Bruxelles: la mère d’un élève de l’athénée Adolphe Max porte plainte pour antisémitisme
La mère d’un élève de 14 ans, scolarisé en 1ère année à l’athénée Adolphe Max à Bruxelles, a porté plainte vendredi matin pour antisémitisme, a rapporté Joël Rubinfeld, président de la Ligue belge contre l’Antisémitisme (LBA).
Le jeune garçon refuse de retourner en cours par peur des représailles. L’élève francophone porte le nom juif de l’ancien mari de sa mère, décédé, mais n’est pas d’origine juive. A partir de novembre, il explique avoir été identifié comme « le juif » et avoir était menacé d’agression et victime d’insultes répétées telles que « sale juif », « sale flamand », ou de propos virulents faisant référence à Hitler. L’élève a alors arrêté de fréquenter les cours, où il ne se rend plus depuis le 5 mai.
Un élève d’Adolphe Max victime de harcèlement et de propos antisémites« >
Un élève d’Adolphe Max victime de harcèlement et de propos antisémites
L’école a dès lors averti sa mère de son absence. Celle-ci a porté plainte mardi auprès de la police, contre un élève sénégalais musulman âgé de 15 ou 16 ans, scolarisé dans une autre classe de 1ère année, pour le racket du smartphone de son fils ainsi que pour un vol de bijoux et d’argent chez la grand-mère du garçon.
A son retour en cours, le fils aurait été intimidé physiquement. Le jeune cité dans la plainte l’aurait plaqué au mur.
Sa mère a rencontré la direction de l’école jeudi, et a finalement décidé de retirer son enfant de l’établissement.
« Comme à l’athénée Emile Bockstael ou à Jacqmain, c’est encore l’enfant victime d’actes antisémites qui doit quitter l’école », estime Joël Rubinfeld. « Les élèves qui commettent ces actes ne sont pas plus inquiétés que ça. Par la force des choses, des parents qui ne voulaient pas que leurs enfants vivent en vase clos les mettent aujourd’hui dans des écoles juives ».
source :
et voila comment en 5 décennies, j’ai changé mon fusil d’épaule –
j’ai voulu que mes enfants aillent à l’école avec les autres enfants, pour apprendre à vivre ensemble pour apprendre la tolérance, et puis il faut dire que c’était trop cher pour nous l’école privée-
si aujourd’hui j’avais des enfants d’âge scolaire, ils iraient dans une école juive, c’est incontestable-
Comme la meute des loups, on en revient à la bestialité …quel que soit le Pays et sa politique , c’est la peur qui règne au sein des politiques » surtout pas de vagues » faut les laisser tranquille …faut les ménager …sinon on va les avoir dans la rue à casser, brûler, piller etc …c’est FOUTU , vu le nombre…il est trop tard ….alors est-ce une bonne réponse du pourquoi on ne fout pas à la porte les gamins malfaisants au lieu du petit Juif lequel les Parents devront pour le protéger le mètre en vase clos !. A ce point de vu d’école…on parle beaucoup de la forte baisse des connaissances , jamais de la majorité Arabe dans les classes, retardant de fait l’évolution de l’enseignement ( j’ai des enseignant dans ma famille qui me renseignent !).
Les chefs d’établissements ne font jamais quoi que ce soit pour les victimes. Les agresseurs s’en tirant toujours à bon compte continuent allègrement de distribuer insultes, coups, intimidation et autre. Dans ce genre de cas, c’est toujours à la victime de changer d’établissement. Tant que les institutions françaises continueront à protéger les racailles qui nous agressent, les violences continueront et augmenteront.
La France : il faut la quitter.