ANELKA MAINTIENT SON SOUTIEN A « SON FRERE » ANTIJUIF DIEUDONNE
Suspendu de l’équipe de France pour ses insultes à l’encontre de Raymond Domenech en 2010, Nicolas Anelka a également été viré de son club – où a démissionné c’est selon – de WBA après sa quenelle polémique de décembre 2013. Un geste de soutien à Dieudonné, qui était alors en bataille avec les instances au sujet de son sulfureux spectacle interdit dans certains endroits, que l’attaquant français a toujours assumé. Devant l’ampleur de la polémique, Anelka s’était tout de même défendu fermement d’avoir fait un geste antisémite, expliquant qu’il s’agissait plutôt d’un geste « antisystème ». Près d’un an après les faits, l’attaquant français est revenu sur cette quenelle et avoue ne pas regretter une seule seconde ce geste, qui l’a au final privé de football pendant neuf mois.
« En aucun cas je ne regrette d’avoir soutenu mon frère (Dieudonné). J’ai conscience de ce qu’il a vécu. Il y a une raison pour laquelle je fais les choses. Je sais pourquoi je l’ai fait. Après, les polémiques, je suis assez grand pour me débrouiller tout seul. J’assume mon choix et mon geste. J’ai tourné la page. Je vis avec et je me porte très bien », a assuré, dans les colonnes de France Football, un Nicolas Anelka qui a également laissé entendre qu’il pourrait bien vivre sa dernière expérience en tant que footballeur en Inde cet automne.
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La « quenelle » d’Anelka s’inscrit dans un regain d’antisémitisme en Premier League
« Dégoûtant » : à l’instar de la manchette du supplément sport du Sunday Telegraph, la presse britannique est unanime dans la condamnation de la « quenelle » dédiée samedi par l’attaquant de West Bromwich Albion, Nicolas Anelka, à l’humoriste Dieudonné.
Jugé outre-Manche à connotation raciste, le geste provocateur est venu se greffersur un regain d’antisémitisme dans les stades anglais. L’ouverture d’une enquêtepar la Football Association, la fédération anglaise, a reçu le soutien de l’organisation Kick Out de lutte contre le racisme dans les stades.
La FA est déterminée à frapper dur, comme l’attestent les lourdes punitions infligées récemment en vertu d’un nouveau règlement introduit en mai 2013. S’il était reconnu coupable de discrimination, le joueur français risque une suspension d’au moins cinq matches, voire dix. Le Guardian estime qu’une condamnation mettrait fin à la carrière en Angleterre de ce joueur controversé âgé de 34 ans.
L’émoi provoqué par le bras tendu vers le bas et l’autre croisé sur la poitrine est à rapprocher de la récente controverse sur l’utilisation par les supporters de Tottenham Hotspurs du cri de guerre « Yids » (littéralement « youpins »).
Bien que la grande majorité des fans de l’équipe londonienne ne soient pas juifs, le club reste associé à la communauté juive du nord de la capitale. Excédés par les attaques antisémites proférées par les hooligans des rivaux londoniens, en particulier Chelsea ou Arsenal, les supporters des Spurs en avaient fait leur cri de ralliement. Mais aux yeux du consistoire israélite britannique, ces cris rappelaient de mauvais souvenirs des marches antisémites des milices fascistes d’Oswald Mosley dans les années 1930. La police avait finalement interdit ce slogan.
Un autre motif de l’émotion suscitée par le geste d’Anelka, converti à l’islam en 2004, est que West Bromwich Albion jouait en déplacement à West Ham, dont l’un des propriétaires est de confession juive. En avril 2013, la nomination de Paolo Di Canio comme entraîneur de Sunderland avait provoqué une vive controverse. Des années auparavant, l’Italien s’était déclaré « fasciste mais pas raciste » et de sedire fasciné par Mussolini, « un type à principes ».
En protestation contre les déclarations du nouvel entraîneur, le vice-président de cette formation évoluant au sein de la Premier League, l’ex-ministre des affaires étrangères David Miliband, avait démissionné.
Son père, petit-fils de juifs de Varsovie installés en Belgique dans l’entre-deux-guerres, avait émigré au Royaume-Uni en mai 1940, lors de l’invasion hitlérienne.
Di Canio avait été licencié cinq mois plus tard en raison des mauvais résultats de l’équipe du Nord-est. Le manager par interim de West Bomwich Albion, Keith Downing a toutefois défendu Anelka, qualifiant la polémique de « foutaise ».
D’autres footballeurs évoluant en Premier League anglaise, l’équivalent de la Ligue 1, ont été photographiés dans le passé faisant le même geste aux côtés de Dieudonné, à l’instar de Samir Nasri (Manchester City) et Mamadou Sakho (Liverpool).
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Quelle saleté ce type !!!!
Dieudonné, Anelka et leur pote Noah, meme combat
Pauvre Anelka ! Être si riche et connu , pour être si Con ! Faut lui retirer le cerveau : il ne lui sert à rien , à ce nazebroque !