BALANCE TON ANTISEMITE : Le pire racialiste et antisémite, Hervé Ryssen, prit en flag avec une jeune femme de couleur

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Celui-là même qui crache sa haine à longueur de vidéos sur tout ce qui n’est pas blanc et chrétien . Il n’y a pas de hasard. Un de nos fidèles abonnés nous a transmis cette vidéo.


Hervé Ryssen, de son vrai nom Hervé Lalin, né le 10 avril 1967 à Bondy, est un essayiste et militant nationaliste et négationniste1,2 français, proche des milieux de l’extrême droite radicale. Il se présente comme « raciste », « antijuif et antisémite »6. Ses publications et ses déclarations font l’objet de nombreuses plaintes, et il a été condamné à plusieurs reprises pour ses propos antisémites, jusqu’à se voir infliger en septembre 2020 une peine de prison ferme.
En 2004, Hervé Ryssen est condamné à quatre mois de prison avec sursis pour l’entartage du curé de la basilique de Saint-Denis.
En 2007, il met en ligne sur son blog un article consacré à Michel Tubiana, président de la Ligue des droits de l’Homme, auquel il attribue l’« esprit corrosif du judaïsme ». Il est condamné, pour cet écrit, à 7 500 € d’amende en février 2009 (jugement confirmé en janvier 2010). Également en 2009, des tracts antisémites ont été déposés dans les boîtes aux lettres des habitants de la ville d’Arras. Ces tracts, non signés, intitulés « Ce que veulent les juifs », renvoyaient à la lecture de livres d’Hervé Ryssen. Leur diffusion fera l’objet d’une enquête de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI). La Ligue des droits de l’Homme s’étant portée partie civile, Hervé Ryssen a été condamné à une amende en octobre 2009.
En février 2012, il est condamné à 5 000 € d’amende pour avoir publié, dans le journal Rivarol, un article dans lequel il affirmait que les Juifs avaient une propension particulière à l’inceste.
En octobre de la même année, Hervé Ryssen a été condamné à 6 000 € d’amende par le tribunal correctionnel de Paris pour avoir proféré sur son blog, en octobre 2011, des injures homophobes à l’encontre du maire de Paris Bertrand Delanoë.
Toujours en octobre 2012, Hervé Ryssen est condamné à quinze jours de prison avec sursis pour un entretien à Rivarol, en janvier 2011, et à 1 000 € d’amende pour un article paru dans ce même journal, en mars 2011.
En novembre 2013, il est condamné à trois mois de prison ferme, un euro symbolique de dommages et intérêts ainsi qu’à payer 1 000 € au titre des frais de justice, pour avoir menacé de mort Bertrand Delanoë.
En 2015, il est de nouveau condamné à trois mois de prison ferme pour « diffamation contre un groupe de personnes en raison de leur appartenance à une race déterminée, et incitation à la haine raciale », à la suite de la publication de son livre Les Milliards d’Israël.
En mars 2016, il est condamné à deux mois de prison ferme, à verser 1 000 € de dommages et intérêts et 1 500 € au titre des frais de justice à la LICRA, les mêmes sommes à SOS Racisme, pour deux tweets, l’un qui accusaient les Juifs « d’innombrables crimes » et l’autre d’être « les premiers responsables dans le massacre de trente millions de chrétiens en URSS entre 1917 et 1947 ». Le 7 septembre 2016, il est condamné à un an ferme ainsi qu’à verser 1 500 € de dommages et intérêts et mille euros au titre des frais de justice, à chacune des trois associations antiracistes qui s’étaient portées partie civile, pour quatre tweets et trois messages sur sa page Facebook, « qui exploitent l’un des thèmes antisémites les plus éculés, à savoir leur omniprésence [celle, supposée, des Juifs] dans l’économie et les médias » et leur imputent, aussi, entre autres méfaits, « la responsabilité de la traite des Noirs ». En raison de son absence au procès, il fait appel. Le 13 octobre 2017, la 17e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris le condamne à une peine totale de onze mois de prison ferme pour les délits qui lui étaient reprochés.
À la suite de la parution de son livre Comprendre le judaïsme, comprendre l’antisémitisme (avril 2012), SOS Racisme porte plainte avec constitution de partie civile, le 28 février 2013, visant huit passages de l’ouvrage. Initialement prévu le 9 octobre 2015, le procès est renvoyé au 10 novembre 2016. Le 15 décembre, Hervé Ryssen est relaxé pour un des huit passages poursuivis, et condamné pour les sept autres (trois au titre de l’injure raciale, un pour diffamation raciale et trois pour provocation à la haine raciale) à cinq mois de prison ferme. Le tribunal condamne également Hervé Ryssen à verser 1 000 € de dommages et intérêt et 3 000 € au titre des frais de justice à SOS Racisme, 1 000 € de dommages et intérêts et 2 000 € au titre des frais de justice à Ligue des droits de l’Homme et les mêmes sommes à la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme — la LDH et la LICRA s’étant portées parties civiles après la plainte de SOS Racisme.
En juin 2018, il est condamné à un an de prison pour une vidéo jugée antisémite.
Le 23 janvier 2019, il est condamné pour négationnisme après avoir publié, sur son compte Twitter, un montage photo qui « tourne en dérision la Solution finale et insinue que ce camp (celui d’Auschwitz) n’a pas été un lieu d’extermination ».
Le 18 septembre 2020, en exécution d’une série de peines prononcées entre 2017 et 2020, Hervé Ryssen est incarcéré pour dix-sept mois.
Le 2 décembre 2020, vingt mois de prison et 120 jours d’amende à cent euros sont requis contre lui, le procureur demandant d’alourdir la peine qui avait été précédemment prononcée en son absence (un an de prison). Il lui était reproché d’avoir, en octobre 2017, publié sur son compte Twitter deux séries de tweets, accusant les juifs d’êtres responsables de l’extermination de trente millions de chrétiens entre 1917 et 1947 en Russie, ainsi que de l’ensemble du trafic d’ecstasy mondial ; un photo-montage de l’affiche de La Vérité si je mens ! 3 sur lequel apparaissait le portail d’entrée d’Auschwitz.
Le 5 février 2021, le tribunal correctionnel de Paris le condamne à 3 200 euros d’amende pour « diffamation publique », « provocation publique à la haine en raison de l’origine, la race ou la religion » et « contestation de crime contre l’humanité ».
Le 8 février 2022, il est condamné à vingt jours-amendes de cent euros pour une vidéo hostile aux Juifs, réalisée avec le prêtre intégriste Olivier Rioult et diffusée sur YouTube le 21 août 2019

happywheels

10 Commentaires

  1. Danlos dit :

    Pris en flag et pas prit

  2. benjamin dit :

    les juifs et avec eux la justice sont beaucoup trop patients avec ce type d antijuif compulsif ! qui ne s arretent JAMAIS jusque dans leur tombe !c est une affaire entre ce gus et nous autres les juifs !affaire personnelle entre chaque juif et cette ordure !!!agissons comme israel qui n hesite pas ; pas assez a mon gout !a regler ses comptes !meme plusieurs annèès apres !!

  3. Franccomtois dit :

    Il est allé tenter sa chance dans un pays exotique oú les femmes sont prêtes á tout pour fuir la misere.Une merde ce type,voyez ces milieux antisémite-raciste,ou ils copulent entre cousins-cousines,dans leur groupuscule de quelques personnes et vous avez lá des consanguins 🤬!Quelle femme bien dans ses baskettes voudrait d´un tel taré,d´un tel dégénéré?
    Bon Jésus est un grand blond aux yeux bleu,danois parait-il 🤪😵?!
    🤪😵 Pas mal celle-lá non plus,l´espace de reproduction ne devait être pas trés étendu:

    leJDD
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    Article de leJDD • 1 j • 2 min de lecture

    😡Ces salopards de gauche nous cassent les burnes avec leur laicité quand ces pour les juifs,les chrétiens….mais pour les mahométans il en est tout autre,bande de pourriture,de crevure!
    🙏✝✡💪👍

    Moshiach oi!-Shema Yisrael 🤩💪👍
    https://youtu.be/YRjpziJvcIQ?feature=shared

  4. protagoras dit :

    Le Nazi et philosophe Heidegger a bien eu sa maîtresse et disciple juive, qu’il n a d’ailleurs nullement protégée…..c’est cela aussi la banalité du mal

  5. David92 dit :

    Cette ordure se vante d’avoir étudié les mafias juives .
    A t il étudié les pillages et rapines du III ème Reich ? Les occupations illégales des maisons appartenant à des Juifs ?
    Et Goering qui venait se servir à Paris de tableaux et objets d’art appartenant à des juifs etc…etc…jusqu’aux derniers deniers et cheveux des pauvres martyrs avant de les jeter comme de les jeter comme des animaux dans les chambres à gaz .
    Oui pauvre con tu peux étudier les « mafias juives ».
    En face d’un Lansky ou d’un Bugsy Siegel tu te serais chier dans le froc pauvre type .

  6. David92 dit :

    Oui on est fiers de cette  » mafia Juive  » qui vous massacrait à coups de batte de base ball lors des réunions du Bund au Madison Square Garden en 39 .

    Enrichissez vos torchons ….prenez des notes .

    Bam ! Kapow ! Quand des mafieux juifs américains des années 30 tabassaient des nazis
    ‘Gangsters vs. Nazis’ raconte comment un juge de NYC a ordonné aux chefs de la mafia de recruter secrètement une armée de voyous juifs pour intimider les antisémites
    Par Renee Ghert-Zand
    3 August 2022, 2:16 pm

    Portant des drapeaux à croix gammée, le Bund germano-américain défile sur la 86e rue Est à New York avant un grand rassemblement au Casino de Yorkville. (Crédit: Collection de journaux du New York World-Telegram et du Sun, Bibliothèque du Congrès, LC-USZ62-11748/courtesy Michael Benson)

    Le juge Nathan Perlman décrochait un téléphone et appelait des gangsters à New York, Newark, Minneapolis, Chicago et Los Angeles pour leur demander d’interrompre les réunions nazies. (Crédit: National Photo Company Collection, Library of Congress, Prints and Photographs Division, LC-DIG-npcc-03143/courtesy Michael Benson)
    Le juge new-yorkais Nathan D. Perlman était apparemment un grand adepte de l’adage : « si vous avez besoin d’un travail bien fait, vous devez vous adresser aux bonnes personnes ». Ainsi, en 1938, il a appelé le célèbre mafieux juif Meyer Lansky pour lui demander une faveur.

    Perlman a convoqué Lansky à une réunion en tête-à-tête et lui a demandé d’ordonner aux gangsters juifs de disperser violemment les réunions du German American Bund, une organisation pro-nazie pour les Américains d’origine allemande.

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    Perlman a demandé si Lansky avait à sa disposition des jeunes hommes qui auraient envie de « casser du nazi ». Lansky a répondu qu’il en avait certainement, et il a suggéré qu’ils pourraient aisément faire plus que simplement tabasser les membres du Bund.

    « Je veux que vous fassiez tout sauf les tuer », a précisé Perlman au patron du crime organisé.

    L’éminent rabbin Stephen S. Wise, qui était présent pour apporter sa gravité cléricale, a fait écho au sentiment du juge.

    « Je suis désolé, mais nous ne pouvons pas tolérer le meurtre », a-t-il dit.

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    Il ne restait plus à Lansky qu’à dire à ses associés qu’ils pouvaient « tabasser » mais pas « abattre » ceux qui se présentaient aux réunions, rassemblements et marches du Bund, où les orateurs vomissaient leur haine des Juifs. Lansky a donné à ses hommes la permission d’utiliser plus que leurs poings. Les battes de base-ball, les clubs et autres accessoires de combat de rue étaient autorisés. Les armes à feu étaient interdites, tout comme les pics à glace, l’arme préférée du tueur Abraham « Kid Twist » Reles.

    Bam ! Kapow ! Quand des mafieux juifs américains des années 30 tabassaient des nazis
    Le juge Nathan Perlman décrochait un téléphone et appelait des gangsters à New York, Newark, Minneapolis, Chicago et Los Angeles pour leur demander d’interrompre les réunions nazies. (Crédit: National Photo Company Collection, Library of Congress, Prints and Photographs Division, LC-DIG-npcc-03143/courtesy Michael Benson)
    Un nouveau livre, Gangsters vs. Nazis : How Jewish Mobsters Battled Nazis in Wartime America, raconte l’histoire fascinante de la façon dont Perlman a secrètement dirigé une armée de gangsters juifs à travers les États-Unis dans le cadre d’une campagne -qui a duré un an- visant à étouffer deux organisations nazies américaines clés, le Bund et la Silver Legion (mieux connue sous le nom de Chemises d’argent).

    Rédigé par l’écrivain prolifique Michael Benson, le livre dépeint le contexte historique de la décision de Perlman de faire subir à ces organisations un traitement punitif extrajudiciaire.

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    Une centaine de groupes antisémites opéraient aux États-Unis à l’époque de la Grande Dépression. À une époque précédant l’adoption de lois sur la haine, ces organisations étaient entièrement protégées par la liberté d’expression accordée par le premier amendement de la Constitution américaine. Par conséquent, ces groupes opéraient ouvertement et en toute impunité.

    Bam ! Kapow ! Quand des mafieux juifs américains des années 30 tabassaient des nazis
    Meyer Lansky (Crédit: Collection de journaux du New York World-Telegram et du Sun, Bibliothèque du Congrès, LC-DIG-ds-00979/autorisation de Michael Benson)
    Le Bund germano-américain faisait la promotion de l’antisémitisme et de l’anticommunisme parallèlement à son programme pro-nazi et pro-isolationniste. L’organisation était étroitement liée au Front chrétien du père Charles Coughlin, démagogue antisémite et personnalité de la radio.

    « Ils disaient que les Juifs étaient tous communistes et qu’ils avaient de l’argent, ce qui a été un choc pour beaucoup de Juifs américains », a déclaré Benson dans une interview accordée au Times of Israel depuis sa maison de Brooklyn, à New York.

    Alors que le Bund se tournait en réalité en direction de l’Allemagne et faisait de la propagande pour le régime nazi, il prétendait être une organisation pro-américaine.

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    « Ils ont toujours prétendu être des citoyens américains qui défendaient les intérêts de l’Amérique. Lors de leurs rassemblements, il y avait toujours un drapeau américain à côté du drapeau à croix gammée. Un portrait de George Washington était à côté du portrait d’Hitler. La « grande fête » au Madison Square Garden, en février 1939, se faisait passer comme étant un rassemblement pro-américain. Ils allaient redorer le blason de l’Amérique », a déclaré Benson.

    Bam ! Kapow ! Quand des mafieux juifs américains des années 30 tabassaient des nazis
    Le chef du Bund germano-américain -c’est-à-dire le Bundesführer- était Fritz Julius Kuhn. Il se voyait comme l’Hitler de l’Amérique. (Crédit: Photo d’archives Alamy)
    Bien que la plupart des quelque 25 000 membres cotisants du Bund soient des citoyens américains d’origine allemande, les dirigeants du groupe, dont le grand chef Fritz Kuhn, étaient des Allemands qui n’ont jamais été naturalisés.

    Les Juifs américains et les dirigeants communautaires étaient inquiets et effrayés. Le gouvernement du président Franklin D. Roosevelt a tenté d’agir contre les groupes pronazis quand et où cela était possible. Mais rien n’a pu être fait légalement pour les faire taire.

    Lassé de la situation, Perlman a pris les choses en main. En tant qu’ancien membre du Congrès et juge de la Cour des sessions spéciales de la ville de New York, son rôle dans l’intimidation des Américains respectueux de la loi devait rester discret. Il a donc demandé l’aide d’hommes qui étaient prêts à faire du mal aux antisémites et qui n’avaient aucun scrupule à agir illégalement.

  7. David92 dit :

    Suivez ce lien….

     » Le FBI a voulu empêcher des gangsters juifs de tuer Hitler en 1933  »

    Dommage .

    • liguedefensejuive dit :

      En 1933, un gangster américain juif avait projeté d’assassiner le chancelier allemand. Les renseignements américains se sont mis à sa recherche pour éviter de créer un incident diplomatique avec Berlin.

      Un Américain juif avait prévu d’assassiner Adolf Hitler en 1933. Mais, recherché par les services de renseignements américains, il aurait renoncé à ses plans. Ce récit incroyable a été livré au site Tablet par l’historien américain, Robert Rockaway. Ce dernier a enquêté sur un mystérieux citoyen des Etats-Unis qui aurait ourdi un complot contre le leader nazi. « Le Figaro » relaie, mercredi 25 mai, le fruit des investigations de l’universitaire.

      A l’origine de l’enquête du professeur Rockaway se trouve un témoignage : en 1988, un mafieux surnommé « Dutch » se confie à l’historien dans le cadre d’un ouvrage sur les gangsters juifs. Au fil de l’entretien, il livre au chercheur une curieuse anecdote : un citoyen américain aurait fomenté un attentat contre le Führer peu après son accession à la tête de l’Allemagne.

      En 1933, un « Juif respectable » vient rendre visite à « Dutch », malfrat réputé pour avoir commis des dizaines de meurtres, et lui demande le concours de l’un de ses hommes de main pour tuer Adolf Hitler. Il propose de rémunérer son tueur à gages 2.500 dollars. Mais « Dutch » refuse de faire affaire avec lui.

      Robert Rockaway n’en revient pas :

      « L’histoire semblait irréaliste, on aurait dit une légende de bonne femme. J’étais très sceptique. Pourtant, j’ai écrit ce qu’il m’avait dit. »
      « Je me rendrai en Allemagne pour assassiner Hitler »
      Curieux d’en savoir plus, l’historien décide de consulter les archives du FBI, l’agence de renseignements américaine. En feuilletant un dossier étiqueté « Adolf Hitler », il découvre une pièce à conviction de taille : une lettre, destinée à l’ambassadeur d’Allemagne à Washington, dans laquelle un certain Daniel Stern fait part de son intention de tuer le leader nazi. On peut y lire ces mots qui témoignent de la détermination de son auteur :

      « Monsieur, j’ai demandé au Président Roosevelt de protester publiquement contre votre gouvernement pour les outrages commis à l’égard des Juifs (…). S’il ne le fait pas, je vous indique que je me rendrai en Allemagne pour assassiner Hitler. »
      Au début des années 1930, dans le milieu des gangsters juifs américains, nombreux sont ceux qui réclament la tête du chancelier allemand. Une autre lettre, retrouvée dans les archives des services de renseignements américains, atteste même qu’un jeune homme a été désigné pour porter le coup fatal au Führer entre mai et septembre 1933. Quant au mode opératoire de l’assassinat, les truands hésitent entre l’empoisonnement et la mort par balle.

      Un suspect introuvable
      Robert Rockaway découvre, au fil de son enquête, que l’ancêtre du FBI, le Bureau d’Investigation, a activement recherché le dénommé Daniel Stern. Les Américains craignent de déclencher une crise diplomatique avec l’Allemagne dans le cas où Hitler aurait vent de ce projet d’attentat. Le procureur général américain lance donc une enquête dans tout le pays. Détroit, New York, Chicago, Philadelphie, Phoenix sont passées au peigne fin, mais nulle trace de Daniel Stern. Les Américains abandonnent leurs recherches en septembre 1933.

      Lorsque Robert Rockaway a livré au gangster « Dutch » les fruits de son investigation, le truand lui a dit son regret de ne pas avoir accepté de tuer Hitler : « Vous imaginez, nous serions des héros si nous avions tué ce fils de p… . On nous aurait remis des médailles. »

      De 1921 à 1945, on dénombre une quarantaine de tentatives d’attentat visant le chancelier allemand. L’invulnérabilité du leader antisémite a inspiré à « Dutch » cette réflexion :

      « Certes les personnages publics sont extrêmement bien protégés, mais Hitler, c’était d’un autre niveau […] C’était un véritable pare-balles. Le diable en personne était son garde du corps. Et il faut se rappeler qu’au bout de compte, le seul à avoir pu tuer Hitler fut Hitler lui-même. »
      M. H.

      Par Le Nouvel Obs

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