La tombe de l’antijuif Jean-Marie Le Pen vandalisée à coups de masse en Bretagne

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La tombe de Jean-Marie Le Pen, enterré au cimetière de La Trinité-sur-Mer (Morbihan), a été dégradée dans la nuit du 30 au 31 janvier. Selon la gendarmerie et plusieurs témoins, la sépulture du fondateur du Front national a été attaquée « à coups de masse ».
Jean-Marie Le Pen, décédé le 7 janvier à l’âge de 96 ans, repose dans sa ville natale depuis le 11 janvier. Sa tombe, conforme à ses souhaits, ne porte pas son nom de famille mais uniquement son prénom et ses dates de naissance et de décès.
Les eurodéputés du Rassemblement national Gilles Pennelle et Philippe Olivier, ce dernier étant le mari de Marie-Caroline Le Pen, fille aînée du défunt, ont confirmé l’information, dénonçant un acte de vandalisme d’une rare violence.
Une enquête a été ouverte pour identifier les auteurs de cette profanation, qui suscite déjà de vives réactions dans la classe politique.

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16 Commentaires

  1. josué bencanaan dit :

    Surement des amis a Panot et consort !!!, facile de s’en prendre aux morts, je n’aimais pas LE PEN, mais la mort cela se respecte

  2. David92 dit :

    Il va sûrement recevoir un message de sympathie de l’Ile d’Yeu…..signé Philippe Pétain .

  3. joseparis dit :

    S’attaquer aux tombes quelque soit les défunts, il faut être complètement con. On est les premiers à gueuler quand un cimetière juif est vandalisé. Les cimetières sont faits pour que les proches puissent se recueillir sur la tombe d’un défunt. Qu’est-ce que cela lui a apporté à cet abruti fini à l’urine de pulvériser la tombe de JMLP ?

    • liguedefensejuive dit :

      L’auteur de cette profanation est un ignoble con.
      L’amitié que portait Jean Marie Le Pen à Soral et Dieudonné ne justifie pas cet acte.

  4. David92 dit :

    La vie devant moi – Nils Tavernier
    En 1942, Tauba, une adolescente pleine d’énergie échappe de peu avec ses parents à la rafle du Vel d’Hiv. Ils trouvent tous les trois refuge dans une petite chambre sous les toits, et ce qui devait être provisoire s’éternise. Pendant deux longues années, tandis que le danger guette, Tauba va trouver des échappées qui la feront grandir.

    Sortie en salles : mercredi 26 février 2025

    • liguedefensejuive dit :


      La Vie devant moi est un film français coécrit et réalisé par Nils Tavernier et dont la sortie est prévue en 2025.

      Il raconte la vie à Paris sous l’Occupation entre 1942 et 1944 de Tauba Zylbersztejn (1928-2009), alors adolescente
      Après avoir échappé à la rafle du Vél d’Hiv au matin du 16 juillet 1942, la jeune Tauba Zylbersztejn et ses parents, juifs polonais, trouvent refuge dans une chambre de bonne au cœur de Paris au 209 rue Saint-Maur dans le 10e arrondissement. Durant deux ans, à de rares exceptions près, la famille n’en sortira plus. Mais comment vivre confinés à trois dans six mètres carrés avec la crainte terrifiante d’être découverts à chaque instant ?
      La vie de Tauba Zylbersztejn a précédemment fait l’objet d’un documentaire de Ruth Zylberman, Les enfants du 209 rue Saint-Maur Paris Xe, diffusé sur Arte en 2018, et d’un livre du même nom publié en 2020 aux éditions du Seuil3,4.

      Tauba Zylbersztejn est l’épouse du résistant Robert Birenbaum et la mère de l’écrivain Guy Birenbaum, coscénariste du film.

      La bande-annonce du film, mise en ligne le 9 janvier 2025, s’ouvre sur un extrait vidéo d’un entretien avec Tauba Zylbersztejn réalisé en 1997. Il s’inscrit dans le cadre de la collecte initiée par le réalisateur américain Steven Spielberg et la Fondation Shoah (en) visant à recueillir les témoignages des rescapés de la Shoah[réf. nécessaire].

      La sortie du film s’accompagne de celle d’un roman du même nom écrit par Guy Birenbaum aux éditions Flammarion.

  5. David92 dit :

    Belleville – Benjamin Schlevin – Traduit par Batia Baum et Denis Eckert

    Vient de paraître aux éditions L’échappée

    Benjamin Schlevin restitue dans ce roman écrit dans sa langue maternelle, le yiddish, et publié en 1948, la vie intense et tragique du petit peuple des artisans et ouvriers juifs de Belleville, originaires d’une Europe de l’Est secouée par les suites de la guerre de 1914-1918 et la révolution bolchevique, dans un contexte d’antisémitisme virulent. L’ouvrage avait fait l’objet en 1956 d’une première édition en français, tronquée et {réécrite. Le texte intégral, entièrement retraduit et publié aujourd’hui, peut être considéré comme inédit en français.

    • liguedefensejuive dit :


      Traduit du yiddish par Batia Baum et Joseph Strasburger

      Postface et appareil critique de Denis Eckert

      Né à Brest-Litovsk (Biélorussie) en 1913, arrivé à Paris en 1934, Benjamin Schlevin restitue dans ce roman écrit dans sa langue maternelle, le yiddish, et publié en 1948, la vie intense et tragique du petit peuple des artisans et ouvriers juifs de Belleville, originaires d’une Europe de l’Est secouée par les suites de la guerre de 1914-1918 et la révolution bolchevique, dans un contexte d’antisémitisme virulent.

      En suivant les trajectoires divergentes de Béni l’arriviste et de Jacques l’idéaliste, arrivés ensemble à Paris en 1920, on découvre le monde complexe des petits patrons, des ouvriers d’atelier et des façonniers, unis par des liens de solidarité et d’exploitation, avec les hôtels et les garnis où s’entassent les nouveaux venus, les sociétés de secours mutuels, les cercles politiques et culturels animés par d’infatigables militants, la vie trépidante des cafés bellevillois, les combats antifascistes et les grèves de 1936, jusqu’aux pages sombres de la défaite de 1940 et de l’Occupation.

  6. David92 dit :

    Belleville…. quartier mythique des Juifs de l’Est d’abord puis des Juifs tunisiens .
    On a tout transporté…..ce mode vie et cette chaleur uniques .
    Il arrive qu’on entend parfois le bruit des vagues de la plage de Goulette Casino .
    La synagogue est présente aussi et celà me rappelle que le gardien passait sous le balcon des fidèles en hurlant leur prénom :  » Lalou « , « Gagou » , « Mamou » etc…pour qu’ils se rendent à l’Office avec l’assurance que le miniane soit assuré.
    Tout cela à 6 heures du matin au milieu des odeurs du pain qui sortait du four de la boulangerie voisine .
    Voilà un échantillon du Belleville tunisien après que Madame Rosa nous ait quittée.

  7. David92 dit :

    A Paris nous avions deux quartiers juifs tunisiens …..le Faubourg Montmartre et Belleville .
    Le Faubourg c’était un peu le quartier La Fayette et Belleville la Hara de Tunis . Ce furent tous des artistes comme ceux de la belle époque et des années folles à l’époque où Montmartre concurrencait Montparnasse .
    Sans oublier le poisson et le mauvais oeil …..ne dites jamais à une femme que son bébé est « très beau « .

  8. benjamin dit :

    ce sont plutot les cimetières juifs qui sont l objet de degradations ignobles !ils ne laissent meme pas les morts juifs en paix !et en israel meme les jordaniens qui ocupaient la judèè et samarie se sont livrès a des horreurs !des tres anciennes tombes juives servaient de latrines a ces arabes puants !!voila ces pourris qui entourent l etat juif !!!!!

  9. herode dit :

    Et bien moi je m’en tape de ce détail de l’histoire de Janvier 2024.
    Pour info, dans le cimetière ce sont des croix chretiennes sur toutes les tombes, exceptée celle là, agrémentée d’une croix celtique, comme par hasard……
    Vous savez la croix celtique qui sert de signe de ralliement au Gud et à toute l’extrême droite d’Assas…
    La croix celtique qui est la forme dissimulée pour certains de la svastika
    Un peu comme la quenelle de Dieudonné à la place su Sig Heil
    Certains ont la mémoire courte ???

  10. herode dit :

    Et entre nous soit dit, tant qu’à faire et ne pas appartenir au troupeau et la sacro sainte image de la sépulture, je préfère qu’on détruise la croix celtique de la tombe d’un antisémite, que détruire l’antisémite tout court…..dans la hierarchie de la gravité d’un acte c’est tout de même plus anodin ?

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