La fausse bataille pour Jérusalem
Les affrontements quotidiens dans certains quartiers de Jérusalem-Est prennent de l’ampleur et risquent de déboucher sur une troisième Intifada en Cisjordanie. Cependant, en ce qui concerne le conflit israélo-palestinien et Jérusalem en particulier, la presse internationale joue un rôle important et considérable. La présence de caméras encourage les affrontements, désinforme, déforme souvent la réalité, grossit les événements, et prend partie en faveur de la cause arabe.
Plus grave encore, les médias et la communauté internationale ne condamnent pas les « terroristes solitaires », les jets de pierres et les bouteilles incendiaires lancées par des « gamins contre l’occupant », ni les chefs palestiniens appelant à la lutte armée avec la prise d’al-Aqsa sur l’« esplanade des Mosquées ».
Etonnant aussi de constater que même un journal chrétien comme La Croix poursuit cette ligne rédactionnelle et ose écrire en gros caractères : « les colons juifs poursuivent leur entreprise de « judaïsation » de la ville de Jérusalem, déniant aux Palestiniens le droit d’y vivre ».
En une seule phrase, le journal parisien gomme le passé trimillénaire du peuple juif et réécrit l’Histoire, oubliant au passage, que Jésus, le JUIF, avait vécu au sein de sa capitale, à Jérusalem… Et qu’aujourd’hui, les massacres contre les chrétiens d’Orient par des Islamistes de tous bords se poursuivent sans impunité ! Et que depuis plusieurs années la chasse au chrétien se propage dans les Territoires palestiniens !
Ainsi est-il inutile de se justifier chaque fois sur notre attachement à Jérusalem et sur le fait qu’elle est la seule capitale des Juifs. Inutile aussi de battre sans cesse le rappel de la Bible et du célèbre chant des exilés de Babylone(Psaume 137), d’expliquer toujours que depuis 3000 ans, nos ancêtres ont vu partir de la ville, Assyriens, Babyloniens, Romains, Croisés, Turcs, Britanniques et Jordaniens… Que chaque jour, nous nous prosternons devant le mur des Lamentations, et que nous prions trois fois quotidiennement pour la rédemption et la reconstruction du Temple. Que les Musulmans ont déjà La Mecque et que jamais une ville sainte n’a été choisie par eux comme capitale. Que les Chrétiens ont déjà Rome et Constantinople
Tous ces arguments traduisent la vérité historique, mais malheureusement de puissants pays tels que les Etats-Unis, la France, la Russie, la Chine ou la Grande-Bretagne protestent depuis 1967 jusqu’à ce jour que nous exercions notre souveraineté sur la Ville sainte. Depuis la création de l’État d’Israël en 1948, ces pays s’abstiennent d’ouvrir une ambassade à Jérusalem.
L’avenir de la capitale légitime de l’État d’Israël et du peuple juif demeure l’enjeu même du conflit et la pierre d’achoppement décisive des négociations de paix. Cependant, ce n’est ni le terrorisme ni par la force que l’avenir de Jérusalem sera réglé. Il existe une soixantaine de solutions envisageables et pacifiques sur la question.
En dépit des problèmes sécuritaires, nous pouvons nous réjouir d’un constat éloquent et positif de la politique israélienne : depuis 1967 les Palestiniens vivant dans la Vieille Ville circulent en toute liberté et ont choisi de bon gré la citoyenneté israélienne. Ils reçoivent comme tous les Israéliens des allocations familiales et ils bénéficient de soins médicaux les plus sophistiqués. Ils sont présents avec leurs enfants dans les quartiers modernes de Jérusalem-ouest, dans les jardins publics et les espaces de jeux ainsi que dans les centres commerciaux. Les Lieux saints demeurent ouverts et libres pour toutes les religions et toutes les communautés et même ces jours-ci les touristes et les pèlerins affluent sans contrainte policière.
Pourquoi donc modifier ce statu quo et ne pas poursuivre la tolérance exemplaire et unique dans un environnement hostile ? Toutefois, si les affrontements se poursuivaient, si les enfants d’Israël ne pouvaient plus circuler librement dans la ville sainte ou visiter le Kotel, nous n’aurions pas d’autre choix que de prendre des mesures draconiennes. Aucun pays au monde ne peut tolérer des jets de pierres ou des attentats quotidiens dans sa propre capitale. Le gamin palestinien qui lance une pierre doit être puni sévèrement et ses parents doivent prendre leurs responsabilités s’ils souhaitent vivre toujours dans un cadre israélien paisible et démocratique !
Les Juifs ont le droit de construire dans n’importe quelle partie de la ville mais ils doivent le faire à la lumière du jour, sans crainte mais aussi sans provocation ! Les Arabes de Jérusalem sont aussi des résidents à part entière, ils doivent respecter et appliquer la loi ! Quant à la municipalité, son devoir est d’agir avec fermeté et générosité, à la fois.
Enfin, face aux appels au djihad et à une troisième Intifada, nous devrions demeurer vigilants mais aussi pragmatiques, et surtout faire comprendre aux Palestiniens qu’ils mènent un faux combat ! Ils ne pourront jamais gagner la bataille de Jérusalem car notre capitale demeurera unique et indivisible pour l’éternité !
lire l’article de Freddy Eytan en cliquant sur le lien ci-après
http://jcpa-lecape.org/la-fausse-bataille-pour-jerusalem/
happywheels
Vous n’avez pas encore compris que les médias, soutenus par l’Occident, préfèrent l’intifada en Israël plutôt qu’en Europe, EU, etc… ?
il est bien connut que celui qui n’est pas chez lui impose ses volontés comme c’est le cas en France, renie les droits qu’on lui donne comme les soins et autres allocations, logement et aide financière –
c’est devenu tout à fait normal pour les pays qui ne connaissent pas ce problème, ils se contentent de faire la morale, si la France se complait dans ce cirque, c’est intolérable en Israel surtout accompagné de manifestations, de jets de pierres et de violence en tout genre, Jerusalam ne leur appartiendra jamais- qu’ils se rentrent bien cela dans leur crâne d’abrutis et d’assassins-
c’est vrai les juifs ont le droit de construire là ils veulent , parce qu’ils sont chez eux !! il faut qu’ Israël vire tous les palos du pays
et les déchoir de la nationalité israélienne ! Tsahal doit continuer à faire des éliminations ciblées et continuer de démolir les maisons des terroristes … il faudrait stopper l’aide humanitaire et leur couper l’électricité plusieurs fois par jour !
ça ne sert à rien d’être trop bon avec nos ennemis qui n’attendent qu’une chose c’est de nous piquer notre si beau pays !
construction de 1000 logements supplémentaire à Jérusalem-Est ! c’est une bonne nouvelle ça ?
http://www.lepoint.fr/monde/israel-1-000-logements-supplementaires-a-jerusalem-est-27-10-2014-1875928_24.php
Jèrusalem capitale juive et indivisible de notre etat…si il faut les jeter a la mer ben qu’ont en finisse..israel n’est pas a vendre..mr les quatarie..a bon entendeur salut..
La conversion au judaïsme représente l’adoption des rites et croyances juives, et l’abandon de ses propres usages religieux. Elle implique aussi, au-delà de la religion, le fait de se considérer comme partie intégrante du peuple juif.
Historiquement, la conversion signifiait l’accueil de l’« étranger vivant dans tes murs » et se limitait à l’adoption des signes particuliers aux Juifs, comme la circoncision pour les hommes ou le culte du Dieu Un et sans image.
Avec l’apparition de fois monothéistes dérivées des textes juifs, comme le christianisme, ou l’islam, mais fortement divergentes, la conversion devint de nature plus religieuse. L’accent se déplaça sur ce que ces religions ne partageaient pas avec le judaïsme, c’est-à-dire de nombreuses croyances, dont celle selon laquelle le Messie reste à venir, et de nombreuses pratiques, rites et coutumes comme la cacheroute. L’adhésion plus ou moins stricte à ces rites et croyances ne fit pas l’unanimité au sein de tous les courants du judaïsme, de sorte que les modalités de la conversion ont beaucoup varié dans le temps, ainsi que l’approche vis-à-vis d’elle.
La conversion dans le judaïsme se dit guiyour, en hébreu ; le converti est un guér ou guiyor ; pour le différencier de l’étranger on le nomme guér tséddéq (guérim au pluriel) ; au féminin guiyoréte et guiyorote au féminin pluriel. On dit léitgayér à l’infinitif;
Le mot guér vient de la racine gour qui veut dire « habiter ». Et le guér est, au sens restreint, celui qui vient habiter sur une terre étrangère (voir Chémote 23, 9 et Rachi sur 22, 20).
Les termes Gery et Gerami sont employés en russe pour les Subbotniks, une frange de chrétiens sabbatariens ayant finalement adopté tous les aspects du judaïsme.
La Bible a très tôt défini les Israélites en tant que « peuple d’Israël », et ce dès le Deutéronome, livre que la majorité de la critique bibliste1 pense avoir été le premier mis en forme, vers la fin du VIIe siècle av. J.-C.. Les références y désignent un groupe endogame(ne se mariant pas avec des membres d’autres peuples) « Tu ne contracteras point de mariage avec ces peuples, tu ne donneras point tes filles à leurs fils, et tu ne prendras point leurs filles pour tes fils2 », ayant une relation directe avec Dieu « Pardonne, ô Éternel ! à ton peuple d’Israël, que tu as racheté3 », et occupant un territoire, « le pays dont l’Éternel, ton Dieu, te donne la possession4 ».
Bien que la Bible indique « Tu ne contracteras point de mariage avec ces peuples », la question de l’interprétation de ce commandement a été posée assez tôt. Le mariage contracté avec des non-Juifs a été généralement rejeté, mais l’entrée dans la communauté de non-Juifs convertis a fait l’objet de positions diverses.
Selon la Bible, les conversions sont anciennes, puisqu’elle évoque la conversion de la moabite Ruth, ancêtre du roi David ainsi que celle des Jébuséens sous son règne. Le Midrash affirme aussi que Jethro aurait été le premier prosélyte juif.
Dans l’Antiquité, le judaïsme était éclaté en un grand nombre de sectes, chaque secte ayant sa vision de l’attitude à adopter à l’égard des conversions. C’est ainsi que certains groupes, comme les sadducéens, étaient opposés aux conversions, quand les pharisiensles acceptaient dans une certaine mesure. Les Juifs d’éléphantine (Égypte) pratiquaient régulièrement des mariages mixtes, et leur attitude vis-à-vis de la conversion devait donc être assez souple.
Vers 100 avant l’ère commune, les conquérants Hasmonéens convertirent la tribu iduméenne des Hérode.
Les estimations selon lesquelles 10 % de la population de l’empire romain était juive (surtout dans la partie orientale de l’empire) ne peuvent s’expliquer sans conversions, et à cette époque celles-ci semblent effectivement assez nombreuses. Ainsi l’historien romainDion Cassius indique à propos des Juifs que « d’autres hommes […] ont adopté les institutions de ce peuple, quoiqu’ils lui soient étrangers. Il y a des Juifs même parmi les Romains : souvent arrêtés dans leur développement, ils se sont néanmoins accrus au point qu’ils ont obtenu la liberté de vivre d’après leurs lois5 ».
Les conversions de masse ont pu avoir lieu, sans que l’on en ait une preuve certaine, jusqu’au Moyen Âge. Par exemple :
• celles de peuples ouralo-altaïques comme les Khazars du sud de l’actuelle Ukraine ;
• après la fin de l’Empire romain, celle d’une partie des Francs ripuaires et des Suèves (Souabe) ;
• celles de Berbères (Djeraouas de l’Aurès et Nefoussas de Tripolitaine).
Au XXe siècle :
• Communauté Bnei Menashe, d’ethnie Mizo, dans le nord-est de l’Inde, dont une partie a émigré en Israël ;
• Juifs de San Nicandro (Italie), autoconverti avant la guerre, convertis officiellement après la Seconde Guerre mondiale et émigrés ensuite en Israël ;
• Subbotniks de l’ex-Union soviétique, dont beaucoup ont émigré en Israël.
À ces groupes se sont ajoutés des groupes auto-convertis à des versions plus ou moins orthodoxes du judaïsme, et généralement non reconnus comme Juifs par les communautés juives traditionnelles :
• Juifs télougou du sud de l’Inde (quelques dizaines) ;
• Hébreux noirs, aux États-Unis et en Israël (quelques milliers) ;
• Juifs Igbo au Nigéria (environ 20 000) ;
• Communauté Abayudaya en Ouganda (environ 800) ;
• Communauté House of Israël au Ghana (environ 600) ;
• Juifs « Incas » du Pérou (quelques dizaines).
Les États chrétiens, puis musulmans, contrairement aux États précédents, firent de la conversion à une autre religion un crime (l’apostasie), rendant en pratique quasiment impossible toute conversion au judaïsme. Celles-ci se prolongèrent cependant en dehors de ces deux aires culturelles, comme le montre l’apparence physique des anciens Juifs de Chine ou des Juifs des Indes.
Le judaïsme orthodoxe, tel qu’il s’est structuré autour du Talmud, a codifié dans une certaine mesure le processus de conversion.
Les motifs de l’impétrant doivent être testés afin de refuser les candidats qui souhaitent se convertir par intérêt.
Le candidat doit prouver sa connaissance de la Torah et s’engager à pratiquer toutes les Mitzvot devant un Beth din.
Après acceptation, le candidat doit être soumis à la Brit milah puis se tremper au Mikvé en présence du tribunal. Il prend alors un nom juif et sera ensuite désigné par ce nom suivi de la mention Ben Avraham Avinou dans le rituel.
De nos jours, le candidat à la conversion doit suivre un programme d’étude du judaïsme et s’intégrer à une synagogue. Le processus prend de une à plusieurs années en fonction de la « qualité » du candidat et de l’exigence du ou des rabbins qui animent la conversion.
Le converti possède alors exactement les mêmes devoirs et droits qu’un Juif de naissance, sauf l’interdiction pour une convertie d’épouser un Cohen. La Halakha interdit formellement la discrimination des convertis.
Le judaïsme réformé a fortement assoupli les exigences en matière de conversion, et celles-ci ne sont donc pas reconnues par les orthodoxes. Elles le sont cependant par l’État d’Israël.
Israël autorise deux types de conversions, ayant entraîné de nombreux conflits religieux et politiques.
Les conversions pratiquées à l’étranger sont reconnues comme valables au titre de la loi du retour, quel que soit le rabbin qui les a pratiquées, que celui-ci soit un réformé ou un orthodoxe. Les orthodoxes demandent d’ailleurs depuis longtemps à avoir le monopole des conversions, et ne reconnaissent pas celles des réformés. Les partis ultra-orthodoxes ont ainsi régulièrement demandé une modification de la loi du retour interdisant de reconnaître comme juifs les personnes converties par des réformés, une exigence qui a toujours été refusée par l’État, lequel ne veut pas se couper du puissant judaïsme américain, à dominante réformée.
Les conversions pratiquées en Israël sont par contre le monopole des tribunaux religieux du grand rabbinat israélien (orthodoxe), lequel a la réputation, même dans les milieux orthodoxes, d’être d’une extrême sévérité. Le journal Haaretz parle ainsi « d’une perception de longue date que l’establishment rabbinique est l’esclave de la tradition ultra-orthodoxe rendant la conversion difficile […]. Les conversions elles-mêmes restent dans les mains de tribunaux [religieux] spéciaux, dont les juges sont nommés par le Rabbinat, lequel fixe également les conditions pour la conversion. La plupart des juges sont sous l’influence de l’ultra-orthodoxe Conseil des Sages de la Torah, qui s’oppose aux conversions à grande échelle, et exige que les convertis, ainsi que leurs enfants et leurs familles, adoptent un style de vie religieux6 ».
Depuis les années 2000, les tribunaux religieux du rabbinat israélien ont même refusé de reconnaître les conversions pratiquées à l’étranger par certaines organisations orthodoxes, considérées comme trop souples. C’est le cas du « Rabbinical Council of America(RCA) [] la plus grande organisation de rabbins orthodoxes en Amérique du Nord. […] Ces dernières années, […] les conseils locaux ont refusé de reconnaître les conversions du RCA [], et ont refusé de permettre à ces convertis de se marier en Israël. Cette nouvelle politique a été dictée par [le grand rabbin séfarade Shlomo Amar, qui a également fourni aux conseils une liste limitée de rabbins américains qui étaient les seuls autorisés à effectuer les conversions acceptables7 ». Le RCA a finalement cédé. En octobre 2007, « l’accord conclu entre le RCA et Amar donne au grand rabbinat israélien le contrôle concret sur le processus de conversion aux États-Unis7 ». Cet accord ne concerne cependant que le RCA, et pas les autres groupes orthodoxes américains, a fortiori les organisations de réformés. Et l’État d’Israël lui-même ne reprend pas à son compte ces visions très strictes des conversions.
Le problème pour les convertis (orthodoxes ou réformés) acceptés par l’État et refusés par le rabbinat est surtout celui du statut personnel : difficulté pour se marier en Israël, refus d’enterrement dans les cimetières religieux, etc.
Cette perception de la sévérité du rabbinat a mené à des contestations politiques ou religieuses en Israël même.
Sur le plan politique, le gouvernement a régulièrement fait pression, sans grand succès, pour assouplir la position du rabbinat. En effet « Plus de 300 000 immigrants de l’ex-Union soviétique […] ne sont pas juifs selon la halakha6 », même s’ils sont au moins partiellement d’origine juive. Beaucoup veulent se convertir, et leur position est soutenue par le gouvernement, mais freinée par l’opposition très stricte du rabbinat. Le problème concerne aussi les Falash mura, groupe d’éthiopiens partiellement ou totalement d’origine juive, dont beaucoup vivent en Israël.
Beaucoup de partis sionistes israéliens craignent à terme l’effritement de la majorité juive, et la constitution d’une importante population partiellement juive mais rejetée par le rabbinat, potentiellement en rupture avec l’État. « En dépit de plusieurs décisions du Cabinet appelant à l’établissement d’un processus rapide de conversion pour accélérer l’intégration dans la société israélienne de immigrants non-juifs, seules 2000 personnes sont converties chaque année en moyenne […]. Environ 40 % des immigrés non juifs manifestaient de l’intérêt avant qu’ils aient immigré, alors que, après une période d’un an en Israël, le nombre a chuté à moins de 20 %6 ». Et moins encore sont effectivement convertis, après un processus durant des années.
Sur le plan religieux, certains rabbins orthodoxes, en particulier du courant sioniste religieux, envisagent donc d’établir des instances de conversions alternatives6, plus souples, une option nécessitant cependant une reconnaissance gouvernementale.
Alors que les sionistes religieux sont historiquement très liés au grand rabbinat israéliens, ils s’en sont éloignés au cours des années 1990, au fur et à mesure du rapprochement du grand rabbinat avec les haredim. La création d’instances autonomes de conversion « représenterait une autre étape dans l’éloignement des rabbins sionistes religieux vis-à-vis du Rabbinat, qui feraient suite aux luttes des derniers mois sur le mariage, la cacheroute et la shmita
vec toutle respect de LDJ (Liberte Democratie Judaisme (appellation historique de la ligue.
Pourquoi ne pas monter des equipes ici a jeru
Jeru comme l’appellent les francophones de Paris fraichement arrives
Jeru parce que Yerushalaim n’est pas encore reunifiee tant que les palos , les rebeux (que Dieu brule leur ame en enfer NOW) leveront leur bras contre Israel.
Montez de petites equipes, avec des tee shirts bien visibles, et allez vs promener dans les endroits ou tous ces fils de porcs et de singes ( selon l’appellation controlee par les freres mamzerim muslemim) se promenent . Les empecher de bouger sans se prendre une tannee. Allez les mecs , montrez aux israeliens endormis ce que les francophones ont retenu des cours de krav et de Thora Emet.
Kahana TSADAK
a PROBLèME SIMPLE? SOLUTION SIMPLE! Expulsion et perte de nationalité immédiate pour toute personne juive ou non, hostile à Israel!
Toute hésitation pour raison « éthique », « déontologique », se paye par du sang israelien, ou des bébés écrasés!
Oh Quatarina bella tchi tchi
tu t’es payee toutes les putes francaises tchi tchi
et maintenant que reste t-il?
t’as nike l’Onu en la mettant toute nue
t’as ach’te l’AFP et les socialo pedes
et maintenant que reste t-il?
Tu vas te le prendre gros dans le fion
Quatar de mes deux , t’as de la chance que la Corse est loin de tes frontieres