‘Je suis loin d’être un nazi !’ Malaise dans une association de protection de l’enfance dans le Tarn après la diffusion d’une caricature sur un tract CGT

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Un dessin faisant allusion aux camps de concentration de la Seconde Guerre mondiale a déclenché de vives secousses au sein de l’AEP la Landelle, à Palleville dans le Tarn, où un délégué syndical risque le licenciement. Explications avec le salarié concerné et le directeur.
Source
https://www.ladepeche.fr/

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2 Commentaires

  1. joseparis dit :

    La cgt est une organisation syndicale antisémite de longue date. Le 17 juin 1967, dans le journal l’humanité, Benoit Frachon signait un article où il écrivait, à propos des manifestations pro-israéliennes organisées à Paris après la Guerre des 6 Jours : une cérémonie « où Satan conduit le bal, contemplant dans la fange et le sang le résultat de ses machinations diaboliques. Les représentants d’une tribu cosmopolite de banquiers bien connus, Alain et Edmond de Rothschild, avec à leurs pieds des morts encore saignants ». Le député thomas portes n’est pas de la cgt pour rien.

    • liguedefensejuive dit :

      « Dans l’Humanité du 17 juin 1967 je me souviens avoir lu plus tard un fascinant article signé Benoit Frachon, le secrétaire de la CGT, décrivant une rencontre de donateurs en Israël. Il y voyait une cérémonie « où Satan conduit le bal, contemplant dans la fange et le sang, le résultat de ses machinations diaboliques… Les représentants d’une tribu cosmopolite de banquiers bien connus, Alain et Edmond de Rotschild (avec) à leur pieds des morts encore saignants ». Entre les staliniens et les fanatiques arabes la migration du signe antijuif va rester un invariant.  » Jacques Tarnero

      1939 : les communistes de la CGT soutiennent le Pacte Hitler-Staline-

      L’annonce le 23 août 1939 du Pacte germano-soviétique change les rapports de force. Le Bureau confédéral de la CGT, encore majoritairement confédéré, demande aux syndicalistes de voter des résolutions condamnant le Pacte. Exceptée une minorité de militants communistes qui rompt avec le PCF à l’annonce de la signature du pacte, la quasi-totalité des membres du PCF refuse de le condamner. C’est la rupture, que ne peut pas conjurer une déclaration « pour l’union syndicale » signée par les ex-unitaires et les deux principaux dirigeants de la centrale Benoît Frachon et Julien Racamond.

      Cette scission, conjuguée à la déclaration de guerre et à la mobilisation, entraine une désaffection syndicale. La CGT perd plus de la moitié de ses effectifs. Par ailleurs, les ex unitaires réorganisent l’embryon d’une centrale sous influence unitaire. Les militants proches du PCF arrivent à réorganiser un tissu informel. La dissolution par l’Etat français de la CGT en octobre 1940 plonge les ex confédérés dans une situation paradoxale. Une partie d’entre eux rejoint le régime de Vichy avec René Belin alors qu’une majorité dénonce ce même régime dans un texte intitulé le Manifeste des 12 appelant à l’indépendance du syndicalisme et au refus du racisme et de l’antisémitisme. Encore peu habitué à la clandestinité, les ex confédérés ont du mal à recréer des structures syndicales alors que les ex unitaires semblent beaucoup plus à l’aise avec ce type d’action et la création des comités populaires qui mêlent tous les types de revendications sociales.

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