Comment Israël a perdu la guerre psychologique contre le terrorisme
Alors qu’Israël est submergé par une vague d’émotion qui anéantit toute capacité d’analyse, il est important d’écouter la voix de Meir Indor. Lieutenant-colonel de réserve, ancien membre de plusieurs unités d’élites, il aurait pu, après sa carrière militaire, se lancer dans les affaires ou dans la politique, comme tant d’autres. Mais Meir Indor a préféré se consacrer au renforcement d’Israël, d’abord en fondant Sar-El (le fameux « volontariat civil ») puis en créant Almagor, association des victimes du terrorisme qui lutte sans relâche contre la libération de terroristes arabes. Je publie ci-dessous un extrait de l’interview que Meir INDOR m’avait accordée pour ISRAEL MAGAZINE en septembre 2007. Son analyse n’a rien perdu hélas de son actualité…
Lire la suite : http://vudejerusalem.20minutes-blogs.fr/
happywheels
Israël a perdu cette guerre lorsqu’on a érigé comme principe universel que le terrorisme, comme ultime possibilité d’acter le désespoir » palestinien » face à la politique israëlienne, était légitime. Les premiers, avant même les « palesstniens » à idôlatrer les – martyrs – furent les européens.