
BALANCE TON ANTISEMITE -Les habitants de New York ont commencé à jeter des déchets depuis leurs immeubles sur les manifestants pro-palestiniens
By 13 Comments
|
Les habitants de New York ont commencé à jeter des déchets et des cales depuis leurs immeubles sur les manifestants pro-palestiniens. 😂 pic.twitter.com/AVOxSAsPYf
— Jugé Coupable (@JCoupable) April 8, 2025
happywheels
Il serait cordial et logique de ne plus dire « pro Palestiniens » mais anti juifs.
Ils auraient dû être content, on leur envoyait des déchets. Les pompes à merde ça aime les ordures.
les manifestants étaient scandalisés parce que ce n’était pas des déchets halal…
Tous ces « déchets nauséabonds » qui manifestent aujourd’hui auraient été sauvés en 40 par Chanel……cette drôle de « Coco » antisémite qui parfumait déjà les nazis .
À l’annonce de la déclaration de la Seconde Guerre mondiale, elle présente une collection « bleu-blanc-rouge » patriote, puis ferme subitement sa maison de couture et en licencie l’intégralité du personnel[66]. Ainsi cette annonce de la guerre donne à Chanel l’opportunité de représailles envers ses ouvrières qui, revendiquant de meilleurs salaires et conditions de travail, avaient participé aux grèves de 1936.
Gabrielle Chanel se consacre alors uniquement à son activité dans le domaine des parfums, dont la boutique reste ouverte. Profitant de la confusion et des lois antisémites, elle tente de récupérer la marque de parfum No 5, car la célèbre fragrance dont elle ne détient les droits qu’à hauteur de 10 % est en fait la propriété des Wertheimer, famille juive[68].
Le 5 mai 1941, elle réclame aux autorités allemandes la propriété des Parfums Chanel, assurant qu’« ils sont toujours la propriété de Juifs » et qu’ils ont été légalement « abandonnés » par leurs propriétaires, les Wertheimer qui étaient alors réfugiés aux États-Unis. Elle fait valoir un « droit indiscutable de priorité », et demande « réparation pour les préjudices subis pendant ces dix-sept années »
Cependant cette demande n’aboutit pas, Coco Chanel ignorant que les Wertheimer, anticipant les lois nazies, ont fait passer légalement le contrôle des Parfums Chanel entre les mains de leur ami Félix Amiot, qui le leur rendra après la guerre
Ayant séjourné dans l’hôtel Ritz dès les années 1920, elle y loue une suite au troisième étage, en 1937. Bien que l’hôtel réquisitionné soit devenu le quartier général de la Luftwaffe en 1940, elle dispose néanmoins d’une suite où elle vit durant la Seconde Guerre mondiale de 1941 à 1944 avec son amant, le baron Hans Gunther von Dincklage, surnommé « Spatz » (« moineau »). Selon plusieurs sources, cet ancien attaché d’ambassade allemand appartient au renseignement militaire allemand, l’Abwehr. Edmonde Charles-Roux voit plutôt en lui un agent d’influence mondain à Paris chargé de favoriser la collaboration. Ils ont une longue liaison amoureuse, qui se poursuivra après la fin de la guerre.
La biographie[72] du journaliste Hal Vaughan, s’appuyant notamment sur des archives allemandes et du MI6 déclassifiées, révèle qu’elle fut recrutée comme espionne de l’Abwehr, devenant l’agent F-7124 sous le nom de code « Westminster », en référence à son ancien amant le duc de Westminster, ce que confirme une fiche récemment déclassifiée des archives de la préfecture de police de Paris, concernant Gabrielle Chanel et portant le même numéro d’agent et le même nom de code[73]. Chanel a été recrutée par le lieutenant Hermann Niebuhr qui l’a mise en relation avec le baron Louis de Vaufreland, ancien agent français de la Gestapo au Maroc et recruteur d’espions allemands. Ce dernier a permis la libération de son neveu chéri, le soldat André Palasse, fait prisonnier par la Wehrmacht. En échange, elle se met au service de l’occupant, Vaufreland l’envoyant en mission en Espagne dès 1941[74].
En 1943, un petit cercle au sein de l’armée allemande auquel est lié Hans Gunther von Dincklage voit dans la relation passée de Chanel avec le duc de Westminster et son amitié avec Churchill une carte à jouer. Chanel est chargée d’œuvrer en faveur de la conclusion d’une paix séparée entre l’Allemagne et le Royaume-Uni. Par l’intermédiaire de Walter Schellenberg, SS-Brigadeführer chef de la section d’espionnage du RSHA, qu’elle rencontre à Berlin en avril 1943 et qu’elle aidera financièrement après son emprisonnement[70], ainsi d’une amie membre de la famille Windsor, Vera Bate Lombardi (en), elle doit faire parvenir à Churchill une lettre qu’elle lui a rédigée, via l’ambassade du Royaume-Uni à Madrid. L’opération baptisée Modellhut, chapeau de couture en allemand, échoue car Lombardi, dès son arrivée à Londres, dénonce Chanel et d’autres complices comme étant des espions nazis[75].
De nombreux biographes et historiens confirment ses penchants et diatribes antisémites : avec son amant, le dessinateur d’extrême droite Paul Iribe, elle participe à la reprise du journal antisémite et xénophobe Le Témoin en 1933 ; elle distingue les « Israélites » comme les Rothschild, qu’elle fréquente, et les « youpins ». Elle a pour avocat René de Chambrun et est une amie intime de sa femme, Josée, fille de Pierre Laval, pour le compte duquel Chambrun publie une note confidentielle dévoilant les actions antisémites du régime de Vichy ; de multiples témoignages rapportent ses propos antisémites
il parait que c est churchill qui l aurait sauvèè a la liberation !!cette femme etait vraiment la pire pourrie !et l un de ses amants le windsor etait lui aussi une pourriture !!encore pire sans doute !!!
Gabrielle Chanel, en couple avec un baron allemand durant la Seconde guerre mondiale, aurait selon certains documents été recrutée, dès 1940, comme agent secret du régime nazi.
Dans le roman de sa longue vie, il y a au moins un chapitre que la célèbre couturière Coco Chanel a voulu occulter: sa liaison, pendant la guerre, avec un baron allemand. Et surtout, sa collaboration avec les services d’espionnage SS. Une page longtemps méconnue de l’existence de la « Grande Mademoiselle ». A tel point qu’à sa mort, en janvier 1971, la presse n’en fait pas mention.
« Au début de la Seconde guerre mondiale, Chanel ferma sa maison de couture et se retira sur les bords du Lac Léman, où elle vécut pendant 15 ans des royalties que lui rapportait son parfum », écrit ainsi, dans la nuit du 10 au 11 janvier, l’Agence France-Presse, qui vient d’annoncer son décès au monde entier.
La réalité est différente. Certes, après avoir présenté au début de la guerre une collection patriotique « bleu-blanc-rouge », Gabrielle Chanel choisit de fermer l’atelier de la rue Cambon quand commence l’Occupation. Mais elle laisse ouverte sa boutique de parfums et, loin de prendre ses quartiers en Suisse, continue à vivre, en plein coeur du Paris occupé, dans l’immense suite du Ritz, louée depuis 1937.
Un projet fou qui tourne au fiasco
A 57 ans, elle tombe amoureuse d’un attaché d’ambassade allemand, Hans Günther von Dincklage, de 13 ans son cadet. Sans doute un espion. Ils vivent leur liaison dans l’hôtel prestigieux, partiellement réquisitionné par le régime nazi pour abriter la Luftwaffe et son chef, le maréchal Göring.
Surtout, elle fait intervenir les autorités allemandes pour récupérer la propriété de ses parfums, cédée avant-guerre à des industriels juifs. Mais c’est un échec: les frères Wertheimer, réfugiés aux Etats-Unis, déjouent son plan.
Las, Coco Chanel se lance dans un nouveau projet, encore plus fou: arrêter la guerre, en tentant de négocier en 1943 une paix séparée entre l’Allemagne et la Grande-Bretagne. Une opération abracadabrante, baptisée « Modelhut » (Chapeau de couture), qui la conduit deux fois à Berlin.
En avril 1943, elle va en discuter les détails directement avec Walter Friedrich Schellenberg, patron des services de renseignement de la SS. Elle connaît bien, plaide-t-elle, le Premier ministre britannique Winston Churchill, rencontré grâce à son ancien amant, le duc de Westminster. L’homme de confiance de Himmler est séduit. Mais l’opération vire au fiasco…
« Au lit avec l’ennemi »
A la Libération, Coco Chanel est arrêtée mais relâchée quelques heures plus tard, sur une intervention de Churchill. Elle préfère toutefois prendre le large en Suisse, dans un palace de Saint-Moritz. Elle ne revient de cet exil qu’en 1953, à 70 ans.
Il faut attendre le livre d’Edmonde Charles-Roux L’Irrégulière ou mon itinéraire Chanel, publié chez Grasset en 1974, trois ans après sa mort, pour que ce pan discret de son existence soit – en partie – révélé.
L’Express, en 1995, et Der Spiegel, en 2008, lèvent un peu plus le voile sur le passé de la dame au canotier. En 2011, le journaliste américain Hal Vaughan va plus loin dans les révélations avec Sleeping with the enemy, Coco Chanel’s secret war (« Au lit avec l’ennemi, la guerre secrète de Coco Chanel »). Une biographie fruit de trois ans et demi de recherches dans les archives américaines, françaises, allemandes, britanniques, italiennes et polonaises.
Rappeler le rôle de Félix Amiot dans le différend qui opposait les Wertheimer à Coco Chanel .
Ironie de l’histoire ce même Félix Amiot responsable des chantiers navals avait laissé les fameuses vedettes quitter les quais du port de Cherbourg…..
ça craint !
Un vieux copain a quitté la France pour les US car il avait peur de l’antisémitisme ici.
Les anti juifs sont partout !
Et dire que l’une des marques les plus connues dans le monde, dont les promoteurs prennent soin d’escamoter le passé c’est Louis Vuitton !
Au lieu d’être un signe d’infamie, dans ce monde malade c’est une marque qui force le respect…
La direction de Vuitton (LVMH) assure que ses archives sont ouvertes – sans occulter aucune période – aux travaux des historiens et des chercheurs. Un porte-parole précise qu’une partie de la famille Vuitton, oubliée dans cet ouvrage, était du côté de la Résistance. Comme Jean Ogliastro, un gendre de Gaston Vuitton, qui a combattu sous le nom de Servien dans le réseau de Jean Cavaillès, avant d’être déporté à Buchenwald, puis à Bergen Belsen, jusqu’à la libération du camp.
Le livre, Louis Vuitton, une saga française, explique que les membres de la famille Vuitton ont activement soutenu le gouvernement fantoche dirigé par le maréchal Philippe Pétain et ont gagné de l’argent grâce à leurs relations d’affaires avec les Allemands.
Son auteur, Stephanie Bonvicini, dit avoir fait cette découverte en recherchant l’histoire de la richesse du fondateur de l’entreprise, Louis Vuitton, pour marquer son 150e anniversaire cette année.
Bonvicini affirme avoir bénéficié de l’entière coopération de l’entreprise lorsqu’elle lui a proposé d’écrire le livre il y a un an. Mais lorsqu’elle s’est renseignée sur ses activités pendant la guerre, on lui a répondu que les documents de l’entreprise pour les années 1930 à 1945 avaient été détruits dans un incendie.
« Leur attitude a complètement changé dès que j’ai évoqué les années de guerre, passant d’une attitude très serviable à une absence totale de réponse aux questions », a-t-elle déclaré.
Grâce aux archives historiques, elle découvrit que Louis Vuitton possédait une boutique au rez-de-chaussée d’une fabuleuse propriété, l’Hôtel du Parc, à Vichy, où Pétain avait installé son gouvernement fantoche. Alors que les autres commerçants, dont le joaillier Van Cleef & Arpels, étaient fermés, Vuitton fut le seul autorisé à rester.
Bonvicini dit avoir parlé aux membres survivants de la famille et avoir découvert que le petit-fils de Vuitton, Gaston, le chef de l’entreprise pendant la guerre, avait demandé à son fils aîné, Henry, de nouer des liens avec le régime de Pétain pour maintenir l’entreprise en activité.
Henry, un habitué du café local fréquenté par la Gestapo, fut l’un des premiers Français à être décoré par le gouvernement soutenu par les nazis pour sa loyauté et ses efforts pour le régime.
Mais l’accusation la plus préjudiciable est que la famille aurait créé une usine dédiée à la production d’objets glorifiant Pétain, dont plus de 2 500 bustes, un fait qui n’est mentionné dans aucun de ses documents commerciaux.
« Une partie de la collaboration était due à l’obsession de la famille pour la survie de l’entreprise, et une autre partie au fait qu’il y avait une certaine sympathie pour les opinions de droite du régime », a déclaré l’auteur.
Louis Vuitton, né en 1821 dans la campagne française, créa son entreprise en 1854 après un voyage à Paris à l’âge de 14 ans avec seulement quelques francs en poche. Il fabriqua plus tard des malles pour l’impératrice Eugénie.
Après la mort de Louis en 1892, son fils, Georges, développa l’entreprise et créa la première « marque de créateur » au monde. Il introduisit le monogramme LV beige sur fond marron distinctif pour distinguer les produits Vuitton des copies bon marché.
Que fout le gouvernement US face à cette 5ème colonne, qu’attend la force publique pour dégager ces parasites qui colonisent et polluent l’occident ?
Les américains ont-ils oublié les réactions de ces vipères le 11/09 ?
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/1819417017107/attentats-etats-unis-reaction-de-palestiniens
.
Brenton Tarrant au secours !!!
.