22 janvier à 23h25 : « Les Alliés face à la Shoah » sur France 3
Sur des commentaires de Jeanne Balibar et Stanislas Nordey. Les informations dont disposaient les Alliés sur l’holocauste pendant la Seconde Guerre mondiale auraient-elles pu sauver une partie des juifs européens des nazis ? Sur la base des révélations issues de documents déclassifiés, Virginie Linhart dévoile les choix et les motivations qui guidèrent Roosevelt, Churchill, Staline et De Gaulle pour sauver le monde du désastre tout en négligeant la question juive. Pendant des décennies, le monde a retenu une image : celle du général Eisenhower découvrant l’horreur des camps de concentration le 12 avril 1945 à Ohrdruf. Avec l’ouverture d’une partie des archives de la Seconde Guerre mondiale au cours des années 1990, il est impossible de dire qu’on ne savait pas.
Un documentaire à voir absolument, si vous ne pouvez le voir enregistrez-le, ce documentaire révèle des informations historiques terribles et choquantes.
Voici ce qu’en disent les spectateurs qui ont vu le documentaire :
Au printemps 1945, le monde entier découvre avec horreur des images des camps d’extermination qui défient l’imagination. On sait aujourd’hui que les grands chefs alliés Churchill, Roosevelt, Staline et De Gaulle ont eu accès à certaines informations dès 1941. Ce qu’ils savaient. Les Alliés face à la Shoah, projeté mercredi au Mémorial en présence de sa réalisatrice le prouve. Durant le film de Virginie Linhart, elle-même petite-fille de juif polonais, on découvre des images d’archives peu connues, voire inédites, jusque récemment classées secret défense. Chacun des documents témoigne avec précision de ce que les quatre dirigeants savaient, et à quel moment. De minute en minute, on se rend compte avec stupéfaction à quel point, volontairement ou non, les appareils d’État ont été impuissants face à ces révélations toujours plus nombreuses, plus précises, plus sordides relatives au génocide juif en cours.
À l’issue de la projection, le spectateur encore sous le choc oscille entre effroi et indignation. Le silence est tendu, pesant, long, seulement brisé par les premiers applaudissements, rejoints par ceux de la centaine de spectateurs. Dans la salle, des rescapés des camps particulièrement émus témoignent : « J’étais petite-fille lors de ma déportation, toute ma famille a été exterminée par les Nazis. Grâce à ce film, je découvre encore des éléments de l’histoire, mon histoire, jusqu’ici inconnus. »
Les informations dont disposaient les Alliés sur l’holocauste pendant la seconde guerre mondiale auraient-elles pu sauver une partie des juifs européens ?
Un documentaire de Virginie Linhart
Conseiller historique : Henry Rousso
Produit par Fabienne Servan-Schreiber et Lucie Pastor (Cinétévé)
Commentaire dit par Jeanne Balibar et Stanislas Nordey
Les informations dont disposaient les Alliés sur l’holocauste pendant la seconde guerre mondiale auraient-elles pu sauver une partie des juifs européens de la folie meurtrière nazie ?
Sur la base des révélations issues de documents déclassifiés, le film dévoile les choix et les motivations qui guidèrent Roosevelt, Churchill, Staline et de Gaulle pour sauver le monde du désastre tout en négligeant la question juive.
Pendant des décennies, le monde a retenu une image : celle du général Eisenhower découvrant l’horreur des camps le 12 avril 1945 à Ohrdruf. Avec l’ouverture d’une partie des archives de la Seconde Guerre mondiale au cours des années 90, il est désormais impossible de dire qu’on ne savait pas… Dès 1941, Churchill et Staline, puis Roosevelt et de Gaulle, eurent des preuves irréfutables sur le sort que les nazis réservaient aux juifs. Pourtant jusqu’en fin 1943, rien ou presque, ne fut fait pour leur venir en aide. Comment s’explique cette passivité qui désespéra tout un peuple ?
En choisissant de revenir sur le génocide du point de vue des quatre grands alliés, le film propose une autre histoire de la Seconde Guerre mondiale. Une histoire méconnue faite de choix difficiles et de dilemmes restés secrets. Les Alliés auraient-ils pu gagner la guerre et sauver une partie des six millions de juifs européens exterminés ? Comment vécurent-ils le poids de leurs décisions ? La morale est-elle un luxe en temps de guerre ?
Bien sur qu’ils le savaient, l’OSS avait envoyé un rapport aux principaux chef de gouvernement avec a l’appui des prises de vues aériennes.
Mais vraisemblablement, la question des juifs n’était pas une priorité
je craint que non seulement nous n etions pas en priorite mais il se peutque cela convenait a leurdesirs
j’ai terriblement que tu ai raison
Roosevelt le savait trés tot il aurait pu arréter les convois
Hazak ! « La morale est-elle un luxe en temps de guerre ? »
Mon grand pere qui habitait dans un village perdu dans le nord du Maroc, ma dit quand javais 7 ans en 1970,que je pouvais traiter de sa part de menteur quiconque disait quil ne savait pas alors que dans son village qui navait que pour seul moyen de communication un ane, on savait depuis 1939 ce que prevoyait la clique nazi pour eliminer les juifs. Pour finir mon gd pere a rajouté, ne fais confiance en personne si un jour le vent venait á tourner contre les juifs…
Pour Staline, je m’en fout, il a tellement de morts sur la conscience.
Pour Churchill et Roosevelt, c’étaient pas des tendres, quand on voit les « dégâts collatéraux » des bombardements sur la population française…
Ce qui m’intéresse, c’est la France.
La tache sur le drapeau.
Que pouvait faire De Gaulle ?
Mais la question qui me taraude, c’est la part de responsabilité des dirigeants français de Vichy, je pense à Laval, Bousquet, Vallat, Darquier de Pellepoix, que savaient-ils exactement du sort réservé aux Juifs déportés ?
Pour Laval et Bousquet, que je distingue des deux autres,
quelle était leur marge de manoeuvre face aux exigences des Allemands ?
Début 1942,ils ne savaient pas. Dès 1943 les responsables de Vichy savaient qu’ils envoyaient les juifs à la mort.
Franchement , quand vous écoutez le discours du 30 Janvier 1939 d’Hitler : Aujourd’hui, je serai encore une fois prophète: si les financiers juifs internationaux en Europe et au dehors réussissent une fois de plus à plonger les nations dans une guerre mondiale, alors, il en résultera, non pas une bolchevisation du globe, et donc la victoire de la Juiverie, mais l’annihilation de la race juive en Europe !
Tous connaissaient l’intention d’Hitler.
Lisez RAOUL HILDBERG » La destruction des Juifs d’Europe »,le crime a commencé en l’an 400 ap j .quand les premiers Chrétiens prirent Rome.
Arrêtons de faire confiance.