Bruno Gollnisch (RN) candidat pour remplacer Carlos Ghosn à la tête de Renault

Nous avons cru d’abord à un article du GORAFI mais c’est le Figaro qui lance cette information qui n’est pas une blague.
Golllnish qui n’a jamais réussi à s’imposer face à Marine Le Pen au sein du Front National et qui n’a jamais dirigé une société de l’importance de Renault ou Nissan veut faire le buzz en postulant à une place qu’il est incapable de tenir.
Marine Le Pen a du courage de supporter un pareil pitre
Lire ci-dessous l’article du Figaro
http://premium.lefigaro.fr/politique/le-scan/insolites/2018/11/21/25007-20181121ARTFIG00128-bruno-gollnisch-rn-candidat-pour-remplacer-carlos-ghosn-a-la-tete-de-renault.php

INFO LE FIGARO – Petit actionnaire de Renault, l’eurodéputé RN est candidat au conseil d’administration et à la direction du groupe, après l’arrestation de son PDG Carlos Ghosn. Il veut s’opposer aux «rétributions faramineuses des dirigeants» de l’entreprise.
Cette semaine, les actionnaires de Renault devraient trouver à leur adresse un étonnant courrier, paraphé de la main de Bruno Gollnisch. L’eurodéputé Rassemblement national (RN) s’y déclare «candidat au conseil d’administration et à la présidence» du groupe, après l’arrestation au Japon de son PDG Carlos Ghosn, soupçonné de fraude fiscale. Et peu importe si la succession du puissant patron d’industrie, en garde à vue prolongée mais toujours à la tête de l’entreprise, n’est pas ouverte. Dans cette lettre qu’il a prévu d’envoyer mercredi, Bruno Gollnisch «demande la tenue d’une assemblée générale ordinaire» afin d’élire un nouveau PDG.
Petit actionnaire
«Je veux donner un coup de pied dans la fourmilière et exposer un certain nombre de problèmes», explique-t-il au Figaro. Petit actionnaire de Renault, l’élu a acheté «il y a plusieurs années cinquante actions, pour un total de 2.953 euros. Elles valent aujourd’hui 1.836 euros», regrette-t-il, dépité. Et remonté contre les «rétributions faramineuses des dirigeants, que leurs compétences, si larges soient-elles, ne justifient pas».
«Il est temps que les petits actionnaires se fassent entendre!», avance l’ancien compagnon de route de Jean-Marie Le Pen. «Il faut une nouvelle gouvernance de l’entreprise, avec une meilleure représentation des actionnaires.»
Même s’il assure avoir les épaules solides pour accéder à la direction du groupe – «J’ai une formation supérieure et j’ai été avocat international», insiste-il -, l’élu RN ne se fait guère d’illusions. «Je suis conscient que ma candidature a peu de chances d’aboutir. Mais si on ne tentait que ce que l’on est sûr de réussir, on n’aurait pas découvert l’Amérique». Il n’est pas dit que Bruno Gollnisch sera le Christophe Colomb de l’industrie automobile.