Des ONG financées par Soros jettent de l’huile sur le feu du conflit israélo-palestinien
La chute du Premier ministre israélien Netanyahou démontre l’influence politique croissante des Arabes d’Israël
La chute du Premier ministre israélien Netanyahou démontre l’influence politique croissante des Arabes d’Israël – pour la première fois un parti d’islamistes palestiniens participe officiellement à la coalition gouvernementale – ainsi que du lobby anti-israélien aux Etats-Unis. Après le retour des Démocrates au pouvoir les relations américano-israéliennes se détériorent. En effet, Trump, qui avait reconnu Jérusalem comme capitale de l’Etat d’Israël, s’inscrit dans l’histoire américaine en tant que le président le plus pro-israélien. La plupart des Démocrates sont critiques à la politique d’Israël dans la région. Environ 51 % d’eux estiment que les Etats-Unis ne font pas assez pour soutenir la Palestine, selon un sondage Associated Press-NORC Center.
Les Démocrates progressistes expriment même des sentiments antisémites. Ils accusent plutôt Israël que les islamistes du Hamas de violence. Pour mettre la pression sur Israël, des puissants Américains propalestiniens exploitent des organisations non-gouvernementales radicales qui font flamber et circuler des messages de haine et d’antisémitisme. Pendant plusieurs décennis déjà, le milliardaire de gauche et grand donateur du Parti Démocrate George Soros interfère dans le conflit israélo-palestinien via ses fondations Open Society. Des médias ont révélé en 2016 que l’institut Open Society avait lancé un projet ambitieux en 2009 afin de persuader l’Europe et les Etats-Unis de « tenir Israël pour responsable des violations systémiques ».
Désormais, les fondations Open Society transfèrent des milliards aux groupes et médias qui manipulent l’opinion publique mondiale pour promouvoir un programme anti-israélien. The Center for Constitutional Rights (CCR) et The American Friends Service Committee, liés au mouvement radical Boycott, Divestment, Sanctions (BDS), se trouvent parmi ces ONG. Les fondations de Soros fournissent aussi de l’argent à l’Al-Haq et au Centre Palestinien pour les droits humains (PCHR) qui sont liés au Front Populaire de Libération de la Palestine, une organisation reconnue comme terroriste par les Etats-Unis, Canada, l’Union Européenne, et Israël.
Ces NGO sont leaders dans la campagne anti-israélienne. De plus, le milliardaire sponsorise les Démocrates de gauche tels que Ilhan Omar et Rashid Tlaib qui accusent Israel de terrorisme sur fond de nouveaux affrontements entre Tel-Aviv et le Hamas. De surcroît, Soros apporte une aide financière au mouvement Black Lives Matter dont les membres adoptent les thèses du BDS et accusent la police israélienne d’apprendre aux forces de l’ordre américaines à tuer des Afro-Américains.
L’organisation a en effet for
gé des liens profonds avec des groupes pro-palestiniens. Parmi eux, les Etudiants pour la justice en Palestine, une association basée à New York qui fait campagne pour le BDS sur les campus américains et affirme sur sa page Facebook : « Les mêmes personnes qui sont derrière le génocide des Noirs aux Etats-Unis sont derrière le génocide des Palestiniens. » Avant de préciser : « Si Israël ne tue pas lui-même des Afro-Américains, il forme les polices des Etats de New York et autres à oppresser et assassiner les Noirs. »
Evidemment, l’activité de ces ONG à côté d’une campagne antisémite dans les médias a intensifié les tensions dans la région et influencé les résultats des élections israéliennes de 2021. Il est à espérer que le nouveau Premier ministre Naftali Bennett ne permettra pas aux groupes radicaux financés par Soros de déstabiliser ou pire détruire l’Etat d’Israël. Pour savoir plus sur les organisations propalestiniennes financées par Soros visiter https://soros-files.com/documents.html#east
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happywheels