devrais retirer ton dentier comme moi et mettre le suppo qui va bien avant la sieste de l’après midi…sinon les vieux débris comme nous ça se réveille de mauvaise humeur et la mechanceté ressort !!
Comme dirait ma moitié boiteuse: « yehoudi on sait quand t’as fait une mauvaise sieste …!! »
si c’est pour critiquer ben hayoun, personne ne te retiens: pépère —–>DEHORS !!