« La Shoah avait du bon, pensez au savon et aux abats-jours juifs » écrit le leader de Black First Land First (BLF).
La communauté juive sud-africaine est sous le choc après la publication d’un tweet dont l’auteur est le chef d’une formation politique locale.
Le Conseil des représentants juifs d’Afrique du Sud (SAJBD) est choqué par un commentaire « humiliant et offensant » au sujet de Shoah qui aurait été publié sur Tweeter par Andile Mngxitama, le leader de Black First Land First (BLF).
Dans le tweet qui a été publié jeudi dernier, il était écrit: « Pour ceux qui prétendent que l’héritage de l’Holocauste n’est que négatif, pensez aux abat-jours et au savon juif » (“For those claiming the legacy of the holocaust is ONLY negative think about the lampshades and Jewish soap”).
Dans une déclaration qu’a publiée Wendy Kahn, la directrice nationale de la SAJBD, celle-ci a dit: «Par cette remarque odieuse et hostile, Mngxitama a décrit non seulement le meurtre intentionnel du peuple juif, mais il s’est également référé aux survivants comme a une blague».
Pour Kahn, « moquer a façon dont les Juifs ont été victimes d’un des crimes les plus épouvantables de l’histoire est un outrage direct aux valeurs humanitaires fondamentales, avec un manque total de compassion pour la souffrance humaine. La société civilisée, et certainement l’Afrique du Sud avec son histoire tachée de violations des droits de l’homme, n’offre pas de place pour ceux qui tolèrent le massacre impitoyable de millions de personnes innocentes de la manière la plus cruelle ».
Mngxitama n’était pas disponible pour donner son commentaire. Le Conseil des représentants juifs d’Afrique du Sud a rencontré ses avocats et prendra des mesures légales.
Le parti Black First Land First (BLF), est une formation Marxiste-Léniniste, Pan-Africaine, empreinte de Socialisme révolutionnaire.
Source :
https://www.coolamnews.com/shoah-avait-pensez-savon-aux-abats-jours-juifs-ecrit-responsable-politique/
Le savon en graisse de Juifs
La même assertion resurgit très vite durant la Seconde Guerre mondiale[réf. souhaitée], trop tôt pour que les allégations soient fondées. Toutefois, des plaisanteries, menaces, rumeurs et insultes de l’époque montrent que beaucoup de monde les pensait vraies. La principale source de ces rumeurs était la croyance que les lettres RIF, imprimées sur chaque brique de savon en Allemagne, étaient un sigle signifiant Reines Jüdisches Fett (« Pure graisse juive ») ; ces initiales correspondaient à Reichsstelle für industrielle Fettversorgung (« Centre national pour l’approvisionnement industriel en graisse »).
En septembre 1942, l’influent rabbin Wise publia un rapport qui cautionnait l’allégation du savon fait à l’aide de cadavres de Juifs. Ayant eu connaissance de ce rapport, Heinrich Himmler écrivit le 20 novembre 1942 au chef de la Gestapo Heinrich Müller : « Vous devez me garantir que, partout, les corps de ces Juifs décédés sont brûlés ou enterrés, et que nulle part, il ne peut être procédé autrement avec les cadavres4. »
Le 26 novembre 1942, lors d’un entretien public, le rabbin Wise réitéra l’allégation du savon fait à l’aide de cadavres de Juifs. À quelqu’un qui lui rappelait qu’une accusation semblable avait déjà été portée contre les Allemands pendant la Première Guerre mondiale, il répondit qu’il avait reçu du Département d’État des documents selon lesquels l’allégation avait été dûment contrôlée et confirmée5.
Selon Gilles Karmasyn, au cours du procès de Nuremberg le Tribunal militaire international reçu un seul témoignage émanant d’un ancien prisonnier de guerre britannique et basé essentiellement sur des rumeurs faisant état de fabrication de savon à partir de graisse humaine. Dans son jugement le tribunal se borne à évoquer les tentatives effectuées à Dantzig6.
Les historiens de la Shoah ont toujours considéré le « mythe du savon juif » comme une des légendes noires de la Seconde Guerre mondiale, et non comme un reflet de la réalité d’une production de masse d’un tel savon en Allemagne à l’époque7. Ce point de vue est soutenu par plusieurs historiens juifs : Walter Laqueur8, Gitta Sereny9, et Deborah Lipstadt10, ainsi que le professeur Yehuda Bauer11 de l’Université hébraïque de Jérusalem et Samuel Krakowski, directeur des archives de Yad Vashem12,13,14. Il reste cependant, principalement en Israël, plusieurs mémoriaux et cimetières avec du savon présenté comme étant fait de graisse humaine
Il doit aller faire du »LOVE »’ à sa petite maman.cette veille travailleuse du sexe.
C’est qui ce dégénéré
« prendre des mesures légales »
inutile : on nettoie pas la merde avec des lois, les sous merdes encore moins !
Il se fait de la pub en disant de telles horreurs!
Ne reagissez surtout pas a sa privocation, vous l’aideriez!!!
En fait l’histoire du savon est habituellement utilisée par les négationistes, pour démontrer « le mensonge » de Nuremberg et de l’histoire « officielle ».
Il y a un long article sur l’excellent site PHDN (anti révisionniste), qui répond aux questions des douteux ou douteurs. Je vous conseille de le consulter avant toute expression sur le sujet brûlant de la Shoah, car le moindre élément est utilisé contre nous. Moins on en fait sur le sujet mieux c’est pour nous.
extrait : PHDN
L’écrasante majorité des historiens n’a jamais ni écrit ni cru que la fabrication de savon à partir de restes de corps humains avait été une réalité. Hilberg écrivait en 1961 qu’il pensait que ces bruits étaient infondés (Raul Hilberg, The destruction of the european Jews, Quadrangle books, p. 624), mais il mentionnait la tentative faite à Danzig.