Dilma Roussef : détestée à Jérusalem. « Sa chute, une bonne nouvelle en Israël ».
Les relations politiques et militaires entre Israël et le Brésil sont exécrables depuis plus d’un an. (Simple rappel : Les deux États ont établi des relations diplomatiques le 7 février 1949. Le Brésil est l’un des premiers pays à avoir officiellement reconnu l’État d’Israël en 1949).
Les industriels des deux pays, surtout dans le domaine de la sécurité, ont de plus en plus de mal à collaborer avec sérénité. La chute inévitable de Dilma Rousseff sera “une excellente nouvelle pour Israël” selon un diplomate israélien interrogé par IsraelValley. Selon (1) : « Si la présidente brésilienne refuse catégoriquement d’accepter la nomination d’un colon au poste d’ambassadeur d’Israël, elle n’a en revanche pas rechigné à accorder un prestigieux bâtiment à l’ambassade palestinienne.
L’inauguration a eu lieu ce mercredi dans la capitale Brasilia, en présence du représentant de l’Autorité Palestinienne au Brésil, Ibrahim Alzeben. Des membres du gouvernement de Dilma Rousseff, et des représentants de différents pays arabes étaient également présents pour l’occasion.
Cette cérémonie prend place dans un contexte de crise diplomatique entre le Brésil et Israël à propos du poste d’ambassadeur de l’Etat hébreu, qui reste vacant depuis décembre 2015. En effet, le Premier ministre Benyamin Netanyahou a désigné Dani Dayan, ancien dirigeant de colonies en Cisjordanie, à ce poste. Mais pour la présidente brésilienne Dilma Rousseff, il est hors de question d’accorder le poste diplomatique à cette personnalité. Bâtie sur un terrain de plus de 1 500 mètres carrés légué par l’ancien président brésilien Lula, la nouvelle ambassade de Palestine apparait plutôt grande en comparaison avec celles des autres missions diplomatiques. Surmonté d’un dôme doré, le bâtiment ressemble en fait à la mosquée al-Aqsa, située sur le Mont du Temple à Jérusalem ».
Selon France24 : »Depuis sa réélection, Dilma Rousseff fait face à l’opération “Lava Jato”, une enquête judiciaire de grande envergure qui révèle jour après jour les liens de corruption entre personnages politiques et grandes entreprises (principalement du BTP et du secteur de l’énergie), sans épargner les membres de son parti.
En plus de cette opération “Mains propres” à la brésilienne qui secoue les institutions du pays, le Brésil s’enfonce dans une violente récession économique. L’incapacité de Dilma Rousseff à contenir la crise l’a mise sous le feu des critiques des milieux d’affaires, mais aussi de ses soutiens politiques, qui lui reprochent de sacrifier les classes populaires. Depuis des mois, la présidente parvient difficilement à gouverner en raison de son impopularité. Les dirigeants de l’opposition veulent écourter son mandat pour que le pays puisse “prendre un nouveau départ”.
“La nomination de Dayan au Brésil était une « erreur », a déclaré un haut responsable à Brasilia mardi. C’était le premier commentaire officiel du pays d’Amérique latine sur la nomination controversée de Jérusalem.
Pour expliquer l’opposition de son gouvernement envers Dayan, haut conseiller en politique étrangère de la présidente Dilma Rousseff, Marco Aurélio Garcia, s’est reféré au passé de Dayan comme haut dirigeant du mouvement d’implantations et son opposition à un Etat palestinien.
Aurélio Garcia a également accusé Jérusalem de violer le protocole diplomatique en annonçant la nomination de Dayan avant d’en informer Brasilia et il a soulevé le fait qu’il y a un an et demi, un responsable israélien avait appelé le Brésil un « nain diplomatique ».
« Je pense que c’était un faux pas du gouvernement israélien », a déclaré Aurélio Garcia sur une chaîne de télévision brésilienne au sujet de la nomination de Dayan.
« Premièrement, enfreindre une règle diplomatique n’est pas une frivolité ». En annonçant publiquement la nomination de Dayan avant d’en informer le Brésil, Israël a commis une infraction « grave » aux règles des relations internationales, a-t-il indiqué.
Dans le même temps, Aurélio Garcia – qui en 2014 a accusé Jérusalem d’avoir commis un « génocide » dans la bande de Gaza – a tenté de minimiser l’incident diplomatique.
« Il n’y a pas de bras de fer avec un pays ami comme Israël, avec qui la politique étrangère du Brésil avait de grands liens avant même l’émergence de l’Etat d’Israël », a-t-il ajouté. »
Source: (1) https://francais.rt.com/international/15233-bresil-ambassade-palestine-israel
tous les socialos d’amerique laTRine sont palestinophiles
c’est un peu comme la merde et les mouches
elle ne fréquente des pro-palos infréquentables Dilma Roussef !
qu’elle dégage …
Si elle n’aime pas ISRAEL,qu’elle dégage pour rejoindre ces enfoirés de palestiniens.Allez !oooouuste, »puto »de dilma.