Interpellation à Beyrouth d’un présumé kamikaze français
Un Français d’origine comorienne, soupçonné d’avoir voulu commettre un attentat suicide au Liban, est interrogé par la justice après avoir été interpellé vendredi dans un hôtel de Beyrouth, a indiqué lundi à l’AFP une source judiciaire libanaise.
La police et la Sûreté générale libanaises avaient annoncé vendredi, dans un communiqué, avoir investi l’hôtel Napoléon à Hamra, un quartier commercial dans l’ouest de Beyrouth, et appréhendé 17 personnes, sur la base d’informations concernant « la planification par un groupe terroriste d’attentats à l’explosif à Beyrouth et dans d’autres régions libanaises ».
Une source judiciaire a précisé lundi que « toutes ces personnes, arrêtées dans le cadre de l’enquête de la cellule de Hamra, ont été relâchées à l’exception d’une seule, un Français originaire des Comores et qui est interrogé ».
Elle a refusé de donner des détails sur son identité ni sur la teneur de l’interrogatoire qui se déroule sous la supervision du procureur général Samir Hamoud.
Le quotidien al-Akhbar affirme lundi que le Français ferait partie d’un groupe de quatre kamikazes entrés au Liban.
Selon le journal, le Français aurait reconnu durant son interrogatoire être venu au Liban pour y commettre un attentat suicide à l’instigation des jihadistes ultra-radicaux de l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL, Daech).
Al-Akhbar avance que l’un des quatre kamikazes serait l’auteur del’attentat suicide vendredi à un barrage des Forcecs de sécurité intérieures (FSI) à Dahr el-Baïdar, tuant un policier et blessant 33 personnes. Le kamikaze avait raté de peu sa cible présumée, le directeur général de la Sûreté générale Abbas Ibrahim.
Le ministre de l’Intérieur avait indiqué qu’il avait un accent syrien.
Vendredi soir, la Brigade des sunnites libres revendiquait l’attentat via son compte Twitter. « La brigade revendique l’explosion de Dahr el-Baïdar et considère que la cible que nous n’avons pu atteindre aujourd’hui sera atteinte plus tard. »
lire l’article de L’ORIENT LE JOUR en cliquant sur le lien ci-après
si c’est possible qu’on arrete d’appeler ces gens des « francais »,c’est une bonne chose car cela nous fait du tort:ces degénérés n’ont rien a voir avec la France,preuve en est,ils ne savent meme pas ce que c’est.
Sinon,une 2ème requete me vient a l’esprit:pourquoi les faire rentrer a nouveau sur le territoire national?
Un coup de pied au cul direction leur pays me parait plus judicieux.
Le (seul) point positif de ces histoires est la convergence ideologique des catholiques et des juifs francais,ceci est un signe plutot encourageant au final.
Excellent commentaire Georges, tout est dit!