LA TRADITION ANTIJUIVE DE LA SUEDE
Par un décret publié jeudi 30 octobre, la Suède reconnaît l’Etat de Palestine, .La Suède a une tradition de complaisance vis-à-vis des antijuifs
Il suffit de se rappeler sa politique de « neutralité »durant la Seconde Guerre mondiale .
La Suède n’a pas autorisé le transit de troupes franco-britanniques armées sur son territoire. Bien que la Suède ne se soit pas déclarée neutre dans la guerre d’Hiver, elle était neutre dans le conflit opposant la France et le Royaume-Uni à l’Allemagne, qui n’avait alors pas encore rompu le Pacte germano-soviétique de non-agression ayant rendu possible l’agression soviétique sur la Finlande.
Quand le Danemark et la Norvège furent attaqués par l’Allemagne, en avril 1940, la Suède n’aida pas ces pays, se voyant forcée de respecter sa politique de neutralité, surtout de peur de se voir elle-même envahie par l’armée allemande.
Le gouvernement suédois fit des concessions à l’Allemagne, comme d’autoriser l’utilisation des chemins de fer suédois par la Wehrmachtpour transporter l’infanterie de la Norvège à la Finlande et pour transporter des soldats entre la Norvège et l’Allemagne.
La coopération de la Suède fut critiquée notamment par le journal Göteborgs Handels- och Sjöfartstidning et a aussi souvent été le sujet de débats dans la Suède de l’après-guerre, ainsi que dans les pays voisins.
Il faut aussi noter que la Suède a secrètement collaboré avec les Alliés, en autorisant leurs unités de renseignement à espionner en Suède, et a finalement été très près de se joindre à l’effort de guerre des Alliés.
Rappelons que la Suède a été la voie de sortie privilégiée de l’or nazi volé aux populations déportées.
lire l’article de LIBERATION du 6 Avril 2006.en cliquant sur le lien ci-après
http://www.liberation.fr/monde/2006/04/06/les-suedois-brisent-la-loi-du-silence-sur-leur-passe-nazi_35348
Les Suédois brisent la loi du silence sur leur passé nazi
La Suède n’en finit plus de fouiller son passé et le quotidien Dagens Nyheter de l’exposer. Après ses révélations sur l’achat d’or nazi, puis sur la campagne de stérilisation forcée menée de 1935 à 1976 en Suède, le journal a publié mardi un témoignage relatant l’application des lois de Nuremberg par le royaume, durant la Deuxième Guerre mondiale. Agé aujourd’hui d’une soixantaine d’années, Mathias Rapps raconte l’histoire de ses parents, d’origine allemande, réfugiés en Suède en 1935. Sa mère était «aryenne», son père juif. Ils voulaient se marier. Mais les autorités suédoises s’y opposèrent et refusèrent même de reconnaître leur mariage, célébré plus tard au Royaume-Uni. Et ce, jusqu’à la capitulation de l’Allemagne nazie.
«Embarrassantes». A l’époque, la Suède arguait qu’elle s’était engagée à respecter le droit marital des pays tiers, en signant la convention internationale de La Haye, en 1902. Or la législation allemande était claire. Depuis 1935, la loi «pour la protection du sang et de l’honneur allemand» interdisait les mariages entre juifs et citoyens «de sang allemand ou assimilé». L’histoire du couple Rapps est loin d’être unique. Mais elle était méconnue, jusqu’à ce qu’un chercheur du centre de théologie et d’étude des religions de l’université de Lund s’y intéresse. Ces cinq dernières années, Anders Jarlert a analysé l’application des lois raciales en Suède de 1937 à 1947. Ses découvertes sont «surprenantes, embarrassantes et inquiétantes», selon le Conseil suédois de la recherche.
En 2001, le gouvernement a alloué 29 millions de couronnes (3,05 millions d’euros) à l’organisme pour qu’il finance divers projets d’étude, destinés à faire le point sur les relations de la Suède avec l’Allemagne nazie. Les premiers résultats de ces cinq années de recherche viennent d’être dévoilés. Le tableau dressé par l’historien Klas Amark, professeur à l’université de Stockholm et coordinateur du projet, est sombre. Selon lui, le travail réalisé par une dizaine de chercheurs illustre «le dilemme moral engendré par la politique de neutralité». Il précise : «La majorité des Suédois, ainsi que le gouvernement, ne désiraient rien d’autre que la paix. Ils étaient donc prêts à céder aux exigences de l’Allemagne nazie, si cela pouvait permettre d’éviter la guerre.»
La collaboration a pris diverses formes. Les travaux d’Anders Jarlert décrivent comment l’Eglise et le ministère des Affaires étrangères parvinrent à empêcher les «mariages mixtes», entre juifs et «aryens». Le chercheur constate que «la Suède est allée bien plus loin que d’autres pays dans l’application des lois raciales», en exigeant des citoyens suédois qui souhaitaient épouser un citoyen allemand, une déclaration sur l’honneur, stipulant qu’aucun de leurs grands parents n’était de «descendance juive».
Anders Jarlert a retrouvé 430 de ces déclarations. Or, «contrairement à ce qu’on pourrait croire, les Suédois ne semblent pas avoir protesté», observe-t-il. Et si plusieurs prêtres tentèrent de résister, le nombre des opposants «semble avoir été presque nul». Afin d’accommoder Berlin, la Suède a accepté en outre de renvoyer des déserteurs allemands qui avaient franchi ses frontières. Ils furent expulsés vers la Norvège, occupée alors par les troupes nazies, sur l’ordre du ministre des Affaires sociales et de son secrétaire d’Etat, tous deux sociaux-démocrates. Par ailleurs, les opposants au régime nazi réfugiés en Suède, étaient souvent réduits au silence, et parfois internés dans des camps. La presse refusait de publier certaines informations qui pouvaient fâcher Berlin. Et certains patrons acceptèrent même de licencier leurs employés de confession juive, à la demande de l’Allemagne.
Archives. Pendant longtemps, la Suède a refusé d’évoquer cette sombre page de son histoire. «Nous avions honte d’avoir cédé autant aux exigences de l’Allemagne», affirme Klas Amark. L’historien compare le comportement des Suédois à celui du hérisson «qui se referme sur lui-même, sort ses piquants et ferme les yeux sur ce qui se passe autour de lui». Après la guerre, «nous avons opté pour la loi du silence», remarque Anders Jarlert. En 2000, à l’occasion de la conférence internationale sur le génocide organisée à Stockholm, le Premier ministre, Göran Persson, a promis d’ouvrir les archives du royaume datant de cette époque. Il a d’ailleurs encouragé les pays occidentaux à faire de même. Pourtant, cinq ans plus tard, les historiens suédois attendent toujours.
HIVERT Anne-Françoise
Il suffit de voir le roi de Suède pour comprendre pourquoi la Suède se vide de ses juifs.
happywheels
faut il que ce roitelet desuet et sa femelle soient cons pour s exhiber de la sorte…pauvres petits connards ..descendants du general français bernadotte qui avait rappelons le trahi la france ..et son empereur napoleon dont il etait tres jaloux …
ce pays se fait ronger de l’intérieur et le roi des cons suédois , ne voit toujours rien ?
Encore un que les enfants des prochaines générations, iront cracher sur sa tombe