BONNE NOUVELLE :Sur ordre de Smotrich : Amnesty International perd ses avantages fiscaux en Israël

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L’administration fiscale israélienne, agissant sur instruction du ministre des Finances Bezalel Smotrich, révoque l’avantage fiscal accordé à Amnesty International en raison des activités anti-israéliennes de l’organisation et de son soutien au BDS.
L’administration fiscale israélienne, agissant sur instruction du ministre des Finances Bezalel Smotrich, révoque l’avantage fiscal accordé à Amnesty International en raison des activités anti-israéliennes de l’organisation et de son soutien au BDS.
Il y a plusieurs mois, Smotrich a créé un groupe spécial pour examiner cette décision, qui a été finalisée lundi.
« Quiconque agit contre l’État d’Israël n’aura pas droit aux prestations de l’État d’Israël », a souligné Smotrich.
Shai Glick, militant et directeur général de l’organisation de défense des droits de l’homme B’tsalmo, qui s’est battue pendant de nombreuses années pour révoquer l’avantage fiscal accordé à Amnesty en Israël, a déclaré : « Quiconque calomnie Israël et prétend qu’il commet des crimes de guerre et appelle à son boycott ne devrait pas recevoir un seul centime de fonds publics. Je remercie sincèrement mon bon ami, le ministre des Finances Bezalel Smotrich, de s’être battu pour supprimer ce financement et de s’être engagé à poursuivre la lutte du public. Quiconque incite à la violence et agit contre l’État d’Israël et appelle à le boycotter ne devrait pas recevoir un seul centime de fonds publics. »
« J’appelle les dirigeants d’Amnesty Israël, après leur exclusion de l’organisation internationale en raison d’accusations selon lesquelles ils ne sont pas suffisamment anti-israéliens, à comprendre le message selon lequel peu importe à quel point vous agissez contre l’État, les antisémites du monde vous haïront. Je les appelle à commencer à agir pour le bien de l’État d’Israël et contre le terrorisme et l’antisémitisme. Il y a suffisamment de travail important à faire dans ce domaine. »
Plus tôt ce mois-ci, des rapports ont indiqué qu’Amnesty International avait suspendu sa branche israélienne, invoquant un « racisme anti-palestinien ».
« Ses efforts pour saper publiquement les conclusions et recommandations du rapport 2022 d’Amnesty International sur l’apartheid israélien contre les Palestiniens et, plus récemment, du rapport 2024 d’Amnesty International sur le génocide israélien contre les Palestiniens à Gaza, ont été profondément préjudiciables à la mission d’Amnesty International en matière de droits humains, menaçant notre crédibilité, notre intégrité et notre cohérence opérationnelle », a écrit le président international par intérim d’Amnesty International , Tiumalu Lauvale Peter Fa’afiu, dans une lettre interne datée du 6 janvier et obtenue par le New York Post .
« Nous prenons cette mesure en réponse aux preuves d’un racisme anti-palestinien endémique au sein d’AI Israël, qui viole les principes fondamentaux des droits de l’homme et les valeurs d’Amnesty », a ajouté Fa’afiu.
La suspension, qui doit durer deux ans, comprend un processus de révision pour déterminer si la branche sera rétablie ou définitivement interdite. Israël conserve le droit de faire appel de la décision.
L’année dernière, le directeur général du ministère des Finances, Shlomi Heizler, a convoqué la branche israélienne d’Amnesty International. à une audience avant une décision de révoquer ses avantages fiscaux au vu du fait que l’organisation appelle au boycott et à l’embargo sur les armes contre Israël, et viole donc la loi sur le boycott.
Selon le rapport, dans la lettre de convocation, Heizler a noté les plaintes contre Amnesty Israël, tout en essayant de réfuter un argument concernant les différences entre les appels d’Amnesty International et de sa branche israélienne.
Il a été noté, entre autres, que l’organisation avait publié sur son site Internet l’appel d’Amnesty International à un embargo sur les armes contre Israël et à un boycott des sites de Judée, de Samarie et de Jérusalem par les entreprises touristiques.
« Tous les appels d’Amnesty International apparaissent sur le site Internet d’Amnesty Israël et sont en pratique publiés par cette dernière d’une manière qui constitue la publication consciente d’appels au boycott d’Israël », a écrit le directeur général du ministère.
En juillet 2023, le ministre des Finances Bezalel Smotrich a ordonné à l’administration fiscale d’ouvrir une enquête pour révoquer les avantages fiscaux d’Amnesty.
Selon la lettre de convocation, 80% des fonds de l’organisation israélienne proviennent d’Amnesty International : « L’ampleur du financement atteste du fait qu’Amnesty Israël dépend du financement d’Amnesty International. Des questions se posent donc quant à l’indépendance d’Amnesty Israël, qui se manifeste par le brouillage intentionnel de la frontière entre l’organisation israélienne et l’organisation internationale lorsqu’il s’agit des appels d’Amnesty International contre Israël. »
Source
https://www.israelnationalnews.com/

« Kidnappée ». Le mot s’affiche en lettres capitales blanches sur fond rouge, au-dessus de la photo d’une enfant souriante. C’est « Aviv, 2 ans, Israëlienne, enlevée par le Hamas », lit-on en lettres blanches sur fond noir, en légende, sur une des affichettes que les Toulousains ont découvertes ce matin sur les boulevards. Mais aussi sur les vitrines d’Amnesty International ou du siège toulousain de LFI (La France Insoumise) à Patte d’Oie, ou près de la Bourse du Travail, place Saint-Sernin, ou sur la vitrine de la librairie Terra Nova, par exemple.

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  1. David92 dit :

    Bezalel Smotrich est un homme brillant et courageux comme beaucoup en Israël .
    Il symbolise l’avenir de ce pays étonnant .

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