BARDELLA JUGE QU’IL N’Y A « AUCUNE JUSTIFICATION » AUX ATTAQUES DU HAMAS EN ISRAËL
Le président du Rassemblement national a adressé sa « solidarité la plus totale » à Israël.
« Solidarité la plus totale sans équivoque et sans réserve à l’égard d’Israël ». C’est le message passé par Jordan Bardella, président du Rassemblement national, sur BFMTV-RMC, deux jours après le début des attaques du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël et des représailles du pays dirigé par Benjamin Netanyahu.
« Ce qui s’est déroulé ce week-end ce sont des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité », estime le député européen. Il considère que « la réponse israélienne est légitime » en raison de « l’attaque terroriste de grande ampleur » qu’elle a subie. Deux jours plus tôt, la leader de son parti, Marine Le Pen, a dénoncé un « acte de guerre inacceptable qui éloigne un peu plus tout espoir de paix ». « Le terrorisme ne peut être toléré et la sécurité du peuple israélien n’est pas négociable », a ajouté la cheffe des députés du RN.
Jordan Bardella souligne de son côté que le Hamas est « considéré comme une organisation terroriste » et non comme la « représentante d’un État ». Le député européen fait référence à La France insoumise, qui a créé la polémique ce week-end et assume ce lundi un « désaccord avec la diplomatie française ». À l’image des déclarations faites par Elisabeth Borne sur BFMTV, il est reproché au mouvement de Jean-Luc Mélenchon de « renvoyer dos-à-dos » Israël et le Hamas.
« Je suis accablé de voir que la condamnation du terrorisme ne fait plus l’unanimité dans la classe politique française », déplore Jordan Bardella. « Je pense qu’il n’y a pas de ‘condamnation mais' », dénonce encore le député européen, qui insiste une dernière fois:
Ce lundi, Manuel Bompard, coordinateur de LFI, a dénoncé sur France 2 les « crimes de guerre commis par le Hamas », mais aussi ceux qui sont le fait « de l’État israélien à l’égard des Palestiniens depuis des années ». Le député des Bouches-du-Rhône a plaidé pour « l’arrêt des hostilités, un cessez-le-feu » et la « protection des civils ». Assumant de ne pas être « en accord avec la diplomatie française », ce très proche de Jean-Luc Mélenchon a déclaré: « La position de la France ne peut pas être alignée sur celle du gouvernement de l’extrême droite israélienne. »
Source
https://www.bfmtv.com/politique/front-national/des-crimes-contre-l-humanite-bardella-juge-qu-il-n-y-a-aucune-justification-aux-attaques-du-hamas-en-israel_AV-202310090247.html
On sait pour qui voter toute façon notre sort va devenir de plus aléatoire face à l’islamisation de notre pays
Aujourd’hui il faut aider Israël et ne jamais oublier que notre survie d’Israel
Le RN á mon bulletin!
En Europe nous filons droit dans le mur,nous accueillons,comme nous avons accueillis des individus inassimiLlable par leur croyance(ce n´est pas moi qui le dit,se sont eux-même)qué nous le voulions oú pas!
Par contre si le bouiboui continue,l´armée sera plus utile dans l´Hexagone qu´en Afrique.Au point oú nous en sommes une prise en main par l´armée du pouvoir serait le cadet de mes soucis.
Le Figaro
Le Parti des Indigènes adresse au Hamas sa «fraternité militante», le NPA appelle à l’intifada
59m
Au lendemain des attaques lancées par des combattants du Hamas contre Israël, faisant plusieurs centaines de morts et des milliers de blessés, suivies de tirs de riposte sur des immeubles de la bande de Gaza, une partie de la gauche s’est désolidarisée de la condamnation presque unanime de cette offensive du Hamas au sein de la classe politique française. Si Jean-Luc Mélenchon et plusieurs insoumis (Manuel Bompard, Louis Boyard…) ont renvoyé dos à dos les deux parties, refusant de parler d’attaque terroriste, des mouvements et groupuscules d’extrême gauche sont allés encore plus loin, en faisant cette fois l’apologie des attaques contre les civils menées par le Hamas.
C’est notamment le cas du Parti des Indigènes, issu du Mouvement des Indigènes de la République créé en 2005 par Houria Bouteldja, sa porte-parole, et Youssef Boussoumah. Ce groupuscule fondé sur une idéologie post-coloniale consacre l’essentiel de son discours à dénoncer l’histoire coloniale de la France et la persistance d’un supposé racisme systémique dans le pays, ainsi qu’à soutenir la cause palestinienne et dénoncer la politique d’Israël.
Dimanche, le Parti des Indigènes a publié sur Twitter : «Que la Résistance palestinienne qui mène son action avec détermination et confiance dans des conditions héroïques reçoive en ces heures terribles toute notre fraternité militante. La Palestine vaincra, et sa Victoire sera la nôtre». Ce message était accompagné d’un dessin de combattants du Hamas s’introduisant sur le territoire israélien en ULM : ce sont ces combattants qui ont semé la terreur au sein des populations frontalières, massacrant notamment les participants d’une rave party organisée dans le désert non loin de Gaza. Samedi, jour du déclenchement des exactions du Hamas contre des civils israéliens, le même compte Twitter clamait : «Gloire à la résistance palestinienne».
Cette prise de position a fait l’objet de nombreuses réactions indignées, notamment celle de Simone Rodan-Benzaquen, directrice de l’American Jewish Committee en France et en Europe, qui a interpellé publiquement le gouvernement au sujet de ces propos, rappelant la peine encourue en France pour apologie du terrorisme.
Mais le Parti des Indigènes n’est pas le seul groupuscule à faire depuis samedi l’apologie des attaques terroristes menées par le Hamas. Il a reçu sur Twitter le soutien du compte Islam & Info et de son responsable, Elias d’Imzalène, militant islamiste à l’origine de plusieurs actions, contre la loi sur le séparatisme, l’interdiction de l’abaya ou encore l’expulsion de l’imam Iquioussen.
La section syndicale au sein de l’EHESS de Solidaires étudiant.e.s a également affiché son soutien explicite aux assaillants du Hamas, prenant ses distances avec ceux qui appellent à la paix entre Israël et Gaza. «Nous nous distançons de toutes les prises de position qui, à gauche, appellent à la désescalade, se prononcent en faveur d’une solution à deux États illusoire, et mettent sur le même plan la violence des résistants palestiniens et celle des colons de l’armée d’occupation israélienne», écrit le syndicat étudiant dans un communiqué.
Même son de cloche au Nouveau Parti Anticapitaliste, qui selon un communiqué publié dimanche, «ne se joint pas à la litanie des appels à la désescalade», mais lance «un appel à l’organisation rapide de mobilisations de soutien au peuple palestinien». «Cette fois-ci l’offensive est du côté de la résistance», se réjouit le NPA de Philippe Poutou. Le communiqué se termine par le mot «intifada», suivi d’un point d’exclamation, faisant ainsi explicitement l’apologie des deux vagues de violences populaires dirigées contre les militaires et les civils israéliens.
Sur Twitter, l’avocat Gilles-William Goldnadel (également chroniqueur au Figaro) a annoncé que son association, «Avocats sans frontières», «portera plainte contre le NPA pour apologie du terrorisme». L’Union des Étudiants Juifs de France (UEJF) a également annoncé qu’elle porterait plainte contre le NPA pour les mêmes raisons.
-😡 Je rajoute:
La position qu´adopte LFI,NPA,PIR et autres saloperies gauchiste doivent être condamné,ils sont lamentable!G.I a payé le prix fort pour beaucoup moins que cela,celles et ceux qui osent dire leur amour pour la Patrie peuvent á tout moment tomber sous les coups des rouges-bruns.Ces saloperies sont une vraie menace pour la liberté,ils doivent payer!!!!
Comme on dit, c’est dans les coups durs que l’on voit ses amis, ben là Jordan Bardella a marqué des points avec un discours qui ne varie pas.