Islamisme: dissolution de l’association Sanabil confirmée
Le Conseil d’Etat a rejeté aujourd’hui un recours de l’association d’aide aux détenus musulmans Sanabil contre sa dissolution, prononcée en novembre pour ses liens présumés avec l’islamisme radical.
Saisie en urgence par l’association qui réclamait la suspension du décret présidentiel du 24 novembre sur sa dissolution, la plus haute juridiction administrative relève que « sous couvert d’une assistance morale, logistique ou de bienfaisance aux détenus de confession musulmane, l’association développe, au travers de ses activités (site internet, réunions, pique-niques), un important réseau relationnel en lien avec l’islam radical ».
Le Conseil d’Etat souligne dans son ordonnance que « de nombreux détenus qui bénéficient de son assistance sont poursuivis pour des activités en lien avec le terrorisme ou appartiennent à la mouvance radicale » et que « son influence peut conduire certains à se radicaliser ». Pour les autorités françaises, Sanabil, « les épis » en arabe, est au coeur de la nébuleuse jihadiste. Cette association, créée en 2010 et basée en Seine-et-Marne, est apparue dans plusieurs dossiers terroristes, dont l’enquête sur les attentats du 13 novembre 2015, qui ont fait 130 morts à Paris et aux abords du Stade de France.
Lors de l’audience de jeudi, la représentante du ministère de l’Intérieur a égrené une longue liste de jihadistes qui ont eu « directement ou indirectement » des liens avec l’association : Amédy Coulibaly, le tueur de l’hyper Cacher, qui a « participé à un pique-nique organisé par Sanabil », Larossi Abballa, le tueur du couple de policiers de Magnanville, a « écrit des lettres » pour les détenus, ou encore les frères Clain, identifiés dans le message du groupe Etat islamique (EI) revendiquant les attentats de novembre.
Dans sa décision, le Conseil d’Etat relève qu’il résulte, tant des notes des renseignements que de l’instruction de cette affaire, que le président de l’association, Antho Bolamba-Digbo, assigné à résidence depuis un an, entretient de « nombreuses relations avec différentes personnes qui relèvent de la mouvance radicale de l’islam ou qui ont rejoint les rangs de l’EI ». Il a donc validé la dissolution de l’association, « même si aucune procédure pénale n’a été engagée ».
Source :
http://premium.lefigaro.fr/flash-actu/2016/12/23/97001-20161223FILWWW00216-islamisme-dissolution-de-l-association-sanabil-confirmee.php
relire l’article du 28 Octobre 2016
http://www.liguedefensejuive.com/sanabil-une-association-islamiste-daide-aux-detenus-musulmans-bientot-interdite-2016-10-28.html
Il faudrait surveiller tous les contacts et toutes les familles de ces rats !
Il faut leur supprimer toutes les aides et donc les asphyxier économiquement ..
Il partiront d’eux mêmes !
Tant que la France va leur fournir argent et biens, ils vont continuer de frapper.
SI J ÉTAIS FRANCAISES, JE N AURAIS PAS HÉSITER À LES RETOURNER TOUS
DANS LEURS PAYS RESPECTIFS