Interdire les décibels djihadistes
source: arutz7
La Commission interministérielle pour la législation doit examiner la semaine prochaine un projet de loi controversé consistant à interdire en Israël l’emploi de puissants amplificateurs sur les minarets des mosquées appelant les fidèles musulmans à se rendre à la mosquée.
Ce projet de loi a été proposé par la députée Anastasia Michaéli (Israël Beitenou). Elle a affirmé que cette loi a pour objectif d’octroyer au Ministre de l’Intérieur la décision quand et où l’emploi d’amplificateurs sera permis sur les minarets, et quelle intensité de décibels sera autorisée.
La députée Anastasia Michaéli a indiqué que cette proposition de loi a été suscitée par de nombreuses plaintes contre la nuisance sonore des appels assourdissants de « Allah Houa Kbar » provenant des minarets à des heures de la nuit où la plupart des gens dorment d’un profond sommeil. Ceci est le cas particulièrement dans les villes d’Israel à minorité musulmane comme à Jérusalem, Nazareth, Acre, Haïfa où les appels des muezzins retentissent à pleins décibels à quatre heures du matin. Certains y voient une intrusion de la religion musulmane dans l’espace public de l’Etat juif.
A part la nuisance à des heures incongrues, les appels tonitruants provenant des minarets revêtent une autre dimension. L’emploi d’amplificateurs très puissants fait également partie de la lutte arabo-musulmane contre l’Etat juif. Investir par les kilodécibels s’inscrit dans une stratégie d’occupation de l’Etat Juif et d’en marquer l’espace géographique, reléguant ainsi subrepticement les Juifs au statut d’étrangers chez eux.
Cette méthode de la conquête arabe bien ancienne dénommée irrédentisme, est une alternative à la guerre lorsque les Musulmans sont en infériorité militaire et ne peuvent saisir le terrain par la force, ce qui est le cas en Israël depuis que les Juifs sont revenus chez eux à Sion.
En d’autres termes, cet emploi de l’arsenal des décibels du haut des minarets est une des manières de dominer le terrain sous couvert de liberté de culte, et ainsi, de signifier qu’ici, c’est Dar El Islam, c’est-à-dire la « Domaine de l’islam », niant ainsi le caractère hébraïque de la Terre d’Israël. Cette Djihad par décibels islamistes dépasse donc le seul besoin d’appeler les Musulmans à se rendre à la mosquée.
Ce projet de loi soulève une âpre opposition au sein du secteur arabe israélien et des milieux de la gauche, ces derniers toujours si prompts à défendre les droits de n’importe qui sur terre, y compris les bébés phoques, sauf les droits des Juifs en Israël. Ils voient dans ce projet une autre tentative de la droite à modifier la législation aux dépens du public arabe. Effectivement, nuire au sommeil d’autrui et réveiller les petits enfants au beau milieu de la nuit et les faire sursauter et pleurer suite à un Allah Houa Kbar tous décibels déployés est une liberté de culte fondamentale inscrite dans la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen.
Les tenants de ce projet de loi rétorquent que dans la plupart des pays occidentaux, l’emploi d’amplificateurs sur les minarets est interdit, Israël étant jusqu’à présent pratiquement le seul pays en dehors de l’univers musulman à permettre l’invasion décibélique djihadiste de son espace public.
par Meir Ben-Hayoun
Le jour où les Hébreux auront extirpé de la classe politique israélienne, toute cette pourriture alterjuive qui pourrit le pays depuis trop longtemps, ce jour là, les minarets serviront à farcir les nazislamistes.
France et Israël (ou Israël et France) solidaires.
Franchement, ce ne serait pas du luxe. J’ai passé une semaine à Jeru l’été dernier, ça faisait un vacarme du diable. A croire que la ville leur appartient…