ANTISEMITISME :Villeneuve-sur-Lot (47) : coups à son ex et crachat sur un huissier
Alors qu’il était jugé, entre autres, pour des faits de violences, un homme de 39 ans se revendiquant antisioniste a tenu des propos incohérents avant et pendant le procès.
Les explications auront été confuses. En garde à vue et même au tribunal. Hier, au palais de justice d’Agen, un homme était jugé en comparution immédiate pour des faits de violences habituelles sur sa conjointe — avec qui il vivait depuis six ans — et de violences sur un huissier des finances publiques, le 6 juillet dernier.
Présenté à un médecin après son interpellation, le prévenu tient des «propos incohérents» et son état est jugé incompatible avec la garde à vue. Après un séjour à La Candélie, du 6 au 16 juillet, l’homme de 39 ans passe finalement par la case garde à vue où, là encore, son discours interpelle. L’homme prétend ne pas s’en souvenir. «Il y a deux ans, vous vous êtes converti à l’Islam, ce qui est votre droit le plus total, mais vos proches ont été alertés quand vous avez affirmé que vous étiez salafiste (frange traditionaliste de l’Islam, N.D.L.R.)», rappelle le président du tribunal avant de lire le procès-verbal d’audition. «Ce sont les juifs pédophiles qui tiennent la France et le gouvernement.»
Des propos qui font réagir le trentenaire qui se lance dans des explications, loin des faits pour lesquels il est jugé : «Je suis religieux donc je n’ai rien contre les Juifs, qui croient en Dieu. Je suis contre le sionisme. Je ne suis pas antisémite, j’ai autre chose à faire.» Une réflexion sarcastique empruntée à un humoriste, habitué des tribunaux : Dieudonné. Et l’accusé reprend son monologue : «Ce n’est pas moi qui ai fait le 11-Septembre et d’autres événements depuis. Alors que d’autres… Si j’avais un ordinateur, je vous montrerais.»
L’étonnante démonstration au palais de justice aboutit finalement à un renvoi de l’audience au 12 août prochain, le temps que l’habitant de Saint-Sylvestre passe une expertise psychiatrique. Placé sous contrôle judiciaire, il a l’interdiction d’entrer en contact avec son ex-compagne et l’huissier, de se rendre à Frespech où madame vit, de quitter le Lot-et-Garonne, ainsi qu’une obligation de soins, de rester à Saint-Sylvestre et de se présenter régulièrement à la gendarmerie.
source :
http://www.ladepeche.fr/article/2015/07/18/2145864-suis-antisemite-ai-autre-chose-faire.html
Il faut imperativement que l’antisionisme soit réprimé par la loi au meme titre de l’antisémitisme, trop facile, les antisémites se cachent souvent derriere l’antisionisme.
Pour nous, antisionisme = antisémitisme, cela devrait etre compris par tout le monde.
Je remarque aussi a chaque fois qu’un musulman insulte ou agresse un juif, tout de suite on essaye de la faire passer pour un fou !
C’est ce sur quoi on tend dans beaucoup de domaines : la dépénalisation est l' »action d’ôter son caractère pénal à une infraction », selon le Larousse, l’étymologie de pénal renvoyant au latin poena (« peine »). Comme le note Michel van de Kerchove (Le Droit sans peines, Facultés universitaires Saint-Louis, 1987), les néologismes synonymes à connotation négative ne manquent pas (décriminalisation, déjudiciarisation), les militants de la dépénalisation préférant parler de légalisation, réglementation, médicalisation, etc.
vive la saint sylvestre ….. pour le pas moi c’est LOUIIIS !